Retailleau n’invente rien : 

«Mai 68 a fabriqué des barbares»

Mon opinion sur Mai 68 n’a pas attendu que Bruno Retailleau, notre ministre de l’Intérieur, déclare à la une du Journal Du Dimanche (JDD): 
«Mai 68 a fabriqué des barbares» !

À l’époque, j’avais alors 22 ans et, bien qu’ayant obtenu quelques mois auparavant ma carte professionnelle de presse, j’étais encore étudiant.

Je me suis opposé dès le début à ce mouvement non « d’étudiants » mais « d’une partie des étudiants, ceux les plus à gauche ». Je n’étais pas non plus pour de Gaulle qui, en 1962, avait largué les amarres de mon pays natal, l’Algérie. J’étais donc, tout logiquement pour l’époque du côté d’un homme politique, l’un des (très, très) rares à être allée combattre en Algérie, Jean-Marie Le Pen…
Un autre qui aurait pu y « échapper » l’a fait en 1956, dans les Chasseurs d’Afrique, il a même été blessé au visage : Jacques Chirac alors pro « Algérie française »!
J-M. Le Pen qui aurait pu tranquillement rester député, s’est porté volontaire pour aller combattre le FLN en Algérie, et donc mettre sa vie en danger, en signant dans la Légion pour le 1er REP (Régiment étranger de parachutisme). J’ai d’ailleurs eu l’honneur de proposer et faire voter lors de mon service national (je n’étais pas du genre à chercher à me faire dispenser !) comme nom de baptême de ma promotion à Saint-Cyr-Coëtquidam  le nom de l’un de ses chefs : le colonel Jeanpierre, mort au combat en Algérie, à la tête de « son » 1er REP.
Quand j’ai vu arriver ce « mai 68 » avec des Cohn, genre Bendit, je n’y ai surtout pas adhéré : je n’en ai été que le témoin, l’observateur mais jamais, au grand jamais, l’adhérent…

Mai 68 a créé plus que des barbares. Ce mouvement ayant l’appui des « zinzins » c’est-à-dire des « z’intellectuels » donc de ceux estimant être les « penseurs » de notre époque… -et qui n’en furent nullement les « panseurs » pour en améliorer l’état de santé !- oui, ce mouvement a détérioré tout ce qui faisait l’intérêt de l’État notamment en matière d’éducation ! Et l’éducation dans tous les domaines notamment dans l’enseignement. Trop nombreux sont les Français qui, nés après 1968, ayant donc suivi l’enseignement national depuis le primaire « post soixante-huitard », commettent des fautes de grammaire de base(1)
Pour le JDD, Charlotte d’Ornellas, Jules Torres et Antonin André ont rencontré Bruno Retailleau qui leur a fait part de son inquiétude en dénonçant « une société « sans repères » minée par une gauche « déconstructrice ». Le ministre de l’Intérieur défend des mesures chocs et veut généraliser les courtes peines de prison dès le premier délit grave. »
Et le ministre s’est montré convaincu de sa lutte contre la violence surtout venant des plus jeunes :
« Il faut avoir le courage de nommer les choses. Ce qui s’est passé à Nogent n’est pas un fait divers. C’est un fait de société. Lorsqu’un adolescent poignarde une surveillante dans un collège, quelques semaines seulement après le meurtre d’une lycéenne à Nantes, on ne peut plus parler d’exception. C’est un symptôme. Depuis des années, je dénonce les ravages de cette société permissive que les beaux esprits progressistes nous avaient vendue comme un progrès. Elle devait libérer. Elle a enfanté des barbares. Ce que nous payons aujourd’hui, c’est la facture de Mai 68. »
Et, de cette conclusion, j’en suis moi-même persuadé !
Comm l’a expliqué le ministre : Les « insurgés » de cette époque avaient « promis la plage sous les pavés. Mais c’est la rage qui est remontée. Une rage qui surgit dans le vide laissé par les déconstructeurs : plus d’interdits, plus de respect, plus d’autorité, plus de repères. »
Pour le journal l’Humanité -qui, doit-on le rappeler, a tant soutenu les régimes communistes qui, eux, ont pourtant été responsables, surtout au siècle dernier, d’avoir enfermé et fait disparaître des centaines de millions de terriens (2) crie naturellement au scandale sous le titre :

