
Pourquoi le président de notre République Française n’appliquerait-il pas contre « quelques contrôleurs aériens en grève » les mêmes méthodes qu’avait prises au siècle dernier un Président des États-Unis contre… non pas 272 contrôleurs aériens mais 11.000 ! Oui, 11.000 contrôleurs qu’il avait immédiatement remplacés par des contrôleurs de l’armée américaine !
Ok, on ne peut comparer les deux présidents… L’envergure politique d’un Ronald Reagan était d’une tout autre dimension…
Vendredi, le journal L’Indépendant soulignait l’opposition entre des grévistes minoritaires et des centaines de milliers de familles avec enfants et des personnes âgées :
« Des centaines de milliers de personnes ont déjà été affectées jeudi en France et en Europe par ce mouvement social, déclenché par deux syndicats minoritaires qui réclament une amélioration de leurs conditions de travail et des effectifs plus importants. »
Le ministre des Transports a déploré « l’impact de 272 personnes sur le bien-être de plus de 500 000 passagers. »
272 grévistes ayant ainsi entraîné la suppression de près d’un millier de vols :
« La Direction générale de l’aviation civile a chiffré à 933 le nombre de vols supprimés jeudi au départ ou à l’arrivée de la France, soit environ 10 % des vols initialement prévus. Localement, ces taux ont été bien plus élevés : 50 % à Nice, troisième aéroport français, et 25 % à Paris-Charles-de-Gaulle et Orly, où transitent 350.000 personnes par jour au total en période estivale. »

Et cette grève se poursuivra car un Macron n’ira jamais chercher dans le droit français ce qu’un Reagan avait trouvé dans la législation américaine en 1981… -la France inaugurait alors l’ère présidentielle de la gauche avec François Mitterrand !- comme l’a rappelé le journal économique Les Echos le 18 juillet 2018 : L’année où la France « soufflait la première bougie » de l’ère présidentielle d’un petit nouveau (alors encore « tout beau » pour certains) Emmanuel Macron !
« 1981 – Quand Reagan licenciait 11.000 contrôleurs aériens »
« Sept mois après son arrivée à la Maison-Blanche, Ronald Reagan prend une décision radicale qui marquera pour longtemps les relations sociales aux Etats-Unis. En cet été 1981, la déréglementation du ciel américain, signée dès 1978 par le président Jimmy Carter, produit ses pleins effets (…) le trafic aérien décolle dans le pays (.)… Mais le 3 août, le syndicat des contrôleurs aériens qui compte 15.000 adhérents déclenche une grève, réclamant de meilleurs salaires, une durée du travail de 32 heures par semaine sur quatre jours, et un matériel plus moderne. Aussitôt, les grands aéroports du pays n’écoulent plus que 50 % de leurs vols, et des millions d’Américains sont cloués au sol. »
Pris de colère, Reagan ressort un serment signé par ces fonctionnaires fédéraux qui « violent la loi » et leur oppose leur serment :
« Permettez-moi de lire le serment solennel pris par chacun de ces employés quand ils ont accepté leur emploi », déclare-t-il devant la presse : « Je ne participe pas à une grève contre le gouvernement des Etats-Unis ou tout organisme de celui-ci, et je n’y participerai pas tant que je suis employé du gouvernement des Etats-Unis ou d’une de ses agences. »
Et il ajoute : « Je dois dire, à ceux qui ne se sont pas présentés au travail ce matin, qu’ils violent la loi et s’ils ne se présentent pas au travail dans les 48 heures, ils auront perdu leur emploi et leurs contrats seront résiliés. »
« Misant sur un bluff de la Maison-Blanche, l’immense majorité des grévistes refuse de remonter dans les tours de contrôle. Le 5 août, la sanction tombe. Il les remplace sur-le-champ par des superviseurs, des non-grévistes et des contrôleurs militaires, employés le temps de former des remplaçants, soit trois ans à l’époque. »
Quant à leur syndicat, « outre d’imposantes amendes (40 millions de dollars) » et « quelques leaders envoyés en prison », il fut « banni des négociations collectives. »
À la décharge de notre micro-Macron, il est peu probable que nos juges s’arrogent la possibilité d’accepter de bannir les contrôleurs en grève et encore moins de les envoyer en prison ou de leur coller la moindre amende financière en raison de leur grève…
Mais pour quelle raison ne le feraient-ils pas ? Mais tout simplement parce que les écolos soutiendraient ces grévistes accomplissant une action si bénéfique pour la planète : la diminution des… voyages aériens !
Et ce n’est pas Macron qui s’y opposerait…
Jacques MARTINEZ, journaliste,
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
124 total views, 124 views today
Considérant la situation actuelle de la FRANCE et de tous les pays OCCIDENTAUX,partir en vacances n’est pas raisonnable.Il faut d’abord régler le problème de la secte qui nous envahit et qui n’a RIEN à faire chez nous,sauf dépouiller les Français OCCIDENTAUX de leurs ressources.Les contrôlleurs aériens,qui ont du assumer tant de problèmes à cause de cette secte l’ont sans doute compris………
Et quels sont les revendications de ces contrôleur aériens à 8000 € par mois ? C’est curieux, on n’en sait rien. Par ailleurs, il semblerait que les contrôles aériens sont obsolètes par rapport à ceux de l’Allemagne et qu’ils sont multipliés, ce qui fait qu’il y a plus de contrôleurs aériens qu’il n’en faudrait si on se mettait au niveau. Donc ça fait partie de la France : se mettre en grève pour emmerder les gens d’une part, et ne pas moderniser par manque d’argent évidemment puisque l’argent en question sert à payer les hauts fonctionnaires en trop.
Le clown pervers narcissique et fou furieux qui hante les couloirs de l’élisé avec sa maman na rien du chef d’état dont il piétine la fonction. A part emmerder les français, il est bon a rien et mauvais à tout et tout ce qu’iltouche se transforme en merde. C’est aplaventriste qui tremble en se couchant devant tébboune et la yène n’a rien d’un président. C’est juste un gamin immature qui ne comprends rien et qui dilapide notre pognon. Rien de bon ne peut sortir de c’est immonde personnage. Ce type est un échec à lui tout seul. Et ne parlons pas des sinistres tous plus mauvais les uns que les autres qui lui lèchent les babouches. Quelle honte.