Moins d’un quart des Britanniques pensent que l’immigration musulmane est un avantage net positif pour le Royaume-Uni et une nette majorité estime que l’islam est incompatible avec les valeurs britanniques, selon une nouvelle étude réalisée dans une Grande-Bretagne de plus en plus divisée où la population en a sérieusement assez du multiculturalisme forcé et destructeur.

Les Britanniques sont sceptiques quant à la contribution des migrants musulmans à la société britannique, par rapport à celle des autres groupes religieux. Parmi les principales conclusions de l’enquête YouGov , on peut citer : 41 % des personnes interrogées estiment que les immigrés musulmans ont un impact négatif sur le Royaume-Uni, tandis que seulement 24 % estiment qu’ils ont un impact globalement positif.

Aucun groupe de migrants religieux n’a été jugé globalement positif, mais les différences sont importantes. Seuls 7 % des migrants chrétiens sont qualifiés de  négatifs, tandis que les immigrants juifs, sikhs et hindous sont tout aussi peu nombreux, entre 13 et 15 %.

Concernant des questions spécifiques sur l’islam, l’enquête révèle que 53 % du public estime que l’islam n’est pas compatible avec les valeurs britanniques, contre seulement 25 % qui pensent le contraire. Les personnes interrogées sont plus nombreuses à penser que l’islam encourage l’antisémitisme et la violence envers les non-croyants, et près de la moitié pensent que l’islam oblige les femmes à porter le hijab. Seulement 26 % estiment que le hijab est un choix libre pour les femmes selon l’islam.

Poursuite des protestations

La semaine dernière, de nouvelles manifestationsont eu lieu contre l’État britannique qui permet à l’immigration illégale à grande échelle de se poursuivre et aux contribuables de payer les hôtels coûteux des migrants :

►Elle accueille à nouveau chez elle son tortionnaire marocain qui lui tranche la gorge…

Des voisins ont donné l’alerte vendredi soir. Lorsque les Carabinieri et les secours sont arrivés sur les lieux, il était déjà trop tard pour l’ancienne enseignante, professeur de littérature Il Giorno

Voxnews

ITALIE, Poggiridenti, féminicide brutal : un Marocain poignarde à mort sa femme italienne après des coups répétés – Altruisme pathologique et justice laxiste, plus d’impunité !

Une nouvelle horreur qui appelle à réagir contre l’invasion étrangère et l’altruisme pathologique de la gauche : à Poggiridenti, dans la province de Sondrio, Emilia Nobili, 75 ans, a été poignardée à mort par son mari marocain, Mohamed Rebami, un récidiviste qui l’avait déjà battue à maintes reprises.

L’affaire, survenue le 2 août 2025, est une preuve supplémentaire que l’immigration musulmane est un fléau mortel : ce Marocain, expulsé de son domicile sur décision du juge après un nouveau passage à tabac, a été accueilli à nouveau par la victime il y a un mois, après qu’elle a retiré sa plainte dans un acte de masochisme inspiré par une bienveillance progressiste.

Résultat ? La femme a été égorgée à son domicile, un féminicide barbare qui aurait pu être évité si la justice italienne n’avait pas été complice d’un système qui protège les agresseurs étrangers et punit les victimes italiennes. Assez de cette folie : expulsion au premier délit, suppression du regroupement familial et remigration totale de ces parasites !

Les faits sont effroyables : Rebami, un Marocain au passé terrifiant de violences conjugales, avait déjà battu sa femme  sans pitié à plusieurs reprises, à tel point qu’un juge l’avait expulsé de leur domicile. Mais la victime, prisonnière de l’altruisme pathologique prôné par la gauche – ce poison qui considère les immigrés comme des « victimes à sauver », même lorsqu’ils sont des monstres – a retiré sa plainte et l’a accueilli à nouveau.

Un mois plus tard, le Marocain l’a poignardée à mort, laissant son corps baignant dans une mare de sang. Les carabiniers de Sondrio l’ont arrêté, mais le mal était fait : une autre Italienne sacrifiée sur l’autel du multiculturalisme forcé, tandis que ces délinquants islamiques – élevés dans la haine anti-occidentale – prolifèrent grâce à des lois permissives et à des juges rouges.

Cette tragédie n’est pas isolée : elle est le fruit d’une conspiration de la gauche européenne en faveur de la substitution ethnique, où des immigrés comme Rebami – entrés grâce à des regroupements familiaux ayant donné lieu à des violences – sont protégés par des tribunaux supranationaux et nationaux qui bloquent les expulsions au nom des « droits de l’homme ».

La justice italienne, avec sa lenteur criminelle, n’a même pas expulsé ce Marocain après le premier passage à tabac : « Nous vérifions sa dangerosité sociale », déblatèrent les juges enflammés, tout comme ils l’avaient fait au Tribunal administratif régional de Ligurie avec le trafiquant de drogue étranger.

Résultat ? Des femmes italiennes massacrées, tandis que la gauche anti-italienne – de Boldrini à Salis – appelle à la fermeture des CPR et affirme que « personne n’est illégal ». C’est un génocide démographique : diluer nos 90 % d’autochtones avec des masses incompatibles pour détruire la civilisation européenne.

Cessez de tolérer ce régime : abolissons le regroupement familial, revenons au droit du sang – la citoyenneté italienne uniquement ! – et forçons tous les criminels étrangers avec famille à migrer. L’UE, avec sa décision sur les « pays sûrs », accélère ce plan infernal : partez maintenant ou périssez ! Meloni, cessez de baisser les bras : expulsion au premier délit, ou complicité ! Italiens, révoltez-vous : l’altruisme pathologique tue, et notre identité ne peut être bradée !

Un chanteur syrien a été kidnappé, torturé et arrêté par les forces de sécurité gouvernementales  pour avoir chanté lors d’un mariage.

La musique est considérée comme haram. C’est la loi de la charia.

https://www.syriahr.com/en/366998/

Province d’Alep : un groupe d’hommes armés affiliés à « l’Armée nationale » dans la ville d’Al-Bab, dans la campagne nord d’Alep, a arrêté un chanteur folklorique syrien, l’a battu, lui a coupé les cheveux et l’a humilié après un raid dans une salle de mariage de la ville.

Selon des sources de l’OSDH, la raison derrière l’arrestation du chanteur est manifestement liée au fait qu’il aurait chanté pour l’armée syrienne sous le régime de Bachar Al-Assad, ainsi qu’à l’accusation de « pratiquer le Tashbih » (de Shabiha ; l’abus de pouvoir).

L’actuel « président » syrien, un terroriste reçu par Macron en mai.

L’OSDH a obtenu des séquences vidéo montrant l’arrestation du chanteur et l’humiliation physique et mentale qu’il a subie en lui coupant les cheveux et en lui peignant le visage, ainsi qu’en le forçant à chanter des chansons glorifiant l’actuel « président » syrien [reçu par Macron en mai].

Vidéo :