Réponse au travail de démolition des mondialistes de Reporters sans Frontières

Reporters sans frontières essaie de démolir le camp patriote en s’attaquant à Oleg Nesterenko, que publie régulièrement Résistance républicaine. La réponse argumentée de ce dernier permet de mieux comprendre comment les amis de Soros, participants actifs aux méfaits de l’USAID dans le monde, travaillent à diaboliser le camp patriote  dans tous les pays.

Christine Tasin

Réponse à des mensonges de « Reporters sans frontières » vis-à-vis de ma personne

Les diffamations, les mensonges et les perversions de la réalité que sont les éléments constitutifs de l’activité de très nombreuses entités de propagande agressive payés par Usaid, fondation de Georges Soros et tant d’autres sources de financements malsains de la lutte contre le monde non occidental, de l’ingérence dans les affaires des pays souverains et de la propagation de l’entropie dans des zones géographiques non soumises à la volonté et au contrôle du maitre Occidental, dont le groupement d’activistes sous le statut de prétendus journalistes couverts par une belle étiquette de « Reporters sans frontières », ne méritent pas la moindre attention de la part de personnes sérieuses non dépourvues de capacités analytiques.

Rien de plus banal chez les organes de désinformation, tels que RSF : tous ceux qui s’expriment en faveur de la Fédération de Russie et dénoncent les crimes du camp atlantico-européiste otanien commis de par le monde sont, bien évidemment et automatiquement, les méchants « agents du Kremlin ! ».

Sur le chemin de l’abrutissement des masses, RSF et tant d’autres structures de leur niveau morale et intellectuel déplorable, ont épousé la doctrine qui est celle préféré de Joseph Goebbels, ministre de la propagande du IIIème Reich : « Plus le mensonge est gros – mieux il passe ! ».

Je n’ai guère ni l’habitude, ni l’envie de parler de ma personne, mais vu la grossièreté tout à fait étonnante de la diffamation et de la désinformation propagée vis-à-vis de ma personne par l’association de pseudo-journalistes que sont les « Reporters sans frontière » et qui ont manqué une belle occasion de s’approprier le dénominatif « Reporters sans honneur » qui serait plus parlant de leur contenu, pour une fois je ferai une exception à la règle et prendrai quelques heures de mon temps pour faire des commentaires bien détaillés et documentés de la mise en pièce des mensonges propagés par RSF.

Avant cela et malgré tout, je dois les remercier.

Si un organe de propagande, tel que RSF, implanté au niveau international, a pris la décision d’essayer de salir ma réputation, cela ne signifie qu’une seule chose : mon action de lutte contre les mensonges et la désinformation propagés par des porte-paroles du camp atlantiste européiste néo-libéral qui ont pour objectif la domination de la planète via l’instauration du chaos et du désastre socio-économique en dehors du monde Occidental, afin de continuer à se remplir les poches sur les ruines et les malheurs des sociétés visées – cette action personnelle n’est donc pas réalisée en vain et commence déjà à porter ses fruits.

L’attaque de cette association de pseudo défenseurs des intérêts des journalistes de par le monde ne peut être considérée autrement qu’un aveu flagrant de la qualité et de l’efficacité de ma modeste action de la lutte contre la lobotomisation des masses par des agents de propagande et de désinformation, dont RSF est un échantillon parfaitement représentatif, et ne peut être perçue autrement que par l’attribution à ma personne d’un ordre du Mérite pour l’action accomplie.

Je devrais m’arrêter là. Mais, pour les remercier de m’avoir fait une promotion supplémentaire laquelle n’aura d’autre effet que l’augmentation de consultation de mes publications, dont la grande analyse qui paraîtra prochainement « ONG « Les Reporters Sans Frontières » : qui sont-ils réellement ? Le dossier » – je prends bien mon temps pour l’exercice amusant de commenter les élucubrations au sujet de ma personne de la part des prétendus journalistes qui composent cette entité.

RSF sur mon accession au poste de président du CCIE

« En 2002, il prend la tête du Centre de commerce et d’industrie européen, une association qui affichait être directement soutenue par la Chambre de commerce et d’industrie de Russie. Installée en France, elle est censée développer les relations d’affaires entre les deux pays. Oleg Nesterenko parle couramment français, mais sa présence à la tête de cette structure à l’âge de 23 ans, sans diplôme connu et avec pour seule expérience quelques projets dans le domaine de l’anthropologie, interpelle » – RSF.

Si les effectifs salariés des prétendus « reporters » sans frontières avaient été composés de véritables journalistes et non pas de vulgaires activistes, dont la spécialisation est la diffamation et la propagation des mensonges et de la désinformation sur tous ceux qui représentent le camp opposé à celui qui les finance – au lieu de mentir d’une manière pathologique et tout à fait grossière, ils auraient facilement pu apprendre que la personne dont ils parlent est diplômée du Titre d’Etudes Supérieures certifié au niveau I de l’Ecole Supérieure de Gestion et Commerce Internationale de la ville de Paris.

Et si quelque chose les « interpelle » là-dessus, c’est pour une raison très simple : RSF n’a non seulement pas la moindre connaissance du monde des affaires, mais, existe que grâce à des perfusions financières artificielles de leurs commanditaires, ils ignorent le concept-même d’un véritable travail, du gagne-pain qui est autre que celui procuré par la manne venue des poches des contribuables, sans demander leur avis.

Les mensonges de RSF concernant mon activité du passé dans le cadre de recherche scientifique

Suite ici :

https://c-cie.eu/reponse-a-des-mensonges-de-reporters-sans-frontieres/

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