Sur sa branche favorite, il est penseur…
Dans sa petite cervelle de primate
C’est le moment de ranger chaque boîte
De remettre chaque chose à sa place
Au carré strict, que rien ne dépasse…
Les journa-fistes nous balancent
Une ritournelle de conneries rances
Venant de ce groupe d’inculturés
Que même une méduse paraîtrait
Une éminence grise importante…
Et toujours cette manière violente
Les mêmes mots, vocabulaire limité
Le p’tit singe n’est plus étonné…
C’est comme un programme unique
Fasciste, raciste dit le p’tit comique…
Sûr qu’avec une tronche comme ça
C’est une pub permanente ce mec là
Pour le coïtus interruptus… à minima
Remarque la sardine veut déconstruire
Les mecs, les hommes, son seul but nuire
Mais que fait la nouvelle génération ?
Ça sent la profonde castration…
Sœur Anne ne verra plus rien venir ?
Cette jeunesse ne veut plus d’avenir ?
Le p’tit singe commence à s’impatienter
Bande de feignasses va falloir s’bouger
Ou d’ici peu, très peu d’années
Vous serez tous enturbannés…
Vous savez et vous n’agissez pas
Est-ce par lâcheté ou quoi ?
Elle est passée où votre fierté ?
Remarque plutôt que de vous accabler
Le p’tit singe pense très souvent
Que sa génération et celles d’avant
S’ils avaient mieux combattu ce malheur
Notre monde serait certainement meilleur
Jamais la jeunesse il ne faut trop accabler
Notre responsabilité doit être engagée
Les aînés que nous sommes devenus
Ne sommes pas exempts de déconvenues
Vous connaissez l’histoire du fétu de paille
Pour l’éternité notre revers de médaille
On dit que l’art est difficile, alors réfléchissez
Mieux que critiquer, allons plutôt les aider…
Si nos erreurs anciennes restent sans réponse
Le p’tit singe les condamne et les dénonce
Mélangeons nos expériences déçues
Chaussons nos godillots, allons botter des culs…
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Bonjour au sage P’tit singe.
L’EXIL
Il faut préparer ses valises
Foutre le camp sans fair’ la bise
À tous ceux qui nous ont baisés,
Du président aux députés.
Car tous ces hommes politiques
Et tout le cirque médiatique
Nous ont tous culpabilisés
De ne pas être islamisés.
Car aujourd’hui le patriote,
De ces gens-là il n’est pas pote.
Si on vient même à l’égorger,
Si on vient même à l’écorcher,
Personne ne le pleurera,
Je pense qu’on se réjouira.
Plutôt que servir de moutons
Égorgés du col au menton,
Il nous faut prendre les devants,
Dégager tant qu’il en est temps.
LA VALISE OU LE CERCUEIL.
Je ne rajoute qu’une chose…
SI VIS PACEM PARABELLUM
Ou comme dit un de mes potes, si on veut me mettre dans un trou, sûr je ne vais pas y glisser tout seul…