
A la lecture du « pédigrée » du PDG de Black Rock, on comprend les raisons des politiques environnementales désastreuses en cours. VDL (Der Leyen) vient de se féliciter de la réduction historique des émissions de Co2 dans l’industrie européenne qu’elle attribue au progrès technologique alors que celles-ci sont le résultat de l’effondrement et des fermetures de nos industries dues aux politiques « net green » absurdes.
Jaguar vient d’annoncer qu’il ne produira plus que des voitures électriques à partir de 2025. Résultat : les ventes de Jaguar se sont effondrées de 95% … Le monde et en particulier les chinois rigolent.
Les deux, Black Rock et Vanguard sont les principaux actionnaires des deux saloperies que sont, entre autres, Pfizer et Moderna … Pratiquement toute l’industrie de Big pharma est aux mains de ces deux géants financiers. Politiquement, le PDG de Black Rock s’affiche résolument démocrate et a voté pour Obama même s’il s’est rangé au côté des politiques de Trump suite à son élection en 2016.
Le fondateur de Vanguard aujourd’hui décédé, John C. Bogle s’affichait Républicain mais a voté successivement pour Bill Clinton, Obama en 2008 et 2012 et Hillary Clinton en 2016 … Et son actuel PDG, Salim Ramji, en est à son troisième mariage financier, Mc Kinsey pendant 16 ans, Black Rock pendant 10 ans et enfin Vanguard depuis 2024. Pour le reste, le personnage reste très discret sur ses engagements politiques.
Si la guerre en Ukraine s’éternise c’est aussi et surtout parce que Black Rock et Vanguard y ont de gros intérêts … Il ne faudrait pas que ceux-ci passent à l’Est …
Gigobleu
Jour après jour, je ne peux que constater que la toute grande majorité des gens avec qui je discute (amis, rencontres, famille…) n’ont même jamais entendu parlé de BlackRock et Vanguard … C’est quoi ? C’est qui ?
Dans toutes les discussions sérieuses sur l’état du monde, il y a des absents de taille. Tandis que les médias attirent notre attention sur les conflits, les polémiques sociétales ou les petits scandales politiques, le climat, … Une réalité demeure largement ignorée : celle des véritables centres de pouvoir économique mondiaux, incarnés notamment par BlackRock et Vanguard. Cette ignorance n’est pas fortuite : elle est organisée, entretenue, cultivée. Et pourtant, c’est peut-être le fait le plus central pour comprendre le monde dans lequel nous vivons.
L’auteur-journaliste Pierre Jovanovic vient de publier un livre essentiel que tout le monde devrait lire, il est tellement dangereux pour la gouvernance globale que l’Élysée a tenté de le faire interner de force un weekend durant la nuit avec comme objectif la censure de ce livre «2008».
BlackRock et Vanguard sont les plus puissants gestionnaires d’actifs au monde. Cela signifie qu’ils gèrent des portefeuilles financiers gigantesques – au total, plus de 17 000 milliards de dollars cumulés en 20241 – investis dans les plus grandes entreprises de la planète. À eux seuls, ils sont actionnaires majeurs de Nestlé, Google, Apple, Microsoft, Amazon, Pfizer, Bayer, Moderna, Coca-Cola, Total Energies, Shell, JP Morgan, Goldman Sachs, et la liste pourrait remplir des pages entières.2
Mais contrairement à une idée reçue, leur pouvoir ne s’arrête pas à l’investissement passif. Ces fonds détiennent des droits de vote dans les assemblées générales. Ils peuvent influencer – et influencent – les décisions stratégiques des entreprises : nominations de dirigeants, orientations commerciales, politiques environnementales, choix industriels, voire lignes éditoriales pour les groupes médiatiques3. Lorsqu’un fond de ce type détient 5, 8 ou 10% des actions d’une entreprise multinationale, son influence devient décisive.
Le plus pernicieux ? Cette concentration de pouvoir se fait dans l’ombre. Le citoyen lambda n’a jamais entendu parler de Larry Fink (PDG de BlackRock) ou des structures opaques de Vanguard, dont les propriétaires sont eux-mêmes dissimulés derrière des couches de sociétés croisées4. Et pour cause : les médias de masse appartiennent souvent aux mêmes cercles d’influence, eux-mêmes largement financés ou contrôlés par ces fonds5. Les rédactions, les écoles de journalisme, les agences de communication sont intégrées dans un écosystème qui ne remet jamais en cause les fondations du pouvoir réel.