« Retailleau et Mai 68, le grand n’importe quoi »…
En n’oubliant pas de préciser dès la première phrase de son article :
« C’est la une du Journal du dimanche de Vincent Bolloré » et « en photo pleine page »…Alors que l’Huma ne précise surtout pas à son sujet : « C’est à la une de notre journal qui a soutenu les régimes communistes sanguinaires, et en n’en ayant, à l’époque, jamais publié une seule photo même en dernière page… » Le quotidien communiste -qui, faute de vente, est aidé par NOS… IMPÔTS !- se croit obligé de préciser :«…nous dénonçons les propos de Bruno Retailleau… »

Et l’Huma s’empresse de préciser à propos du ministre :

« …lui, il a tout compris. Les barbares, c’est Mai 68 qui les a fabriqués. (…) On a un peu de mal à suivre. Sinon, après le drame, lui fait-on remarquer, les annonces pleuvent : portiques, sanctions, internats… »
Surtout, doit espèrer l’Huma, qu’il n’y ait pas de… « portiques, sanctions, internats ».
Mais pourquoi ? Parce que mes confrères de ce journal doivent craindre que tout cela puisse empêcher la répétition d’assassinats tels que celui de la surveillante Mélanie dont le ministre veut, lui, éviter la répétition ?… Ah, le méchant Retailleau !

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

 

.

Note de Christine Tasin

J’ai déjà dit sur RR  (voir ci-dessous article en petits caractères) que, à mes yeux, Mai 68 avait été positif même s’il a été ensuite récupéré et dévoyé par des salopards comme Cohn Bendit. L’esprit de Mai 68 c’est à peu près l’esprit des Gilets jaunes, ô combien positif. Je ne connaissais pas alors Eurabia… et les accords pétrole pas cher contre immigration musulmane massive et donc abaissement du niveau scolaire pour accueillir les autres… Rien à voir avec Mai 68.

Un ami est tombé par hasard récemment sur l’article ci-dessous que j’avais publié en 2008, pour les 40 ans de mai 1968. Je l’avais oublié mais je pense qu’il n’est pas inintéressant de le publier à nouveau, parce qu’il explique, à travers mon exemple, ce que signifie être de gauche, viscéralement, pourquoi et comment des gens de gauche, militants anti-racistes, au nom de leurs valeurs se battent contre l’islam et pourquoi l’excuse des conditions de vie n’est pas acceptable, jamais, pour excuser la délinquance, comme Laurence l’a déjà fort bien expliqué.  

1968-2008 : du saucisson-coca à Cyrano-Voltaire

J’avais treize ans en mai 68. Je me souviens de longues vacances passées à manger de la rosette accompagnée de coca-cola chez ma copine la fille du charcutier, en regardant défiler sous ses fenêtres des gens qui criaient et que je traitais de connards.

En 1968, à treize ans, on n’a pas de conscience politique, on n’a même pas le droit de réfléchir aux problèmes des grandes personnes. On suit donc, aveuglément, le discours que l’on entend à la maison.

Façon de dire : de maison, je n’en ai pas. Je viens de quitter ma chambre dans l’appartement HLM de mes grands-parents pour rejoindre ma mère qui a quitté cinq ans auparavant son statut de femme de ménage courant le cachet pour devenir la gouvernante à plein temps d’un petit bourgeois de province, veuf, qui vient enfin d’accepter que je vienne vivre avec ma mère dans sa « chambre de fonction « .

Ma mère « a fauté », elle m’a eue avec un des fils de la maison bourgeoise où elle avait été placée comme bonne à tout faire, à Paris. Mes camarades d’école la traitent de pute. Je les attends à la sortie pour leur mettre la main sur la figure et me sauver à toute vitesse, car je suis plutôt rachitique et je ne fais pas le poids.

