
Tendre l’autre joue : Un acte d’amour radical qui transforme …
Il semble que nous avons tous oublié combien de fois Israël a tendu l’autre joue et a reçu une claque retentissante… et cela date bien avant la résurrection de l’État d’Israël en 1948… Parce que les Arabes de Palestine, en dépit de leur insistance à nous faire croire qu’ils reconnaissent Jésus et respectent ses ordonnances, ses conseils… Respect qui s’arrête exactement là où quand Jésus demande de « tendre l’autre joue ». Cela doit les faire mourir de rire.
Mais c’est surtout un langage étranger à l’islam. D’ailleurs tous les européens et américains qui n’ont pas tout à fait abandonné Jésus et sa candeur, le paient très cher durant leur confrontation presque quotidienne avec l’islam et ses adeptes. À ceux-là, on ne demande pas de tendre l’autre joue. Aucune demande de réciprocité bien bizarre en fait.
Israël a si souvent avalé sa salive et a permis à sa compassion, à son humanisme de l’envahir et, a ouvert ses portes aux malades, aux blessés arabo-musulmans qui après avoir été soignés et guéris par les israéliens, dans des hôpitaux israéliens, aux frais des contributeurs israéliens, s’est retrouvé face à face à ceux qu’il a sauvés d’une mort certaine, sur les dunes de Gaza, ou déguisés en terroristes pour assassiner les israéliens… certains ont même pris part au massacre barbare des festoyeurs de la Nova et dans les kibboutzim/villages israéliens limitrophes à la bande de Gaza.
Parlez-moi d’une ingratitude… Le meilleur exemple nous a été offert par le sieur Yehia Sinwar, chef du Hamas, auquel Israël avait sauvé la vie et l’avait guéri d’un cancer au cerveau…
D’autres ont subi des interventions chirurgicales dans les hôpitaux israéliens et ont reçu des implantations de reins, de cœurs, d’organes, de peau dont les donateurs sont toujours des juifs israéliens, bénévoles ou morts accidentellement…
Nous constatons donc qu’Israël applique en effet les conseils de Jésus, qui, comme vous devez le savoir était juif avant tout et sa douceur, son pardon, sa compassion sont issus de ses origines juives, de la Bible, du décalogue, de sa connaissance de la nature même du juif…
Vous souvenez-vous des accords d’Oslo ?
Un petit rappel… Les autobus qui explosaient au cœur même de Tel-Aviv, dans les centres de commerce, dans les cafés et restaurants… Plus de 1500 morts civils, enfants, femmes et vieillards… « Tout terrain/ville/village que les israéliens nous remettrons nous en ferons un champ de bataille et nous les tuerons », promesse émise et exécutée par Arafat et ses acolytes.
Arafat, prix Nobel de la paix, a bien craché sur la main tendue d’Israël : C’était l’époque des kamikazes, déclenchée durant la « deuxième intifada », avec l’arrivée d’Arafat à Gaza en l’an 2000. Les bus éclataient à Jérusalem et à Tel-Aviv. Les cafés étaient ciblés par des kamikazes et les morts s’amoncelaient dans presque toutes les villes du petit pays. La pagaille et le choc régnaient dans les rues, dans les supermarchés, dans tous les coins. Il n’y avait plus un jour sans terreur et sans les sirènes des ambulances (extrait de mon œuvre Le défi d’être… juif) ….
Vous souvenez-vous des 22 soldats de Beit Lid, alors qu’ils sirotaient un café au kiosk, en attente du bus qui les mènerait à leurs bases ?
