Pour l’instant, nous avons donné quelques noms parmi les principaux meneurs de la gauche poltpotiste de l’Allier, qui paraît prête à tout pour empêcher le déroulement normal du spectacle historique et culturel « Murmures de la Cité ». Outre les deux pathétiques meneurs, le cas pathologique Vincent Présumey, grand chef de la FSU, et Laurent Indrusiak, le repris de justice de la CGT, nous avons évoqué les deuxièmes couteaux, comme Laetitia Planche, stalinienne locale, et Laetitia Planche, syndicaliste CGT de l’hôpital départemental.
Ces charlots, après avoir expliqué partout qu’ils étaient menacés de mort, expliquent qu’en fait, ce n’est pas tout à fait vrai, mais que quand même ils pourraient être tués par les fachos ! À ce niveau-là, on est dans des cas psychiatriques très lourds…
Mais nos amis de l’Allier nous ont fait remarquer que nous avions oublié dans le tas une personnalité locale importante, qui paye de sa personne dans ce glorieux combat révisionniste, le nommé Jacques Lahaye. C’est qui ce zèbre ?
Un politicard local, issu de l’Éducation nationale, qui n’a pas réussi, à trois reprises, bien que nommé grand chef de la gauche, à dégommer le maire Pierre-André Périssol. Alors chef local de l’opposition, ce socialaud de toujours a définitivement jeté l’éponge en 2020. Mais avait-il fini de nuire pour autant ? C’est mal connaître ce genre de loustic !
Il a donc décidé d’être le grand chef de Viltaïs, et d’imposer des clandestins africains aux habitants de l’Allier, en oubliant juste de leur demander leur avis. Rien de plus facile, en s’appuyant sur l’État immigrationniste, on est certain d’être gavé de subventions, et dans ce registre, l’association immigrationniste, basée dans la région, se révèle imbattable, quitte à prendre certaines libertés avec la déontologie qui devrait animer ces donneurs de leçons.
Notre contributeur Bernard Germain, qui combattait l’influence de Viltaïs en Bretagne, nous avait décrit les énormes magouilles de l’association à clandestins.
Bien évidemment, dans l’Allier, on ne faisait pas exception aux petites combines entre amis. Est-ce pour échapper au scandale que Lahaye a démissionné cette année de la présidence ? Toujours est-il que son numéro deux, le directeur Yannick Lucot, qui menait, comme beaucoup de responsables de Viltaïs, un grand train de vie, a été inculpé pour détournement de fonds, entre autres.
Sans doute pour aider le petit commerce local, le bougre aimait les grands restaurants et s’était augmenté de 1000 euros par mois. Selon la version officielle, son copain Lahaye n’était pas au courant. Ben voyons ! Lucot était par ailleurs un proche de Wauquiez, qui jouait double jeu, car la Région aussi finançait Viltaïs. Son procès aura lieu le 15 septembre 2025 et il va probablement se justifier en disant que toutes ses décisions étaient approuvées par le C.A., donc par Lahaye ! L’explication entre le pote à Wauquiez et le socialaud promet d’être savoureuse devant les juges. Certains esprits malveillants diront qu’il est rare, dans une entreprise privée, qu’un directeur puisse se permettre autant de choses sans que le président ne soit au courant.
Cerise sur le gâteau, Viltaïs a été racheté par SOS, le géant de l’économie solidaire et sociale dont le directeur Borello est un proche des Macron et a trempé dans des affaires de drogue quand il était directeur du groupe Régine (!!!) et des affaires plus graves aussi, autour des réseaux pédophiles (institut des Tournelles). Lahaye, qui connaît le système local par cœur, ne peut ignorer tout cela, c’est peut-être la raison pour laquelle il a pris le maquis, de manière beaucoup moins glorieuse que les vrais résistants du département 80 ans plus tôt.
Et c’est ce personnage, qui, toute honte bue, ose mener campagne, auprès de la clique Présumey et Indrusiak, contre le spectacle culturel et historique « Mémoires de la Cité », sous le prétexte que les petits polpotistes locaux de gauche ne veulent pas qu’on valorise l’histoire de France dans une approche semblable à celle du Puy du Fou.
Un vieux dicton français, qui sans doute dérangera cette mafia de minables censeurs, affirme que « quand on monte à un arbre, il faut avoir le cul propre ».
Dans un autre registre, Michel Audiard faisait dire à Jean Gabin que « les cons, ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnaît ».
Paul Le Poulpe
https://www.adsea03.fr/lassociation/
https://www.ccomptes.fr/system/files/2022-06/ARAO202231-R2.pdf
https://www.bvoltaire.fr/un-ex-employe-balance-viltais-reserverait-des-conditions-daccueil-indignes/
https://x.com/TransparenceCit/status/1849123734281478309
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Les malfaisants ne savent que nuire et détruire le beau et nous imposer leurs visions tordus. Marre de ces pourritures qui pour arriver à leurs fins, ne font que magouilles et corruption. Et malheureusement plus ils sont porris et plus ils peuvent nuire car protégés par ce gouvernement de vendus qui ne vaut pas plus cher qu’eux. C’est de pire en pire. C’est du jamais vu. Je suis écœuré, dégouté.