Pendant cinq ans, j’ai vu ma mère le jeudi après-midi et le dimanche après-midi. Les autres, les bourgeois, avaient besoin d’elle pour servir à table, pour faire la vaisselle, même le soir de Noël.
En vacances, on partait avec eux dans leur maison de Bretagne et elle payait ma nourriture en travaillant pour eux, en se passant de vacances, pour que je sois « au bon air ».

Le petit-fils de la famille me chassait de la terrasse en me rappelant que je n’étais »que la fille de la bonne ».
Le fils, notable de quarante ans, m’attirait dans les coins sous prétexte de me donner une pièce ou un billet et essayait de m’embrasser. Il n’y est jamais parvenu, mais je n’ai jamais rien dit, à personne. On ne critique pas les patrons ??? Sans doute. 5 francs c’est un livre et c’est bon à prendre ? Peut-être. Je suis incapable, aujourd’hui, d’expliquer mon silence. Je crois que, comme les violées de l’époque (et encore aujourd’hui ), j’avais honte, honte d’être une fille, honte d’attirer le désir, honte à l’idée de remettre en question les équilibres sociaux en disant du mal du patron et puis, peut-être que je croyais qu’il en avait le droit ??? .

Parce que la société, en 1968, c’est ça, tout simplement. Beaucoup de puissance, des parents, des patrons, de l’institution, de la société tout entière. Et l’interdiction de remettre quoi que ce soit en question.
Donc, tout à fait logiquement, devant ces ouvriers qui font grève, je répète, perroquet docile, ce que tout le monde, dans mon entourage, dit :  » C’est une honte de contester, c’est dangereux de vouloir changer le monde ; les rouges, ces sauvages veulent prendre le pouvoir, ils vont égorger les honnêtes gens ». Le paradoxe, c’est que non seulement les employeurs de ma mère le disent, mais ma famille elle-même est tétanisée de peur et se répand en malédictions contre ceux qui amènent le désordre.  » Et s’il n’y avait plus de travail après ça ??? Et les patrons il faut bien qu’ils vivent, ils ne peuvent pas trop payer leurs ouvriers, et puis on ne peut pas demander à un patron de travailler comme un ouvrier. » On a une conscience de classe, dans le bas peuple. Elle est profondément ancrée. Et on est des gens droits.

Je ne comprends rien à rien mais, en silence, je cultive ma haine de ces gens qui, parce qu’ils avaient de l’argent, pouvaient priver une petite fille de sa mère, pouvaient faire travailler celle-ci comme une damnée (ah! le linge sale de 4 personnes déversé dans la baignoire, chaque dimanche, par « la fille du patron » en visite hebdomadaire, pour que ma mère le lave à la main …), pour un salaire de misère qui lui permet, actuellement, de percevoir glorieusement 650 euros de minimum vieillesse…

Et, finalement, ce que mai 68 m’a apporté, je ne l’ai perçu que peu à peu, dans l’air ambiant, et ne l’ai compris que beaucoup plus tard : la disparition des préjugés, le droit de dire « non » aux parents, aux patrons et aux hommes politiques, la fin de l’emprise de l’église avec la disparition du culte de la virginité, la révolution sexuelle, la fin des tabous : notamment la disparition de l’injure suprême « bâtarde » et une révolte absolue à l’égard des hommes, des religions et des civilisations qui oppriment les femmes, qui les empêchent de naître au monde. C’est ce qui explique mon engagement laïque et républicain actuel.

La suite, c’est le hasard, la découverte de Brel et Brassens. Un traumatisme. Une révélation. Je rencontrais des gens qui osaient dire, qui osaient chanter publiquement ce que je ressentais sans pouvoir même me le formuler clairement : « Chez ces gens-là »; « La mauvaise réputation » … Et puis une année de philosophie qui me fait naître à nouveau, avec un professeur extraordinaire. Descartes. Freud. Marx. Je découvre la pensée. Je découvre des explications du monde qui viennent conforter ce que la littérature que je dévore (la seule façon de survivre quand on hait son enfance) m’a fait pressentir : le monde est d’un richesse inouïe et il faut toujours chercher à le comprendre, à le remettre en cause pour se sentir heureux.

