Je croyais avoir tout vu, même le pire.
Force est de constater que d’aucuns sont capables d’aller au-delà de toute limite!
Raoul Girodet
NOUS MOURRONS BIENTÔT DE SOIF !
Dans une énième pétition destinée à entretenir notre angoisse, les écologistes nous
informent du très grave danger que vont courir nos enfants : « Mourront-ils tous de
soif ? »
En effet, la pétition s’intitule :
« Nos enfants auront-ils de l’eau douce à leur disposition ? », laissant imaginer le pire, avec cette photo angoissante :
Et, évidemment, l’exposé stigmatise les agriculteurs en affirmant. notamment que les éleveurs seraient responsables d’une gabegie d’eau insensée. Démonstration évidemment des plus rigoureuses comme nous allons le voir. Car apparaît la notion « d’empreinte d’eau » pour compléter la sempiternelle « empreinte carbone » :
« Quelle est l’empreinte d’eau d’un kilo de bœuf ?
Les hydrologues estiment que pour estimer ce fameux kilo de viande, il faut environ :
• 9.000 à 10.000 litres d’eau verte, liée au fourrage et à l’herbe broutée
• 1.000 à 2.000 litres d’eau bleue, liée à l’irrigation, à l’abreuvage et à l’abattoir•
. 3.000 à 4.000 litres d’eau grise, liée à la pollution des engrais et aux bouses de vaches.
Cela peut paraître un peu conceptuel, mais c’est un moyen de mesurer les quantités d’eau douce réellement disponibles à la consommation. »
Quels bobards les écologistes ne sont-ils pas prêts à nous faire avaler ?…
15 MÈTRES CUBES pour « faire » un kilo de viande de bœuf… Enfin, 15 mètres cubes « environ », comme le précise l’article.
C’est effectivement très « environ » comme nous allons le démontrer.
D’abord, la méthode de calcul comptabilise l’eau qui a servi à faire pousser l’herbe et à irriguer. Car il est bien évident que s’il n’y avait pas eu le bœuf, il aurait cessé de pleuvoir sur la pâture, non ? Idem pour l’eau d’irrigation utilisée pour les céréales.
Nous venons de voir qu’il s’agit d’une pure escroquerie intellectuelle : l’économie de 10.000 à 11.000 litres d’eau n’existe pas : si on supprimait le bœuf, il pleuvrait de la même manière et l’eau continuerait à entrer dans son cycle, comme on nous l’avait appris à l’école primaire.
C’est un peu comme si l’on créait « une empreinte eau » pour la voiture et qu’on comptabilisant toute la pluie qu’elle reçoit au cours de sa vie si on ne la rentre pas au garage !
Quant aux 3.000 à 4.000 litres de pollution liés aux bouses et autres urines, là encore, j’ignore comment l’eau aurait disparu. En effet, la pisse et la bouse, repartant dans la nature restituent intégralement l’eau que l’animal a prélevé par sa nourriture et sa boisson, apportant une contribution appréciable sous forme d’engrais. Notons de surcroît que cette eau a déjà été comptée une fois, puisque qu’avant de pisser, notre brave vache l’aura déjà bue, non ?
Essayons de raisonner comme une personne sensée, loin de tout le galimatias « conceptuel » des écologistes.
Supposons qu’une vache vive dans la nature et meure de sa belle mort car on ne l’aura pas envoyée à l’abattoir. Quelle est son empreinte eau ? De toute évidence, elle est totalement nulle : la vache restitue par ses déjections et par l’humidité de sa respiration toute l’eau qu’elle aura ingérée en broutant et en buvant. Et l’eau contenue dans son corps sera restituée à la nature à sa mort lors de sa décomposition ou de sa prédation.
Bilan nul : toute l’eau entrée est ressortie. Prenons alors cette même vache et, au lieu de la laisser mourir de sa belle mort, supposons qu’on l’envoie à l’abattoir. Quelle est alors la consommation en eau que cela implique ? On aura alors la « vraie empreinte eau » de la viande de bœuf : c’est seulement celle induite par l’activité humaine à savoir : transport, abattage et transformation.
On peut estimer qu’un abattoir consomme 4,4 m3 d’eau par « tonne équivalent carcasse » (Source : Interbev). Avec un rendement de découpe de 56%, ça représente 11,2 m3 par tonne de viande de bœuf soit… un peu plus de 12 litres par kilo ! 12 petits litres… On est quand même un peu loin des 15.000 litres annoncés !
On voit sur cet exemple comment les écologistes appuient leurs raisonnements sur le mensonge.
Sans vergogne, sans fausse honte, avec constance et détermination, l’écologiste ment. C’est sa raison d’être et son fond de commerce. Pour qu’il existe, il faut qu’il entretienne l’angoisse.
L’angoisse est finalement le vrai fonds de commerce de l’écologie.
Le militant écologiste de base ment en répétant bêtement les slogans tous faits : « Un kilo de bœuf c’est 15.000 litres d’eau ». Il ne faut pas lui en vouloir, car il est seulement sot, et pas nécessairement malhonnête et il croît peut-être dans les sottises qu’il propage. Beati pauperes spiritu !
On m’a toujours appris à ne pas mépriser les simples d’esprit. J’ai donc une réelle compassion pour l’écolo-bobo qui va, comme un perroquet, répéter partout :
• « Il ne faut plus manger de viande »
• « Il ne faut plus prendre l’avion »,
• « Il faut interdire la voiture à moteur thermique ! »
• « Les OGM sont dangereux pour la santé ! »,
• « C’est l’Homme qui est à l’origine du réchauffement climatique »…!
À chaque fois, comme un missionnaire en pays païen, il va prêcher la bonne parole.
