Depuis 15 ans, tous les dirigeants de l’INA finissent suspendus

 

Les institutions publiques françaises sont dirigées par des personnalités plus que douteuses.

Après Sciences Po Paris dirigé pendant 27 ans (1996-2023) par des hommes aux comportements plus que troubles.

  • Richard Descoings, de 1996 à 2012, année où il est retrouvé mort nu dans une chambre d’hôtel à New-York
  • Frédéric Mion, de 2013 à 2021, année où ce dernier est contraint de démissionnerquand la presse révèle qu’il était au courant des faits incestueux de Olivier Duhamel
  • Mathias Vicherat, de 2021 à 2023, année où il est mis en garde à vue pour violencesconjugales.

Voici l’INA, dirigé pendant 15 ans par personnalités multipliant les ennuis avec la justice. Depuis 15 ans (2010), il n’y a pas eu un dirigeant suspendu de ses fonctions à la tête de l’INA.

  • Après Mathieu Gallet (2010-2014), condamné à 30 000 euros d’amende pour “favoritisme” quand il dirigeait l’INA
  • Après Agnès Saal (2014-2015), restée moins d’un an en fonction, qui avait dû démissionner à la demande de la ministre de la culture de l’époque, Fleur Pellerin, après la révélation de frais de taxi dépassant 40 000 euros en dix mois.

C’est au tour du président actuel de l’INA Laurent Vallet (2015-2025) d’être suspenduaprès avoir été interpellé pour l’achat de cocaïne à un mineur de 17 ans.

Bonne nouvelle pour lui : sur le site de l’INA, il est possible de revoir un reportage de 2023 intitulé

Cocaïne en France : l’inquiétante explosion de la consommation

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7 Commentaires

  1. Il est évident que de plus en plus, les postes de dirigeants institutionnels (ce n’est pas les cas des entreprises, elles n’y survivraient pas) sont occupés par des crapules, des bandits qui ont une mentalité de délinquants Beaucoup sont des consommateurs de drogue – des « poudrés » – seule raison pour laquelle le trafic prospère avec autant d’impunité et de vigueur – puisqu’ils ne font rien pour l’arrêter (plus exactement, ils font semblant de lutter).

    C’est un système de corruption, de type république bananière qui s’est mis en place sous le masque des « valeurs de gauche » (la seule vraie valeur des gauchistes, c’est le pognon – mais celui des autres, pas question de produire, ce sont des prédateurs).

  2. Oh, les pauvres. Je propose de les recaser à l’Arcom. Après tout, l’état le fait bien pour les CC, CE et autre cour des comptes.

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