Je ne changerai jamais d’avis. Mariée à 18 ans, mère à 19, je m’obstine à suivre mes études de lettres classiques qui me donnent le monde… et le bonheur. Je commence à enseigner, un 2° , puis un 3° enfant … puis un divorce. Pas le temps de s’intéresser au monde, pas le temps de s’intéresser à la politique. Je suis de gauche, viscéralement, parce que mon enfance. Parce que ma révolte. Parce que mes lectures. Alors je crois au parti socialiste, j’admire Mitterrand, sa culture, sa faconde, sa science de l’argumentation, un tel homme doit forcément avoir raison. Je vote même oui à Maastricht. Sans comprendre vraiment.

Et puis, j’ai grandi, j’ai divorcé, j’ai rencontré des intellectuels engagés, j’ai pris des distances avec ma mère, j’ai continué à lire et j’ai accouché de ce que je suis actuellement. Quelqu’un qui, un beau jour, et tardivement, en a eu assez de râler vainement à côté de sa radio et qui s’est dit que seul l’engagement politique pouvait changer les choses. Je suis entrée en 94 au Parti Socialiste, je l’ai quitté en 99 ou 2000, folle de rage devant les trahisons de Jospin et les réformes d’Allègre.

Hélas, en effet, mai 68 ne s’est pas arrêté au changement d’état d’esprit. Mai 68 a cru qu’il fallait changer le système éducatif pour donner plus de chances aux élèves des classes populaires. Le résultat actuel est sidérant : la plupart des élèves détestent l’école ou s’y ennuient, l’ascenseur social ne fonctionne plus.

Parce que, figurez-vous qu’en 68, il fonctionnait très bien … si l’on faisait les efforts nécessaires ! Il n’y avait pas de livres chez moi, pas de musique, personne capable de m’aider à faire mes devoirs et pourtant je me suis retrouvée en 6° classique, la filière d’excellence (où l’on faisait du latin), parce que j’étais « bonne en français », simplement. Les autres, plus scientifiques, étaient dans la « moderne » et le reste, en « transition » attendaient d’avoir 14 ans pour commencer à travailler.

On a tout écrit là-dessus, la ségrégation, le pourrissoir, la reproduction à l’infini … Vous croyez qu’on fait mieux en obligeant ceux qui veulent profiter de l’école à cohabiter avec ceux qui la vomissent et l’empêchent de fonctionner ??? Là-dessus les pédagos fous, les parents fous, les enseignants fous se sont mis à vomir des théories fumeuses, à considérer que l’enfant (et non le savoir) doit être au centre du système éducatif, que tout se vaut, que le but de l’école c’est de faire plaisir aux enfants, que les professeurs qui veulent qu’on les écoute et qu’on travaille sont des sadiques et des psycho-rigides.

Halte-là. Et halte-là aussi avec le discours de l’extrême gauche comme du Parti Socialiste, proche des mouvements pédagogiques et des courants libertaires qui nous mènent à notre fin. C’est, paradoxalement, parce que j’adore mon métier, parce que je considère que l’école détient la clé du bonheur de l’homme et de la construction de la société, parce que je crois que rien ne peut se faire si, comme les anciens Romains et Grecs, on ne met pas nos énergies au service du bien commun, en refusant les intérêts individuels et les communautarismes que je suis devenue républicaine et que je milite à présent au Mouvement Républicain et Citoyen.

Mais, surtout, c’est parce que les livres m’ont faite, parce que les livres m’ont enseigné la révolte et le pouvoir incomparable des mots, notamment le Cyrano de Bergerac d’E. Rostand, lu à quinze ans, qui m’a été une révélation, que, comme lui, je refuse les empêcheurs de penser en rond, que je me veux et me voudrai, jusqu’au bout, un esprit libre, qui échappe aux chapelles, aux dogmes, aux statut sociaux et aux catégories. C’est pour cela que, quoi qu’en pensent les pisse-froid et les timorés, je continuerai de me livrer au plaisir d’écrire, sur mon blog ou à « Riposte », pour communiquer sans hypocrisie ni langue de bois sur le monde, pour dialoguer avec d’autres esprits libres ; pour peser (au moins essayer), à mon infime niveau, sur le cours des choses et, peut-être, aussi, pour rendre au monde ce que mon éducation, mon itinéraire, mes rencontres m’ont apporté : une façon de pensée, une façon d’être, une croyance en l’homme. Celui des Lumières.

