Le Juif est toujours seul… Bénédiction ou malédiction, peu importe…

Les annales de l’histoire nous révèlent qu’Israël et ses Juifs, (anciens Hébreux/Israélites) ont dû se confronter à de nombreux ennemis, parmi lesquels certains occupent une place très particulière.

« Les Hébreux/Israélites ont affronté de nombreux ennemis au cours de leur histoire, notamment les Cananéens, les Philistins, les Amalécites, les Égyptiens, les Babyloniens, les Assyriens, les Perses, les Grecs, et les Romains. Ces ennemis représentaient tantôt des menaces militaires, tantôt des puissances culturelles cherchant à les assimiler ou à les dominer ». 

Les Cananéens : Premiers habitants de Canaan, devenue après la sortie d’Égypte « Terre Promise », ont longtemps résisté à la conquête des Israélites. Leur conflit était surtout théologique.

Les Philistins : Puissance militaire et économique sur la côte méditerranéenne, apparaissent à l’époque des Juges. Leurs guerres contribuèrent à l’unification des tribus israélites et une monarchie.

Les Amalécites : Les ennemis jurés des Israélites – selon la Bible, notamment lors de l’Exode. 

Les Égyptiens : L’Égypte, grande puissance à l’époque de l’Exode, imposa l’esclavage aux Hébreux/Israélites. L’Égypte maintient à ce jour, un rôle politique dans la région, se présentant parfois en alliée, souvent en ennemie. 

Les Assyriens et les Babyloniens : Ces deux empires ont conquis et détruit les royaumes d’Israël et de Juda, marquant des tournants majeurs dans l’histoire des Hébreux. 

Les Perses, les Grecs et les Romains : Empires dans différentes époques de l’histoire. Ils ont dominé la région mais aussi ont maintenu des relations complexes avec les Israélites, oppressives parfois, rarement plus tolérantes.

Rappelons jusqu’ici que le terme « Palestine » n’existait pas. La Judée et Samarie, Jérusalem,  furent rebaptisées Palestine suite à la conquête des Romains et à la vengeance de l’empereur Hadrien contre les juifs et leurs insurrections entre 132 et 136 après J.-C.

La désignation Hébreux/Israélites fut troquée contre Yehudi – habitant de la Judée – Royaume de Juda. Le Judaïsme prit forme quelques 500 ans avant Jésus Christ, après la compilation du Pentateuque par le prophète Ezra.

« Le terme « juif » est apparu en français au XIIIe siècle, dérivé de la forme féminine « juive », elle-même issue du mot « juiu » (XIIe siècle) et « judeu » (Xe siècle). Ces termes, eux, proviennent du latin « Judaeus », qui lui-même vient de l’hébreu « Yehūdī ». À l’origine, « Judaeus » désignait les habitants du royaume de Juda. 

Certains diront que les Juifs ont survécu à toutes les civilisations justement à cause de son isolement. D’autres attribueront leur résilience singulière, à leur Bible, aux écritures qui, comme le disait Moïse « Tout ce qui est gravé dans la pierre, ne disparaîtra jamais ».

Ainsi donc, les Juifs dans la diaspora ont vécu en écart de toutes les autres civilisations, dans leurs quartiers, parfois des villes entières, bien qu’ils aient été, à un degré non-négligeable, influencés par la foi de leurs voisins, la majorité demeurera  fidèle à ses racines, qui, il faut le croire, ont été et sont toujours, le socle sur lequel les Juifs survivront.

Le judaïsme a perduré grâce à une combinaison de facteurs, notamment la transmission des valeurs et traditions de génération en génération, un fort sentiment d’identité collective, la résilience face à l’adversité, et l’importance accordée à l’étude et à la pratique religieuse.

Fadaises, me dit mon ami le philosophe… C’est leur foi inébranlable en leur Dieu, en Ses promesses, faites à Abraham et ensuite à Moïse, sur le Mont Sinaï.

Les Juifs ont, avec leur foi, déjoués tous les stratagèmes, concoctés et établis afin de les anéantir… Tous ceux qui ont tenté de les effacer ont été les premiers à disparaître. Rome n’était pas juive… Elle le devint à son insu, à cause d’un « seul juif » qui s’appelait Jésus – Yéhoshua. En dépit de tout le maquillage et de sa fusion au culte Païen – le christianisme romain s’étendit sur tout l’Occident, colporté par des missions chrétiennes, créées sur les territoires conquis.

Le Vatican et ses simagrées n’ont jamais réussi à déguiser la véritable religion du Christ, le judaïsme, qui de nos jours, revient au galop, puisque basé sur l’Ancien Testament et sur les Dix commandements de Moïse…

Alors d’où vient cet océan de haine ? De l’endurance des Juifs, de leurs lois qui font d’eux des géants au cœur tendre…

Les Juifs ne s’aviliront qu’au reniement de leur foi, même dans l’obscurité des temps… Nous les avons observés dans de terribles instances tout au long de l’histoire.

On peut constater l’effet des lois juives sur les juifs d’Israël qui sont capable de nourrir leurs ennemis, de les soigner dans leurs hôpitaux… Oui, le christianisme a été touché par cette simple phrase de Hillel : Ton prochain comme toi-même… Aime, aide, ton prochain… qui aujourd’hui, fait le malheur des Juifs et des chrétiens, à l’exception des musulmans. Ces derniers ont aussi intégré dans leur foi, beaucoup d’éléments bibliques, hormis les Dix Commandements… ce qui explique leur étanchéité.

Cette « faiblesse » que nous découvrons dans le marchandage entre Abraham et le Tout-Puissant concernant les habitants de Sodome et Gomorrhe, et cette « compassion » révélée par le sacrifice d’Isaac, sous-entend « Même pour ton amour pour MOI, tu ne tueras point », inexistant dans le Coran.

Comment alors expliquer l’absence de tout signe de miséricorde, de compassion au sein des chrétiens envers les braves soldats juifs et israéliens, prêts à se sacrifier pour sauver leur patrie, leur foi, leur passé ?

Mais aussi, comment peut-on concevoir toute tolérance, si les chefs d’État européens, n’en éprouvent même pas pour leurs concitoyens ? Châtiment ou aveuglement ? Peu importe. N’oublions jamais que nous sommes tous les outils du Créateur ? Ou alors comme le dit si bien mon prof : Nous portons en nous le message Universaliste depuis le Mont Sinaï avec notre promesse de diffuser La parole Divine à toutes les nations.

Insensés vous êtes, vous ignorez que nous sommes VOUS !!!

Thérèse Zrihen-Dvir

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