C’est insensé, tout ce fric, ces millions, ces milliards… distribués par des élus mais aussi par des non élus, des responsables d’associations par exemple et qui sont juste l’argent du contribuable.
Voilà un théâtre parisien, la Gaité Lyrique, qui a été occupé par des migrants pendant des mois (revoir nos articles qui y ont été consacrés)…
Donc perte d’exploitation, et voilà que la direction du théâtre lance un appel à l’aide. Le théâtre serait au bord du gouffre, avec quelques menus travaux de réparation, remplacement… vous connaissez beaucoup de gens, vous, qui, locataires pendant 4 mois, rendent nécessaire le remplacement des toilettes et autres commodités ?
Des sous ! Des sous ! Ou bien on va crever ! Eh bien je le dis sans état d’âme : crevez !
On apprend que les pleureuses fonctionnent non pas avec le fruit de leur travail de leurs succès… mais avec une subvention délirante de plus de 3 millions annuels ui ne couvrirait que 30% des besoin, on peut se poser de bonnes questions sur le budget du théâtre… Ils y fabriquent des décors en or massif ??? Combien d’acteurs, combien d’inutiles qui vivent sur le dos de la bête ? Et ça suffit pas, il faudrait qu’on paye encore pour compenser l’occupation… qui génère un manque à gagner, j’ai conviens, mais….
Le lieu dépend de la Mairie de Paris (tiens donc !) mais la dite Mairie sans doute fauchée ou en délicatesse avec les responsables de la Gaité lyrique ne veut plus cracher au bassinet
La Gaîté Lyrique, anciennement théâtre de la Gaîté ou Gaîté-Lyrique, est une salle de spectacle parisienne située 3bis rue Papin (3e) et reconvertie en lieu culturel de la Ville de Paris depuis 2011.
Pour moi, Wikipedia nous apprend pourquoi ce lieu prétendument de culture est un gouffre financier et pourquoi il sert sans doute à tout mais pas à l’édification du peuple ni à lui proposer de la beauté. Moi quand on parle des arts et des musiques et des « thématiques annuelles »… je comprends qu’il ne s’agit pas d’art mais d’expériences, de pseudos nouveaux artistes qui vivent aux crochets de la collectivité. Quant à la novlangue la rencontre de la culture, de l’histoire et de la modernité. Il témoigne ainsi de l’hybridation des médias propre à l’expression artistique du xxie siècle…. Pfff !
En 2001, sous l’impulsion de Bertrand Delanoë, la Ville de Paris prend la décision d’y créer un centre culturel consacré aux arts numériques et aux musiques actuelles. Prévu à l’origine pour ouvrir en 2005[5], le projet architectural définitif n’est validé qu’en . Les travaux débutent en [6], la délégation de service public étant confiée à l’architecte Manuelle Gautrand.
Les travaux s’achèvent en , l’inauguration de ce nouvel établissement a lieu le et son ouverture au public le [7]. Jérôme Delormas est alors chargé de la gestion, de la direction et de la direction artistique. Bien que la rénovation du bâtiment soit conséquente, le projet veut respecter les parties historiques du bâtiment. Ainsi, la Gaîté Lyrique se présente comme un « bâtiment outil » au service des artistes et des thématiques mises en place chaque année.
Il se présente comme un endroit pour comprendre les relations entre les progrès techniques et l’évolution des formes artistiques en permettant la rencontre de la culture, de l’histoire et de la modernité. Il témoigne ainsi de l’hybridation des médias propre à l’expression artistique du xxie siècle. Cet établissement culturel de la Ville de Paris est géré, en délégation de service public. En 2011, l’établissement était géré par un groupe financier composé de la maison de disques Naïve, et la société Ineo et son budget annuel de fonctionnement était de 9,5 millions d’euros, dont 5,45 de subvention municipale.
Ils n’ont plus de sous ? Ils licencient et ferment la boutique !
! Merde ! Si t’es bon tu vis de ton travail, si t’es pas bon tu fermes la boutique. C’est pas à nous de payer pour les glandus et les ratés. On manque de main d’oeuvre pour cueillir les fruits dans le midi et bientôt pour faire les vendanges… et partout on manque de bras dans les cafés !
Selon Le Parisien, la Gaîté Lyrique, salle de spectacle du IIIe arrondissement de Paris, accuse 3 millions d’euros de pertes d’exploitation après son occupation pendant 100 jours par plus de 400 jeunes migrants, débutée le 10 décembre 2024 et évacuée le 18 mars 2025. Fermé depuis plus de cinq mois, l’établissement se dit aujourd’hui « abandonné » par la Ville de Paris, qui vient d’annoncer qu’elle ne participerait pas à son redressement économique malgré une participation habituelle de 30 % à son financement.
