Pendant ce temps, Zelensky se prend un vent au Canada, Trump soutient Poutine !

On ne sait pas qui sont les incapables et les traîtres qui ont invité le nazi ukrainien au sommet du G7 à Kananaskis au Canada (qu’avait à y faire le mendiant qui bombarde les populations russophones de son pays ? ), mais cela ne s’est pas déroulé comme le président non élu de l’Ukraine le voulait. 

Trump a quitté le dit sommet de façon précipitée sans voir Zelensky, prétextant la situation au Proche-Orient. Pardon, sans vouloir le voir. Un vent, vous dis-je… Mieux encore, Trump a réitéré son soutien à Poutine, ce qui a fichu en l’air le consensus voulu et attendu des autres membres du G7. Merci Trump !

Conséquence immédiate, le mendiant ukrainien est reparti les poches certes un peu moins vides qu’à son arrivée. Pas un sou de plus pour l’Ukraine de la part de Trump, malgré les efforts désespérés de la trilogie des pantins européens, Macron, Merz et Starmer… Le seul Premier Ministre Canadien lui a fait l’aumône de 2 milliards de dollars canadiens

Un responsable canadien a déclaré dans un premier temps qu’Ottawa avait renoncé à ce que le G7 publie une déclaration ferme sur la guerre en Ukraine en raison de la résistance des États-Unis.

Emily Williams, directrice des relations avec les médias du Premier ministre canadien Mark Carney, a par la suite fait savoir qu’aucune déclaration sur l’Ukraine n’avait été prévue. Mark Carney avait annoncé plus tôt dans journée qu’Ottawa fournirait une nouvelle aide militaire de 2 milliards de dollars canadiens (1,27 milliard d’euros) à Kyiv.

[…]

Trois diplomates européens ont déclaré avoir entendu des signaux de la part du locataire de la Maison blanche indiquant qu’il souhaitait notamment accroître la pression sur Vladimir Poutine, mais qu’il ne s’était engagé à rien.

« Je rentre en Allemagne avec un optimisme prudent en pensant que des décisions seront également prises en Amérique dans les prochains jours pour imposer de nouvelles sanctions contre la Russie », a déclaré le chancelier allemand Friedrich Merz.

Les dirigeants du G7 se sont mis d’accord sur six autres déclarations concernant le trafic de migrants, l’intelligence artificielle, les minéraux essentiels, les feux de forêt, la répression transnationale et l’informatique quantique.

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Surtout, Poutine ne s’est pas privé de faire un rappel historique qui a rendu malade le « joueur de piano avec sa bite ». Vous n’avez pas voulu garantir les accords de Kiev pour protéger les russophones d’Ukraine et ailleurs ? Grave erreur, car vous avez oublié une vérité historique : « Je considère les Russes et les Ukrainiens comme un seul peuple. Dans ce sens, toute l’Ukraine est nôtre. » C’était au forum économique de Saint-Pétersbourg. « Nous n’avons pas pour objectif de prendre toute l’Ukraine, mais je ne l’exclus pas non plus », a déclaré le président russe lors du forum économique de Saint-Pétersbourg. Et il aurait de bonnes raisons : « Les ukrainiens représentent une menace permanente pour nous, en bombardant constamment les zones frontalières »

Le président russe n’a pas exclu la prise par la Russie de la ville stratégique de Soumy, située à environ 30 kilomètres de la frontière, au moment où les forces russes ont fait une percée dans cette région du nord-est de l’Ukraine.

« Nous n’avons pas pour objectif de prendre Soumy, mais en principe je ne l’exclus pas », a déclaré le président russe lors d’une discussion au forum économique de Saint-Pétersbourg. « Ils représentent une menace permanente pour nous, en bombardant constamment les zones frontalières », a-t-il ajouté en parlant des forces ukrainiennes. Et de se montrer menaçant : « Il y a un proverbe qui dit : là où un soldat russe met un pied, cela nous appartient. »

Depuis plusieurs semaines, Moscou revendique la prise de villages dans la région de Soumy. Le Kremlin affirme vouloir y constituer une « zone tampon » afin d’empêcher l’armée ukrainienne de mener de nouvelles offensives en Russie, comme celle lancée l’an dernier dans la région russe de Koursk, frontalière de celle de Soumy.

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Apparemment cela n’a pas choqué Trump qui continue d’avoir et considération pour Poutine… et dédain pour Zelensky... Ceci dit, historiquement Poutine n’a pas tort. L’Ukraine a été russe pendant des centaines d’années et même la capitale  de toutes les Russies pendant une bonne partie du Moyen Age, avant de laisser la place à Moscou ! L’Ukraine, elle, est un bébé nation indépendant créé de bric et de broc, ce qui explique le début de la crise, avec l’acharnement de Zelensky contre les russophones.

 

 

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7 Commentaires

  1. Bitman repard avec 2 milliards de DC tout de même. Allez Trump: blocus sur le Canada et taxes sur tout ce qui bouge à 1000%

    • C’est dingue, j’avais pourtant mis repart! Il ne me viendrait pas l’idée de mettre un d!
      Je soupçonne l’I A de créer des erreurs sur certains sites tels que RR RI et autres sites similaires. Ces fautes ne sont pas dues aux faites de frappe ou par inadvertance! On est fliqués, c’est plus qu’une certitude!

  2. IL a exprimé sa jalousie et sa frustration en disant que la guerre israêlienne faisait oublier l’Ukraine (et tous les sous qui vont avec – çà, c’est moi qui le rajoute-).

    Pourtant, ça devrait l’intéresser ou alors Israël ne représente strictement rien pour lui alors qu’il est juif. Étonnant non ?! C’est quoi exactement sa judaïté ?

    • Un juif est un homme comme un autre, pour beaucoup ‘ma gueule d’abord’.
      Trump est un homme et un yankee comme un autre, pour beaucoup ‘America first’.
      Putin, Xi,,, sont des hommes contestataires comme d’autres du mondialisme impérialiste établi.
      Bon Pharacron, c’est différent, puisque lui c’est tout ceux là et d’autres en même temps, tout du moins dans ce que l’on retient de son vent permanent qui masque une ‘mission de destruction’ de son pays et là est la différence.