Christine Tasin

http://ripostelaique.com/1968-2008-du-saucisson-coca-a.html

https://resistancerepublicaine.com/2015/08/07/pourquoi-je-suis-de-gauche-pourquoi-je-benis-mai-68-et-pourquoi-je-hais-lislam/

J’insiste,  ce que nous critiquons depuis des lustres dans la France contemporaine est aussi/ surtout ? le produit d’Eurabia, cette immonde saloperie signée dans les années 70  par l’UE et notamment par la France, l’Allemagne et l’Angleterre (encore et toujours le trio infernal) pour échanger des millions de musulmans contre un pétrole pas cher et contre une politique anti-Israël. Et comme cette politique européenne anti-nation, anti-indépendance et existence des nations fortes coïncidait avec les demandes de la gauche immigrationnistes, toutes les lois votées sont allées dans le détricotage de la nation, de l’éducation, de l’ordre… Rien de plus, rien de moins..

-(1) Les « après-mai 68″ commettent souvent ds fautes du genre : « …l’histoire que j’ai écriT » au lieu de.. « que j’ai écriTE ». Ah, ce COD avec « avoir » !Ou encore « notre correspondant nous appelle DEPUIS Paris… » au lieu « … DE Paris » !
Et je ne parle pas de « l’envahisseur » -l’anglais !- accueilli non à bras ouverts -par moi- mais à bouches et oreilles ouvertes par nombre de mes compatriotes qui pour l’un d’eux…-j’ai déjà oublié son nom??? Il paraît que, pourtant, il aurait une haute fonction au sein de la République… Française !- donc, cet ignare ou cet… ignorant, a employé un terme dont, à mon âge, je n’avais jamais eu connaissance : « brainwasher » ? Veuillez m’en excuser mais je ne sais si ce mot est d’origine latine ou hellénique… Mais, je le reconnais, je ne suis pas… « in » !
(2) : Selon le site critique-livre.fr :
https://www.critique-livre.fr/histoire/le-livre-noir-du-communisme-crimes-terreur-repression/
« Cette œuvre essentielle…
-« Le Livre Noir du communisme : crimes, trreur, répression »- parue en 1997, détaille les horreurs du Totalitarisme Communiste au 20ème siècle (environ 100.000.000 de morts civils innocents) :
Crimes contre l’Humanité, génocides, guerres civiles, terreurs de masse, famines gigantesques, déportations en camps de concentration, etc., commis par :
– Lénine, Trotski, Staline (U.R.S.S. : 20 millions de morts) ;
– Europe de l’Est : 1 million de morts ;
– Mao Zedong (Chine : 65 millions de morts) ;
– Hô Chi Minh (Vietnam : 1 million de morts) ;
– Pol Pot (Cambodge : 2 millions de morts) ;
– Kim Il-Sung (Corée du Nord : 2 millions de morts) ;
– Amérique latine : 150 000 morts dont Castro (Cuba : 15 000 morts) ;
– Afrique : 1,7 million de morts ;
…Etc., sous l’idéologie communiste. »

 245 total views,  245 views today

image_pdf

Répondre à Joël Annuler la réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


3 Commentaires

  1. déconstruction, décivilisation, aucune éducation, et cannabis plein les poches : pas étonnant que les momes au cerveau grillé par la substance soient des sauvages qui passent à l’acte barbare de plus en plus souvent surtout chez eux branchés réseau/djihad

  2. Non c’est la coalition gauche, extrême-centre et fausse droite qui a fait entrer le cheval de Troie de force par une propagande éhontée que le veau a gobé; ‘Touche pas à mon pote’ est toujours en vigueur.