Quelques temps forts du cinéma français (extraits en vidéos)

Flic ou Voyou, 1979 Lien de visionnage en ligne ici, bonne qualité

Promenons-nous dans nos souvenirs avec des extraits de films français

En cette semaine du 14 juillet,
Sur Résistance républicaine, la France est célébrée,
Le cinéma français, éclatant sous le ciel d’été,
Offre des instants forts, à voir et à partager.

Bonne promenade ! 

14 Juillet (1933) 

Bande-annonce : 

Le film « 14 Juillet » est une comédie dramatique française réalisée par René Clair, sortie en 1933.

La scène du bal du 14 juillet se déroule dans un quartier populaire de Paris, où les habitants se rassemblent pour danser sous les lampions. 

Ce film est considéré comme l’une des premières comédies romantiques du cinéma parlant français.

Ce film nous a laissé une merveilleuse chanson : 

C’est lors de ce bal que les deux personnages principaux, Anna et Jean, échangent des serments d’amour, portés par la valse musette « À Paris dans chaque faubourg ».

Par Lys Gauty (première interprète),  par Yves Montand, par Maurice Chevalierpar l’orchestre de Raymond Lefevre, par Mistigri, par Patachou, par Colette Renard, par Zizi Jeanmaire

La Carapate (1978) – La France est foutue ! 

Lien de visionnage en ligne ici

Flic ou voyou (1979) – Y a quelqu’un ?

Flic ou voyou (1979) – Pas de regrets ?

L’As des As (1982) – Beethoven 

Le Cerveau (1969) – Puisqu’on te le dit 

Pas de problème ! (1975) : Le service n’est plus ce qu’il était

Je suis timide mais je me soigne (1978) – Au restaurant

Fantômas contre Scotland-Yard (1967) – On m’a dépendu mon pendu!

L’horloger de Saint-Paul (1974) – Avec une petite pointe d’humour dans l’œil 

Le Coup du Parapluie (1980) – Soyez raisonnable !

La Carapate (1978) – J’ai dit à plat ventre 

La Gifle (1974) – Vous en avez encore là! 

 

 471 total views,  462 views today

image_pdf

Répondre à jeannebeaufort@gmail.com Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


6 Commentaires

  1. Bonjour
    Que reste-t-il de ce cinéma…
    Un vieux souvenir…
    D’ailleurs gravé au fond de la mémoire me revient  » le cinéma du dimanche soir « . Merveilleux moment où autour de la table chez mes grands-parents, toute la famille mangeait les restes du repas de midi et comme le repas durait cela me permettait de voir ces films à travers le téléviseur noir et blanc… Si par bonheur le film était prenant, aucun adulte ne se levait avant la fin…

  2. Voir la vraie France dans la rue et chez les figurants fait un bien fou et donne la mesure de ce que nous avons perdu. Peut-être pour toujours.
    Mais dès les années 70 (L’horloger de Saint-Paul, La Carapate) , on voit poindre l’insinuation du désordre et de la dé-cons-struction sous prétexte d’humour. Très insidieux. Nous sommes 50 ans après. Nous en vivons les conséquences. Irréparables.
    Seule note noble, la réconciliation franco-allemande sous les traits de Bébel et du bel Allemand. Et encore, ce n’était pas désintéressé avec le forcing pour l’acceptation de l’UE qui pointait pernicieusement son nez.
    Irréparable.

  3. Merci Jules. Je regarde souvent des extraits de vieux films sur Youtube. Les Vieux de la vieille, Papy fait de la résistance, etc. Tous ces merveilleux acteurs sont morts pour la plupart. Des scènes de la Carapate ont été tournées à Dreux, ville où je me rends de temps en temps. Les parents de Raymond Bussières tenaient un café à Ivry-la-Bataille dans l’Eure. Le café existe toujours, il se nomme Le Royal. Une plaque a été posée en l’honneur de Raymond Bussières en 2017, il est né dans l’appartement de cet établissement. Au dessus. Souvenirs souvenirs.