Une « influenceuse » affirme que les musulmans étaient en Australie avant tout le monde…

►Une « influenceuse » affirme que les musulmans étaient en Australie avant tout le monde…

Vous voyez donc qu’il faut chasser les colonisateurs et rendre la terre à ses peuples autochtones.

Transcription en français :

« Voici quelque chose qu’on ne vous enseigne pas à l’école. Les musulmans sont présents en Australie depuis bien plus longtemps que la colonisation européenne. Les musulmans ont établi des relations authentiques et respectueuses avec les communautés aborigènes. Ils ont échangé des marchandises, partagé des histoires, fondé des familles, et ils l’ont fait avec intégrité. Alors que les colonisateurs détruisaient, les musulmans ont construit des relations basées sur la confiance et le respect. Et ce n’est pas seulement de l’histoire, c’est un lien. Le bush australien fait partie d’une terre à laquelle nous sommes liés depuis des siècles ».

Muslim influencer explains that just like Israel, Australia is about to be returned to its original native indigenous Muslim people who existed before humanity came to existence.

pic.twitter.com/TBa7mhNOmn

— Liza Rosen (@LizaRosen0000) August 11, 2025

La prochaine étape : des musulmans revendiqueront la Lune en disant au monde qu’ils ont inventé le voyage spatial !

►Inde : une chrétienne de 23 ans se suicide après avoir été poussée par son petit ami Ramis et sa famille à se convertir à l’islam…

Le frère de Sona a déclaré qu’elle avait laissé un mot indiquant qu’elle était forcée de se convertir à l’islam. Peu après, elle s’est suicidée.

 Opindia

La famille de Sona Eldos, une chrétienne de 23 ans originaire de Kothamangalam, Kerala, a porté de graves accusations contre son petit ami musulman Ramis et sa famille après que la jeune fille se fut  suicidée le samedi 9 août dans le district de Kochi au Kerala .

Ils ont déclaré que Sona avait subi des pressions pour se convertir à l’islam en vue du mariage et qu’elle avait été victime de harcèlement.

Selon un reportage de News 18, Sona et Ramis, originaire de Paravoor, sont tombés amoureux pendant leurs études. Plus tard, la famille de Ramis lui a annoncé qu’elle devrait quitter l’Église et se convertir à l’islam si elle voulait l’épouser. Sona aurait accepté à un moment donné, mais sa famille affirme qu’elle a tout de même été traitée avec cruauté.

Son frère a raconté à News18 qu’après le décès de leur père, il y a 40 jours, la famille avait prévu de reporter le mariage à un an. Cependant, il a ajouté que Ramis avait emmené Sona chez lui, où elle avait été enfermée dans une pièce et battue en présence de sa famille et de ses amis.

Le frère a également affirmé que Ramis avait été impliqué dans des activités immorales par le passé, mais que Sona lui avait pardonné. Le jour de l’incident, on lui aurait de nouveau demandé d’enregistrer le mariage et de changer de religion. Devant son refus, Ramis lui a répondu qu’il valait mieux qu’elle soit morte.

Le frère de Sona a déclaré qu’elle avait laissé un mot indiquant qu’elle était forcée de se convertir à l’islam. Peu après, elle s’est suicidée.

La famille a demandé une enquête approfondie sur l’affaire, affirmant que la mort de Sona était le résultat de tortures mentales et de pressions religieuses exercées par son petit ami et sa famille.

►Le Pakistan connaît une recrudescence de la violence contre les mineurs chrétiens…

L’enfant pakistanais Shehrzad devant des briques d’argile dans un four à la périphérie de Rawalpindi. Les propriétaires de fours au Pakistan dupent  les pauvres en les obligeant à travailler en servitude en leur accordant des prêts, mais en échange, ils doivent travailler, souvent pour un salaire modique, voire nul, afin de les rembourser.

Dans les  pays musulmans, les minorités vivent l’enfer.

Tirons-en les leçons : combattons l’islam qui veut nous mettre en esclavage comme partout dans le monde !

Christianpost

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Un rapport, intitulé « Analyse de la situation des enfants issus de religions minoritaires au Pakistan », soulève également les questions cruciales de la conversion forcée, des mariages d’enfants et du travail des enfants auxquels sont confrontés les enfants issus de minorités, en particulier ceux appartenant aux communautés chrétiennes et hindoues marginalisées.

La tendance inquiétante à la discrimination systémique affecte chaque aspect de la vie quotidienne des minorités, en particulier celle de leurs enfants. Ces enfants sont fréquemment victimes de discrimination de la part de leurs camarades de classe et des enseignants à l’école. Ils doivent également composer avec des programmes scolaires susceptibles de renforcer leurs préjugés sur leur religion. Isolement, résultats scolaires inférieurs à la moyenne et, dans de nombreux cas, décrochage scolaire sont les conséquences prévisibles d’un tel environnement éducatif.

La situation financière des ménages issus de minorités est tout aussi alarmante.

Nombre d’entre eux sont pris dans des cycles de travail forcé, notamment dans les briqueteries et le secteur agricole, où des familles entières, enfants compris, travaillent dans des conditions cruelles, indique le rapport.

Citant les conversions religieuses forcées et les mariages forcés de filles chrétiennes et hindoues avec des hommes musulmans plus âgés comme les problèmes les plus préoccupants, le rapport note qu’il existe peu d’options juridiques disponibles pour les victimes.

Les populations minoritaires expriment souvent leur mécontentement face à l’enseignement obligatoire de la religion islamique, faute d’autres possibilités d’explorer leurs propres perspectives. Cela porte non seulement atteinte à leur liberté religieuse, mais freine également leur progression scolaire, car ils sont contraints d’étudier une matière qui pourrait ne pas correspondre à leurs principes.

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