Quand le minuscule Israël fait la sale besogne du géant occidental

« Un peuple semblable à un lion se lèvera et un lion naîtra – ״עָם כְּלָבִיא יָקוּם וְכַאֲרִי יִתְנַשָּׂא » PSAUMES

C’est le petit David qui a pris les rênes de la défense des puissances occidentales, trop pleutres, trop corrompues, trop lâches pour accomplir la besogne qu’elles s’étaient assignée et se laissent embrocher, tout comme le ferait une vulgaire prostituée, par des hordes musulmanes venues les supplanter.

Car en fait, que se passe-t-il ?

Les empires occidentaux disparaissent comme des carrés de sucre fondant dans un verre d’eau bouillante, alors que les empires d’antan luttent pour leur résurrection, la reprise de leurs couleurs, leur gloire, leur suprématie sous l’étendard islamique. L’utérus des femmes musulmanes fera le reste.

C’est le retour triomphal de Mahomet.

L’empire persan, dirigé par des  mollahs enturbannés, a établi ses ramifications dans tout le Moyen-Orient, depuis la bande de Gaza, la Judée et Samarie, le Liban, la Syrie, l’Iraq, le Yémen et en parallèle infiltre l’Europe sans rencontrer toute infime résistance.

L’empire ottoman sous Recep Tayyip Erdogan, n’est qu’une autre facette de cette mouvance, identique à celle de l’Iran/Perse.

La tactique est bien familière… Il faut commencer d’abord par corrompre les gouvernements occidentaux, et petit à petit, se déverser en leur sein avant de démocratiquement, opérer une substitution du pouvoir. Rien ne peut les empêcher… Ils ne font que suivre à la lettre les règles démocratiques imposées par les occidentaux.

Israël n’y échappe pas, puisqu’elle prétend être une démocratie. Elle doit donc le prouver en suivant les mêmes règles démocratiques suicidaires, dont la diversité, l’abolition des frontières, le rejet de l’apartheid et l’import de tous ces fanfarons qui prétendent être en danger et s’affichent nantis d’une demande d’asile = leur passe-partout.

Résultat en Israël, nous voyons la création d’un embryon d’État dans l’État, avec tous ces prétendus réfugiés qui se sont déversés dans les grandes agglomérations et ont formé des métastases de brigands, de violeurs, de criminels, là où la violence est maîtresse. Il y a à Tel-Aviv des zones interdites, car gouvernées par ces hordes de réfugiés du Soudan, du Darfour et tant d’autres…

Depuis plusieurs années, le nombre de demandeurs d’asile originaires d’Afrique subsaharienne augmente en Israël. Dans le quartier Neve Shaanan dans le sud de Tel-Aviv, devenu zone interdite, qui accueille plusieurs milliers de demandeurs d’asile du Darfour, des Eryhitériens et d’autres régions du Soudan, entrés clandestinement sur le territoire avant d’obtenir un statut leur permettant de rester et, pour certains, de travailler, sans toutefois obtenir la citoyenneté. Ils forment en général des clans où l’infraction, la violence, le viol et l’assassinat sont monnaie courante.

En dépit de tous ces problèmes, Israël est contrainte d’accepter cette situation, surtout pour prouver aux occidentaux qu’elle applique la démocratie à la lettre.

Pour le minuscule État juif, qui lutte en permanence pour sa survie, tout apport additionnel d’éléments nocifs et non juifs, culmine en un laps de temps en zone de conflit, de dispute, là où le juif israélien de souche ne peut plus résider – tout comme en France, en Angleterre, en Allemagne et à Los Angeles.

En addition à la complexité de son existence, Israël fait indéfiniment face à des menaces d’anéantissement… Elle est pour les arabo-musulmans régionaux un crime de lèse-majesté qu’il faut déraciner (Paroles de Mahmoud Ahmadinejad-ancien président iranien sur le podium de l’ONU). Ces derniers s’acharnent, contrairement aux Occidentaux, à imposer une seule et unique ethnie – l’islam. Donc, plus de place pour les juifs, les chrétiens et toute autre religion, hormis les musulmans.

