Les grincheux s’attaquent maintenant à notre gastronomie française !
Leur nouvelle cible : le célèbre guide Michelin !
Non, mais !
« Des universitaires décrivent le Guide Michelin comme le « gardien » de la gastronomie , se concentrant sur les restaurants blancs et eurocentriques et contrôlant les styles de cuisine pour lesquels il vaut la peine de payer un supplément. » (…)
Voilà ce qu’ils veulent que la France devienne !
Ils veulent tout grand-remplacer ! Adieu cochon dans l’assiette, bonjour cochon à table !
.
C’est scandaleux !
Car derrière chaque étoile, il y a des années d’efforts, de transmission et d’innovation.. Le Michelin demeure un repère, un guide au sens noble du terme, qui oriente, rassure et continue de faire rayonner l’art de vivre à la française dans le monde entier.
Le film « L’aile ou la cuisse », c’était déjà la défense de la cuisine française !
L’aile ou la cuisse, comédie culte de Claude Zidi sortie en 1976, transcende le simple divertissement pour s’ériger en véritable déclaration d’amour à la France et à son patrimoine gastronomique. À travers le personnage de Charles Duchemin, directeur d’un guide gastronomique inspiré du célèbre guide Michelin, le film célèbre la tradition culinaire française, la qualité des produits, le savoir-faire des artisans et la défense d’un art de vivre menacé par la standardisation industrielle.
Extrait « Le vin, c’est la terre » :
Dans une France en pleine mutation, confrontée à l’essor de la malbouffe et de la restauration rapide, Duchemin incarne la résistance face à l’uniformisation des goûts et à la perte des repères culturels.
Sa croisade contre Tricatel, magnat de la nourriture industrielle, devient celle de tous les patriotes attachés à la richesse de leur terroir et à la singularité de leur table. Le film tourne en dérision les excès de l’industrie agroalimentaire, tout en rendant hommage à l’exigence et à la rigueur du guide Michelin, symbole d’excellence et de rayonnement international de la cuisine française.
À travers l’humour, les situations burlesques et la complicité entre Louis de Funès et Coluche, L’aile ou la cuisse rappelle que la gastronomie n’est pas qu’une affaire de goût, mais aussi de fierté nationale et de transmission. Le film met en scène une France qui doute, mais qui se bat pour préserver ses valeurs, ses traditions et son génie créatif. Il s’inscrit ainsi dans la lignée des œuvres qui célèbrent le patrimoine français, tout en alertant sur les dangers de la mondialisation alimentaire.
Extrait « Wagner, c’est fait pour le gibier! » :
En défendant la cuisine française, le film défend la France tout entière : son identité, sa culture, sa convivialité et sa capacité à innover sans jamais renoncer à l’authenticité.
Plus de quarante ans après sa sortie, L’aile ou la cuisse reste un cri du cœur patriote, un plaidoyer joyeux pour une France gourmande, exigeante et fière de ses racines.
Contre la bouffe immonde et le halal, il faut repartir en croisade !
Cinéastes, au travail !
Lien de visionnage en ligne :
https://m.ok.ru/video/9043920620189
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Banania y’a plus bon !
Leur « culture », un bien grand mot, c’est de postilloner dans le plat commun. Bon appétit 😵💫
« Des universitaires » donc des parasites improductifs qui vont au resto sur le dos des contribuables.
Non seulement il bouffent avec leurs pattes dégeulasses et en plus à chaque fois qu’ils les portent de leur bouche au plat ils mélangent leur salive pleine de miasme .Même si au moyen âge les assiettes n’existaient pas encore les mets étaient servis sur de larges tranches de pain faisant office d’assiette individuelle .Chez le xxx arrogant, on sent toute la haine et la violence qu’il nous porte mais également à notre culture raffiné.