Juliette Donadieu, directrice du lieu, dénonce un « double discours » et une « douche froide » : « Nous venons d’apprendre qu’il n’y aurait aucun accompagnement de la Ville. Nous sommes clairement sous le choc ». Un communiqué a été publié pour alerter sur l’avenir des 60 salariés, et une mise en demeure de la Ville a été envoyée.
Si la Ville a versé sa subvention annuelle (3,346 millions d’euros), la direction souligne que cela ne couvre pas les pertes exceptionnelles : l’établissement fonctionne à 70 % sur ses recettes propres. L’occupation n’a pas causé de dégradations majeures — seulement des toilettes à changer, un coup de peinture et une porte d’armoire à remplacer — mais le préjudice financier reste critique.
Malgré le soutien de partenaires comme Arty Farty, Arte, makesense, SINGA et Actes Sud, la Gaîté Lyrique envisage désormais un recours au ministère de la Culture et à d’autres partenaires pour « sauver l’entreprise, le projet culturel et sauvegarder un maximum d’emplois. » « On ne se résigne pas à fermer, on va se battre ! », conclut la directrice.
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Entreprise gauchiste qui s’est mise toute seule en faillite en accueillant à bras ouverts les clandos. Qu’elle se démerde. Elle n’a qu’a embaucher ses protégés pour retaper avec une cagnotte, c’est pas les bobos-gauchos qui manquent à Paris.
Il pourrait demander de l’argent à Soros.
Il n’y a qu’à voir les pièces dites d’avant garde. Exemple : une scène avec des décors minimalistes, des femmes et des hommes prétendument artistes qui s’invectivent en passant sur des patins à roulettes, des dialogues plus qu’indigents, style : Une femme : La Lune vient de se décrocher du ciel. Réponse d’un de ses partenaires : Comment va votre concierge, au fait? Un autre : L’herbe est moins verte cette année. Un autre :Le cassoulet n’est plus ce qu’il était. J’exagère à peine, c’est nul de chez nul. Payer pour ça ? Des spectacles de cet acabit devraient être gratuits. Il faut couper toutes les subventions. Nous n’avons pas à payer pour que de prétendus artistes puissent vivre non pas de leur activité mais à nos crochets.
Tout cet argent, c’est sûrement pour lancer les talents d’aujourd’hui ! Je plaisante.
Brassens : il écrit ses premières chansons dans l’ombre en travaillant comme ouvrier à l’usine Renault. Brel : ses débuts sont très difficiles. Piaf : elle passe son enfance dans la pauvreté, vivant dans la rue et chantant avec son amie Simone Berteaut pour survivre…
Film Brassens, la Mauvaise Reputation – 2011 ici en ligne : https://m.ok.ru/video/7642178849290
Ce théâtre a choisi d’aider ses squatteurs. Qu’il se démerde !
Complicité.
Le bon cœur a ses limites, le mien a les siennes.
Il existe tellement de salles à Paris…
On va en crever de toute cette générosité gratuite sans contre parti.
Faut fermer toutes ces assos qui nous coûte la peau du cul. Et puis fallait virer les squatters.
Qu’ils disparaissent ! Ce sont des parasites comme ceux qui l’ont squatté! La gaîté lyrique etait un endroit merveilleux ou nombre d’opéra comique et opérette y ont été créés, des artistes comme André Dassary ou Luis Mariano ont brillés de leurs talents. Tout ce que touche les socialopes se transforme en merde.
C’est insensé en effet ! Le simple « bon sens » est sorti des us de notre pays dont les têtes décérébrées ont remplacé les « têtes bien faites » ancestrales… Tu veux créer un Club de joueurs de bridge tu vas demander des aides à ta Mairie !!! Alors que tu peux mettre la cotisation annuelle à 50 euros par membre et ne pas la faire payer par les impôts locaux de Mme Michu. Un peu de civisme consensuel diantre! Sinon tu vas à la pêche aux moules (à gaufres) avec le capitaine Haddock! 🙋♀️
Les Français sont toujours d’accord pour payer toujours plus… C’est incompréhensible. Dans ma ville nous sommes sollicités pour un projet d’embellissement d’un parc avec création d’un terrain de pétanque alors que la commune est surendettée. On paie des taxes foncières énormes mais les élus ont toujours le projet de faire des dépenses qui pourraient être évitées dans un contexte économique de plus en plus difficile. Ils n’ont pas l’air de mesurer l’effort que ça implique pour le citoyen ordinaire de payer tout ça. Mais sans doute que ces nouveaux espaces seront appréciés des bénéficiaires des logements sociaux (25% de la commune) qui ne paient aucun impôt (à part la TVA sur leurs courses comme tout un chacun, mais les alloc et revenus dissimulés – travail au noir, trafic de stup – aident à payer…). Parmi les 75% restants, au moins 50% de moutons qui suivent sans broncher et ça fait une majorité pour être réélu.
En effet, Maxime, mais la proximité des prochaines municipales ne jouerait-elle pas un rôle elle aussi ? 😉