
Pour tous ceux qui refusent de reconnaître et d’admettre la corruptibilité des pays occidentaux et la facilité du Qatar de présenter patte blanche pour entrer dans leurs bergeries, les faits parlent d’eux-mêmes.
La grande majorité des institutions académiques occidentales a été soudoyée par l’argent qatari et les pétrodollars saoudiens avec en parallèle l’infiltration d’éléments arabo-musulmans afin de brandir le fanion de la terreur et de l’islam, en temps voulu.
Israël a donné son accord au Qatar pour subventionner les « pauvres gazaouïs affamés » fermant sciemment les yeux sur la présence du Hamas, du Djihad et de leurs terroristes, préparés et déterminés à détourner tous les fonds. Simultanément, Israël encourageait ses citoyens à employer les Gazaouïs dans leurs fermes et leurs kibboutzim… d’où la collecte en profusion d’informations cruciales transmises par ces ouvriers de Gaza aux terroristes du Hamas, alors que sous les phares éteints du Mossad et du Shabak, les travaux du métro de Gaza allaient bon train… Inutile de chercher des excuses aux manigances arabes, ils sont maîtres dans la connaissance des Occidentaux et de leur corruptibilité.
L’argent qatari coule à flots depuis quelques décennies dans tout l’Occident et en Israël en particulier. C’est en fait, la couverture d’un but stratégique que tous refusent de reconnaître et surtout d’interrompre.
Ce manège se perpétue sous tous les cieux, personne n’y échappe, même pas Donald Trump, président des USA. Le Qatar vient de lui offrir la tête de monde occidental sous la forme d’un avion comme pot de vin pour sa contribution…
Un jet de luxe en cadeau du Qatar à Donald Trump ? L’idée scandalise aux États-Unis
La petite monarchie du Golfe a beau prétendre que rien n’est fait et qu’« aucune décision n’a été prise », la controverse enfle aux États-Unis tant du côté de l’armée et de la sécurité intérieure que des alliés du président américain. L’affaire est devenue un vrai scandale politique, et pose des problèmes majeurs.
L’affaire remonte à dimanche 11 mai 2025, le jour où la télévision américaine ABC News a annoncé cette information ébouriffante : le gouvernement Trump se préparerait à recevoir un avion comme cadeau de la famille royale du Qatar. Un présent à près de 400 millions d’euros pour un Boeing 747-8 Jumbo qui servirait d’Air Force One, l’avion présidentiel, surnommé le « Palais dans le ciel » que Donald Trump a accueilli avec grâce. Selon lui, il serait « idiot » de ne pas accepter et qu’il s’agit d’un « beau geste » de la part du Qatar, où le Président se trouve en visite aujourd’hui, mercredi 14 mai 2025.
Il n’existe pas de cadeau gratuit… Quel sera le prix à payer pour ce don princier ?
Tout d’abord, l’assouplissement de Trump envers les terroristes de Gaza sous forme de reprise du flot d’aide humanitaire, de fuel… mais aussi d’un cessez-le-feu définitif qu’Israël ne peut se permettre sans mettre sa vie en danger.
Washington Post : « Ce qui est en train de se passer est tellement évident : avec cet avion à 400 millions de dollars, le Qatar veut brosser Donald Trump dans le sens du poil »
Le sénateur républicain Rick Scott a confié son « inquiétude de voir le président des États-Unis voler sur un avion appartenant à un gouvernement étranger, surtout un pays qui soutient le Hamas », le mouvement islamiste à l’origine des attentats du 7-octobre contre Israël, « et qui travaille avec la Chine communiste ».
Le Devoir :
« Le Moyen-Orient est actuellement au cœur des activités commerciales mondiales de la Trump Organization », résumait il y a quelques jours Eric Lipton, journaliste d’enquête au New York Times, dans un balado du média indépendant Democracy Now!. « C’est de loin leur plus important centre de profit. Cela est lié à l’énorme richesse qui s’y trouve. Les revenus pétroliers et gaziers, accumulés pendant des décennies, ont alimenté des fonds souverains qui désormais cherchent à étendre leur influence à l’international pour devenir des acteurs économiques plus importants », et ce, en passant par les États-Unis et la famille de Donald Trump.
