Dans une France qui se revendique démocratique, David van Hemelryck, ingénieur polytechnicien devenu pilote engagé, subit une répression systématique de la part des autorités. Son crime ? Avoir survolé l’espace public avec des banderoles exigeant la « destitution » de notre cher président Emmanuel Macron. Ce harcèlement méthodique, mené avec une rigueur quasi militaire, révèle la dérive autoritaire d’un pouvoir prompt à criminaliser toute dissidence, au mépris des principes républicains.
Des cieux sous surveillance : la militarisation de la répression
L’espace aérien, autrefois symbole de liberté, s’est transformé pour David van Hemelryck en un terrain de chasse. Hélicoptères de gendarmerie et même un Rafale de l’armée de l’air ont été déployés pour intercepter son ULM, comme s’il s’agissait d’une menace stratégique. Ces opérations disproportionnées, dignes d’un scénario de thriller politique, visent à étouffer ses protestations aériennes, l’obligeant à des manœuvres périlleuses pour échapper à cette traque absurde.
Alors que la délinquance prospère dans l’impunité, l’État consacre des moyens exorbitants à pourchasser un simple engin volant porteur d’une banderole. Une aberration qui en dit long sur les priorités d’un pouvoir plus soucieux de son image que de l’équité et de la sécurité de ses citoyens.
La persécution au quotidien : contrôles, perquisitions, intimidation
Au sol, le harcèlement prend une forme plus insidieuse : contrôles d’identité répétés, descentes de gendarmes lourdement armés, perquisitions arbitraires. Soutenu par un réseau de citoyens solidaires, David van Hemelryck parvient à contourner ces manœuvres, mais au prix d’une usure psychologique croissante.
Ironie cruelle : une présidence qui se veut moderne emprunte les méthodes d’un autre siècle, transformant les forces de l’ordre en instruments d’une répression sournoise. La gendarmerie, garante de la sécurité publique, se retrouve instrumentalisée pour museler une voix dissidente.
La contre-offensive juridique : Juan Branco et David van Hemelryck face à l’arbitraire
Face à cette machine judiciaire démesurée, David van Hemelryck, défendu par l’avocat Juan Branco, a engagé une bataille légale pour dénoncer l’emploi abusif de moyens militaires contre un militant pacifique. Ce combat incarne la résistance d’une pensée libre face à un système qui bafoue les libertés fondamentales.
Dans cette lutte inégale, la virulence de la répression trahit surtout la fragilité d’un pouvoir qui, en pourchassant une simple banderole, révèle sa peur panique de la contestation.
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Qu’attendent Les gendarmes ainsi que les policiers pour refuser de se soumettre à des ordres complètement crétins.
Il est grand temps que policiers et gendarmes défendent les Français plutôt que d’obéir à des politicards pourris
Ça doit être compliqué pour Foutriquet de s’imaginer ce qui va lui arriver après 2027 , s’il a l’impudence de rester en France.
En 1789, la noblesse émigrait……..
Rends toi compte de la réalité macron on ne veut plus de toi
Tu es un morpion accroché aux partie
Alors dégage
C’est pas grave, c’est Nicolas qui paye.
Coût de l’heure de vol du Rafale : entre 16 et 19 000 €.
Méfiez-vous, si vous critiquez Micron au téléphone, deux minutes après votre maison risque d’être bombardée par un Rafale…