Quel Français censé voudrait encore passer ses vacances en Algérie, ce pays où l’on jette en prison un écrivain octogénaire, malade, pour avoir osé penser autrement ?
Le régime algérien, fidèle à ses réflexes d’un autre âge, vient de s’illustrer une fois de plus par son acharnement contre Boualem Sansal : dix ans de prison requis en appel, après une première condamnation à cinq ans, pour le crime suprême d’avoir exprimé une opinion sur l’histoire des frontières.
Voilà donc l’Algérie, patrie autoproclamée des martyrs de la liberté, devenue la caricature de ce qu’elle prétendait combattre : une machine à broyer les voix libres, à criminaliser la pensée, à fabriquer des procès expéditifs où la justice n’est qu’une sinistre farce.
On prétendait que la répression des intellectuels appartenait au passé ; le pouvoir algérien prouve qu’il n’a rien appris, rien oublié.
Boualem Sansal, 80 ans, atteint d’un cancer, est traîné devant des juges pressés, privé de l’avocat de son choix – l’administration n’ayant même pas daigné délivrer un visa à son défenseur français.
Les chefs d’accusation ? « Atteinte à l’unité nationale », « outrage à corps constitué », « pratiques de nature à nuire à l’économie nationale » : un festival d’accusations fourre-tout, dignes des pires dictatures, pour masquer la peur panique du débat et du doute.
À quoi bon vanter les plages, les montagnes et les oasis, quand le pays est devenu une immense prison à ciel ouvert pour ceux qui refusent de se taire ? L’Algérie officielle n’offre plus que la peur, la surveillance, la censure et l’arbitraire. Le message est clair : ici, la liberté n’est pas la bienvenue. Qui voudrait, dans ces conditions, y passer ses vacances ? Qui, sinon les collabos des régimes musulmans, irait se prélasser à l’ombre des miradors ?
Le régime algérien ne se contente pas d’étouffer ses écrivains :il transforme chaque touriste potentiel en témoin gêné d’une tragédie nationale. L’Algérie, ce n’est pas une destination : c’est une mise en garde contre l’islam au pouvoir.
Objectif : la rendre plus accueillante pour les touristes, tant locaux qu’étrangers, et replacer Alger sur la carte des destinations méditerranéennes attractives.
➡️L’article complet dans le premier commentaire pic.twitter.com/26mko3pMAq— TSA Algérie (@TSAlgerie) June 22, 2025
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En fait c’est le FLN qui a pris le pouvoir en Algérie et on se croirait revenu pendant la guerre d’Algérie. La haine et leur principal vecteur, contre la France et les Français. Dans le telles conditions moyenâgeuses, on ne peut pas s’attendre à ce que ces gens libèrent Boualem Sansal. Ils doivent attendre qu’il meure de son cancer. D’ailleurs est-il soigné ? On n’en sait rien. Les médias français n’en parlent jamais. Quant à Macron visiblement son sort en prison ne l’intéresse pas.
Touriste français , touristes français , vous voulez sans doute dire les petits maghrébins qui rentrent au bled pendant l’été ?
Ceux-là ne risquent rien, ils apportent du flouz français.
Touriste francais témoignant de ce qu’il a vu de tragique en Algerie :
troll
Un autre témoignage de la maltraitance que subissent les touristes en Algérie :
troll
Bonjour;
Les Algériens peuvent danser la danse du ventre devant les touristes.
Personne n’a confiance dans ce pays de fous furieux …
Merci Jules pour cet article !
Profitez-en également pour évoquer le cas de cet autre écrivain français, d’origine marocaine celui-là, Maâti Monjib, qui est toujours retenu au Maroc après avoir purgé une peine de prison pour avoir critiqué le roi du Maroc.
Policière algérienne maltraitant un touriste français :
[troll ! les ennemis de mes amis sont mes ennemis]
Pourquoi mettre ‘troll’ dans mes commentaires.
Laissez vos lecteurs juger par eux-mêmes au lieu de décider à leur place ce qu’ils peuvent voir ou pas. On ne peut pas critiquer les dictatures et se comporter pire qu’elles
Troll = troll si c’est pour vanter la musulmanie. La promotion de l’islam, on l’a déjà H24 ailleurs
Algérie preneuse d’otages. L’état français, s’il était gouverné, devrait suspendre, et annuler ceux en cours, tous les visas jusqu’à la libération de Sansal.