Si ce n’était que cela !!!
Les apparences de conflit d’intérêts sont nombreuses pour le président américain. Elles ont aussi été alimentées cette semaine avec toute l’envergure d’un Boeing 747-8, gros porteur âgé de 13 ans, d’une valeur de 400 millions de dollars. Le Qatar se prépare à l’offrir en cadeau au populiste pour remplacer son vieillissant Air Force One. Trump en héritera ensuite, après son départ de la Maison-Blanche, par le biais de sa bibliothèque présidentielle.
Le Qatar est ce petit État du Golfe persique que Donald Trump vilipendait pourtant en 2017 depuis la pelouse de la Maison-Blanche, en l’accusant d’être le « financier du terrorisme à très haut niveau ».
Mais c’était avant que l’émirat ne devienne un partenaire commercial important de sa famille, qui y a récemment signé un accord pour la construction d’un complexe de golf de luxe, avec les promoteurs Dar Global et Qatari Diar. Le projet comprend un terrain de 18 trous et des résidences frappées de la marque Trump, le tout placé au cœur d’un développement plus vaste orchestré par le gouvernement qatari, ont annoncé le mois dernier les fils du président, Eric et Donald Jr, qui dirigent la Trump Organization. La valeur du développement est évaluée à 5,5 milliards de dollars.
Le Qatar est également un partenaire financier de la société d’intelligence artificielle xAI du multimilliardaire Elon Musk, ce proche conseiller de Donald Trump, et un contributeur au groupe de capital-investissement de Jared Kushner, gendre du président.
Le commentateur politique de droite Ben Shapiro a pour sa part remis en question le projet de lutte contre la corruption à Washington, pourtant vendu par Donald Trump à ses fidèles depuis près de 10 ans. « Accepter des tas de cadeaux de la part de ceux qui soutiennent le Hamas, les Frères musulmans, Al Jazeera et tous les autres, ce n’est pas ça, mettre l’Amérique en premier…», a-t-il dit dans l’un de ses balados. « Si vous voulez que le président Trump réussisse [sa lutte contre la corruption], ce genre de choses sordides doit être stoppé. »
Hors de ces machinations immondes… Où cela nous mène ? Vers un État palestinien exigé par l’Arabie saoudite en échange d’une normalisation avec Israël… Les Accords d’Abraham. Nous constatons déjà les prémices du projet puisque la proposition a été émise à Trump d’introduire des éléments saoudiens, qataris, égyptiens, palestiniens, marocains dans la restauration et gérance de la bande de Gaza…
Pauvre Israël qui est en train de s’embourber plus profondément encore dans les sables mouvants de Gaza, et qui aurait dû légitimer sa conquête et annexer la bande de Gaza, au lieu de subir à nouveau les relents bien connus des désastreux accords d’Oslo.
Mais, en vérité, ce n’est plus le destin d’Israël qui est en jeu, mais celui du monde libre et démocratique entier si Trump ne tourne pas le dos à ces abysses arabo-musulmans…
Thérèse Zrihen-Dvir
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Israël ferait mieux de planifier son propre salut, car lorsque Trump se réveillera, l’Iran sera prêt et armé
Article lucide, hélas ! L’islam a au moins retenu de Marx que les capitalistes sont prêts à lui vendre la corde avec laquelle il nous pendra.
Et avec ça il y en a qui trouvent Trump « très bien ». Avec lui, on peut s’attendre à tout : rien qu’à voir le rendez-vous avorté d’Ankara avec Poutine. On est reparti à zéro mais ça fait le buzz.
C’est Israël et le Qatar qui ont financé et crée le Hamas. Rien à rajouter.
N’importe quoi
« C’est celà, ouiii ! » comme dit Thierry Lhermitte, alias Pierre Mortez, dans le Père Noel est une ordure.