Trump a-t-il déjoué une révolution de couleur financée par Soros ? C’est bien possible !

Depuis plus d’une semaine, les États-Unis sont le théâtre de violentes émeutes, parties de Los Angeles avant de s’étendre à plusieurs villes. Donald Trump accuse des « insurgés payés » et pointe du doigt George Soros, dont les financements alimentent cette déstabilisation. 

Soros dans le viseur : la mécanique des révolutions de couleur

Le président américain a réagi fermement, déployant l’armée et dénonçant une tentative de « coup d’État ». Une enquête du Wall Street Journal révèle que des groupes soutenus par Soros investissent des millions pour transformer des États républicains en bastions démocrates. Dans la lignée des « révolutions de couleur », cette stratégie vise à saper l’autorité de Trump.

Contre-offensive : Trump s’attaque à l’État profond

Pendant ce temps, l’administration contre-attaque : Robert Kennedy Junior, ministre de la Santé, a limogé des experts accusés de conflits d’intérêts avec Big Pharma. Une offensive contre l’État profond, qui confirme la radicalité du mandat Trump.

Forian Philippot : « Trump écrase un incroyable coup d’État ! »

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2 Commentaires

  1. Soros s’attaque à un gros morceau.
    TRUMP a pu se faire abuser lors de sa première mandature, il ne connaissait pas les requins de la politicaillerie gauchiasse.
    Mais aujourd’hui, il ne se laissera pas démolir par le Saurien fanatique qui agit en sous-main dans tous les mauvais coups.

  2. Il est très simple sans être un spécialiste des USA, de se rendre compte si TRUMP à raison. Il suffit de regarder BFM, LCI et les chaînes de France info, d’écouter les opinions de leurs journaleux et chroniqueurs cracher sur le Donald, pour se convaincre qu’il a totalement raison d’appliquer la politique qu’il mène. Avec une certaine jouissance je vois tous cette presse socialo-macronneuse enrager contre TRUMP sans qu’ils n’y puissent quoique ce soit à part baver leur haine. La cerise sur la gâteau anti TRUMP provient d’Axel de Tarlé qui suite au « divorce » en Trump et Musk, prédit avec certitude et le plus grand des sérieux, que ce dernier sera « à la soupe populaire » d’ici 2 ans. Axel a gagné le droit d’enlever le « l » de son patronyme.