Vrai ou faux, ces pays arabo-musulmans sont divisés entre eux, puisqu’en vérité leur ambition tacite, c’est de s’emparer des ressources naturelles et des richesses de leurs voisins musulmans = leurs prétendus frères. Hypocrisie mise à part.

L’Iran s’est préparé sur une étendue de plusieurs décennies à planter ses crocs tout autour d’Israël afin de l’engloutir et de paver la voie vers la conquête totale de l’Occident, en se hasardant dans la voie rocailleuse de l’arme atomique. Israël l’a suivi pas à pas, puisqu’étant sa cible principale immédiate.

Certains diront que l’occasion de se défaire de cette ceinture étouffante mise en place par l’Iran contre Israël, lui a été offerte avec l’attaque initiatrice du 7 octobre 2023.

Bibi Netanyahu a entamé sa révolte tardive, (tout comme le fit Moïse en se mesurant en quelque sorte à Dotan), après l’attaque surprise du Hamas et ses gazaouïs, en déclenchant une guerre qui faisait fi de toutes les règles de pacification jusque-là imposées par son allié principal américain et par l’Union Européenne. Ce massacre a permis aux Occidentaux de se confronter à la véritable nature de leurs nouveaux migrants musulmans, mais aussi à l’abîme qui s’ouvre graduellement sous leurs pieds.

La décision a été unanimement adoptée par le gouvernement de droite de Netanyahu… « Eradiquer le Hamas, confronter le Hezbollah et la Syrie, suivie par Yémen ».

Avec une armée réduite à son effectif le plus élémentaire, il s’est lancé à corps défendant dans l’attaque de cette corde asphyxiante préparée par l’Iran.

Il a démoli ou presque l’infrastructure du métro de Gaza tout en luttant pour libérer les otages capturés durant l’attaque surprise du 7 octobre. Il s’est mesuré aux caprices et à l’embargo d’armes imposé par le président américain Joe Biden en traînant le pas vers la démolition totale du Hamas, alors que le nord brûlait sous les roquettes du Hezbollah et qu’il fallait spéculer et attendre la prise du pouvoir par Donald Trump, prometteur d’une nouvelle politique…

Il n’a pu s’afficher devant le Hezbollah, que lorsqu’il s’est senti capable d’ouvrir un autre front. Le stratagème des Bipper a été la clef de son succès, puisqu’il a réussi à neutraliser le Hezbollah, qui dans sa chute a entraîné Bachar Al Assad de Syrie. D’une pierre il a fait deux coups.

En fait, le Hamas tout autant que le Hezbollah : les deux proxys iraniens, anti-démocratiques et anti-occidentaux cherchent plutôt à nuire aux mécréants occidentaux… tout comme à Israël.

Le Grand Satan = les USA et le petit Satan = Israël.

Les Houthis du Yémen ont bloqué l’accès à la mer rouge, menaçant tous les navires qui s’y aventurent.

Fermer les yeux sur le nucléaire iranien – c’est fermer les yeux sur le danger imminent pour toute civilisation, pour tout l’Occident.

Alors, si les pays d’Europe ont accepté leur sort et se soumettent par veulerie ou par laxisme, Israël, lui, refuse une mort certaine et s’attèle à faire la sale besogne des démocraties en voie d’extinction, en faisant front courageusement à l’Iran.

Les Israéliens, le torse nu, le bras levé, se confrontent à chaque minute de leur vie aux dangers de la guerre, de la démolition, de la mort et au lieu de se replier, ils regardent le ciel dans une prière muette à la vie et au Créateur.

Ils sont les héros de notre ère. Ils seront ceux qui diront demain : c’est grâce à notre courage, à notre obstination, à notre amour pour la vie et à notre foi, que l’Occident a été sauvé.

AM ISRAËL HAY VE KAYAM

Thérèse Zrihen-Dvir 

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