L’illusion démocratique reste intacte. On débat de tel ou tel candidat, on s’enflamme pour une déclaration, on croit encore que nos choix électoraux auront un impact sur les décisions majeures. Pendant ce temps, des entités privées, non élues, anonymes, dictent la politique économique mondiale, influencent les politiques de santé publique, investissent dans la transition écologique tout en étant actionnaires du pétrole, et réécrivent les règles du jeu global sans jamais apparaître sur la scène.
BlackRock, par exemple, a été conseiller officiel de la Commission européenne pour la mise en œuvre du Pacte vert (Green Deal) et du plan d’investissement durable. Un rapport officiel de la Cour des comptes européenne a pointé un conflit d’intérêts manifeste, soulignant que la société conseillait l’UE tout en étant massivement investie dans les entreprises impactées par ces nouvelles réglementations.6
Ce double jeu n’est pas une anomalie : il est systémique, il est structurel, et prospère parce que l’opinion publique ne le voit pas, ne le connaît pas.
L’éducation, dans la plupart des pays occidentaux, n’enseigne rien de tout cela. Les manuels scolaires évoquent vaguement le rôle des banques ou des marchés, mais jamais celui des gestionnaires d’actifs et des fonds de pension qui, dans les faits, possèdent le monde. Cette absence de savoir rend les peuples désarmés, incapables de nommer ceux qui agissent, incapables de se défendre. Et c’est précisément ce que souhaite le système : une masse distraite, fragmentée, émotionnellement manipulée, mais structurellement impuissante.
Dans cette logique, le citoyen croit boycotter une marque ou «choisir» une alternative. Il ne fait que naviguer à l’intérieur d’un système où les mêmes géants financiers possèdent tous les choix disponibles. Vous voulez quitter Facebook pour Instagram ? C’est Meta. Vous quittez Coca pour Sprite ou Pepsi ? Les trois appartiennent à The Coca-Cola Company. Vous quittez Nestlé pour Danone ? BlackRock et Vanguard sont chez les deux.7
C’est donc bien plus qu’une question économique : c’est une question de souveraineté. Tant que les nations ne reprendront pas le contrôle de leur économie réelle, de leur monnaie, de leur alimentation, de leur système de santé, de leur information et de leur énergie, elles resteront soumises à des intérêts privés mondiaux qui n’ont aucune légitimité démocratique, et encore moins de loyauté envers les peuples.
Mais tout cela repose sur un seul point faible : le secret. Ce pouvoir immense ne peut exister que tant qu’il reste invisible. Dès que les citoyens ouvrent les yeux, dès qu’ils nomment les choses, dès qu’ils identifient les structures, un basculement devient possible. Le rideau tombe. Et avec lui, la mascarade.
Il ne s’agit pas de brandir des slogans, d’invoquer des courants politiques. Il s’agit de comprendre les mécanismes, d’expliquer, de vulgariser, de transmettre. Car l’arme la plus puissante contre l’oppression silencieuse, c’est la connaissance partagée et pour cela seuls les médias citoyens (nommés aussi alternatifs ou complotistes) sont à la hauteur. Pour autant que la censure de plus en plus visible et féroce ne se décide pas à les interdire pour ne plus permettre qu’une PRAVDA 2.0 occidentale alimentant tous les médias mainstream.
Serge Van Cutsem
Laurence Douglas Fink dit Larry Fink, né en 1952, est un homme d’affaires américain qui est le président-directeur général de l’entreprise BlackRock[1], la plus grosse société de gestion d’actifs et d’investissements au monde depuis 2021[2].
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N’oubliez-pas les nombreux relais français ( plutôt les traîtres supplétifs ) de Black Rock et autres ! Ainsi un ancien haut-fonctionnaire du Trésor puis conseiller pour les affaires économiques et financières du président CHIRAC s’est retrouvé à la tête de Black Rock France puis Europe alors qu’une de ses très proches amies ( elle aussi Haut-Fonctionnaire) dirigeait General Electric France au moment de l’achat de la très stratégique branche Énergie d’Alstom encouragée et validée par Macron. Défendaient-il les intérêts de la France ou des Etats-Unis ?
L’invasion migratoire de l’occident par des populations inassimilables fait partie intégrante de leurs stratagèmes de domination.
Une question, est-ce ce genre de personnage qu’on appelle » grosse ou ordure » quand on n’a pas d’éducation comme moi ?