Cependant, autant je suis donc enclin à la plus grande mansuétude pour tous les crétins qui constituent le gros du bataillon écologiste, autant je juge sans la moindre pitié les salopards qui inventent de toute pièce ces slogans, en cherchant à abuser des esprits faibles par des raisonnements spécieux.
Ils se reconnaitront tous ici, ces apôtres de malheur, hantant les plateaux de télé, publiant des bouquins annonciateurs d’apocalypse et allant répandre l’effarement dans les populations crédules.
Ils vivent grassement de leurs prophéties de malheur, inconscients des ravages qu’ilsprovoquent. La mort des éleveurs, c’est eux ! La mort de l’industrie automobile, c’est eux ! La ruine de l’aviation civile, c’est eux ! Les ZFE, c’est eux : rouler en diésel est un délit mais s’acheter une Tesla à 80.000 euros, c’est bien ! L’interdiction des cheminées et des barbecues, c’est pour demain !
Alors de grâce, réfléchissez un peu. Ne prenez JAMAIS comme vraie l’affirmation des écologistes. Elles sont toujours biaisées, déformées ou carrément mensongères. Et pas qu’un peu ! 12 litres au lieu de 15.000 !
Dans toute cette affaire, il faut retenir que l’unité officielle des écologistes sera désormais le « V ». Il devra être homologué par la 28ème Conférence Générale des Poids et Mesures qui se tiendra en novembre 2026 à Versailles.
La définition du Viron sera ainsi proposée :
« Unité universelle, de masse, de temps, de température, de distance, de poids, ou même non dimensionnelle dont la vertu est d’être hautement approximative et permettant des inexactitudes de l’ordre du millionième. Le haut degré d’imprécision de cette unité dispense de l’utilisation de multiples et sous multiples. »
Exemples :
– « Pour faire un kilo de bœuf, il faut 15.000 litres (en virons) »
– « La température de la planète va augmenter de deux degrés (en virons).
– « Un pet de vache, c’est 3.251 tonnes de CO2, (en virons)
– « La montée des eaux ce sera, en virons, un mètre d’ici 2.100 ».
– « La canicule a provoqué 250.000 morts dans le Loiret, en virons »
– « Si l’on continue à respirer, la planète disparaîtra dans 25 ans 4 mois et 3 jours,
en virons »
– « Il faut bannir le fromage : une meule de Roquefort, c’est 25 tsunamis, en
virons »
– « Plus de café ! Chaque expresso tue 2,56 colibris, en virons »
En somme, l’écologie moderne a réussi l’exploit de transformer la science exacte en approximation religieuse : Bienvenue dans l’ère du Viron, où 1 + 1 = environ l’apocalypse ! »
Raoul Girodet
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Sachant qu’il tombe 413 500 milliards de litres d’eau sur la France pour faire 300 000 bebés, il faut donc 1,4 milliards de litres d’eau pour faire un bébé.
Ca c’est des maths comme je les aime.
A quoi pensent les écologistes qui ont fait ces « calculs »? Ils ont oublié de prendre en compte l’empreinte eau du vacher, de la construction et de l’entretien de l’étable, de la fabrication du papier nécessaire à l’application de leurs réglementations, de la sueur des contrôleurs impitoyables dans le respect de leurs règles, et j’en oublie… La véritable économie d’eau serait leur disparition de la scène publique.
Il y a une faute de frappe dans le lien « énième pétition », le bon lien pour consulter la pétition est :
https://blog.leslignesbougent.org/nos-enfants-auront-ils-de-leau-douce-a-leur-disposition/
Et on peut alors constater qu’il n’est indiqué nulle part QUI est l’auteur de la pétition ni A QUI cette pétition est adressée…
Quand on se penche sur le livre de Nicolas HULOT, « Le syndrome du Titanic » paru en 2004, donc il y a plus de 20 ans, on mesure la pertinence du Viron.
En effet, en page 220, je cite la dernière phrase de la page :
« En 2025, l’humanité ne bénéficiera plus que du quart de la quantité d’eau disponible en 1950 »
Le Viron n’ayant pas encore été inventé en 2004, il faut nuancer puisque nous sommes en 2025 et qu’il y a toujours autant d’eau disponible qu’en 2004. La bonne version aurait dû être :
« En 2025, en Viron, donc entre 2025 et 3025, l’humanité ne bénéficiera plus que du quart de la quantité d’eau disponible en 1950 ».
En 2009, Nicolas HULOT a publié un nouveau livre correctif, « Le syndrome du Titanic 2 » mais le Viron n’ayant toujours pas encore été mis au point, toutes ses prophéties sont du même acabit.
Si les écolos dingos étaient cohérents avec leur secte ils devraient tous se suicider pour abréger leurs souffrances face à cette apocalypse.
Que sont devenues les pluies aciďes , le trou de la couche d ozone?
Et combien de litres d’eau pour laver la connerie monumentale de ses escroclos vert pastèque qui nous pompent l’air en nous empêchant de pomper de l’eau .
les écolos ont aucune connaissance technique et scientifique.
ils sortent de sciences pipeau ou droit.
la quantité d’eau sur terre est invariable.
sauf sa nature change gaz solide liquide
Et pour faire un écologiste qui nous fera chier tout au long de sa vie, combien d’eau, combien de mètres cubes de CO2 quand il expire notre oxygène ? Ils nous pompent l’air. Tiens, les incendies, ce n’est pas le réchauffement climatique mais les mégots et les barbecues sauvages de connards inconscients. Au Moyen-Âge, les incendiaires étaient pendus. Il faudrait remettre cette belle coutume au goût du jour.
En tous cas en Chine ils reçoivent une balle dans la tête.