« L’horloge du tableau de bord indiquait 9h30, et Nicole soupira d’impatience. Soudain, une énorme explosion secoua leur voiture, alors qu’ils semblaient à bonne distance. Ils n’eurent même pas le temps de réaliser ce qui se passait qu’ils aperçurent au loin des corps et des membres voler dans les airs et atterrir un peu partout près de la gare routière et sur la route. Le bruit était si assourdissant que Nicole arrêta automatiquement la voiture, à quelques centaines de mètres du centre de l’accident, pour tenter d’évaluer la situation. Dès qu’elle le put, Nicole s’accroupit au sol, au plus près de leur voiture. Une pluie de corps, de membres, d’os et de morceaux de chair humaine s’envola à nouveau, atterrissant finalement sur les buissons, les véhicules, les gens, tout et partout. L’horreur, l’abomination et l’atrocité étaient cauchemardesques, et la première réaction de Nicole fut de vomir violemment.(Extrait du livre The Stairway to Heaven).
Le Chef d’état-major Amnon Lipkin-Shahak, écrivit sur la couverture du livre :
J’ai pris part à des guerres, j’ai vu mourir mes proches ainsi que l’ennemi et j’ai connu la souffrance. J’ai dirigé des soldats lors de missions dangereuses qui ont coûté cher en vies humaines. Mais la scène du champ de bataille de Beit Lid, ce terrible matin du 22 janvier 1995, constitue un chapitre à part, distinct et horrible, de ma vie en uniforme, de ma vie de commandant. Depuis, j’ai gardé en moi des images du carrefour de Beit Lid, des images des morts et des blessés, et des personnes qui les entouraient, choquées et abasourdies. J’ai observé ces scènes et la morale qui en ressort est sans équivoque : Nous ne pouvons pas laisser le terrorisme gagner ! Nous ne devons pas céder au terrorisme ; nous devons le combattre et le vaincre. Au nom de la raison, au nom de la justice, et en mémoire de ceux qui sont restés là, au carrefour de Beit Lid.

Tendre l’autre joue… à ce train-là, il n’y aura plus de joue, ni de figure, ni de corps… que des morts sur lesquels ces arabo-musulmans, viendront cracher.
Je plains Jo Biden et tous ces démocrates qui suivent les sons de sa flûte et qui n’ont rien compris de tout ce qui se trame sous leurs yeux, au sein de leurs pays, dans leurs universités, là où le juif n’est plus admis…
Israël n’a plus rien à sacrifier après le 7 octobre 2023… Et nul n’a le droit de l’interrompre dans sa lutte acharnée contre le Hamas et consorts, qu’ils soient à Gaza ou en Judée et Samarie…
À tous ceux qui pensent encore tendre l’autre joue, réfléchissez. Je vous conseille aussi de faire un tour dans les cimetières d’Israël, et d’ouvrir les archives sur la terreur arabe dans le monde entier, et en Israël en particulier.
Je ne doute pas que l’envie leur passera bien vite.
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Bonjour;
Un grand merci, Thérèse, pour cet article !
Jésus n’était pas homme à se soumettre.
C’est parce qu’il a défié le Sanhedrin, que les pharisiens ont voulu sa mort.
Au temple, il a chassé les marchands à coups de fouet, c’est un acte fort , ce n’est pas celui d’un homme mou comme vous le décrivez.
Et d’ailleurs, ce sont tout de même les prêtres qui ont choisi de sauver Barabbas.
Les prêtres juifs ont préféré sauver la vie de la racaille de cette époque.
Une fois de plus, je vais essayer de remettre les choses à l’endroit. C’est ce petit rigolo de Luc (qui ne devrait pas faire partie des canoniques) qui a écrit de tendre l’autre joue si on te frappe sur une joue en omettant de préciser: frappe sur la joue droite. Il a copié sur Matthieu qui malheureusement n’a pas détaillé sa pensée parce qu’il s’adresse à des juifs connaissant parfaitement les règles les concernant. Pour Matthieu et les juifs, donner une claque doit se faire avec la main droite et la claque doit arriver sur la joue gauche. Pour qu’elle touche la joue droite, il faut frapper avec le revers de la main droite, ce qui est une grave insulte chez les juifs de l’époque signifiant que le destinataire est un être inférieur. Jésus dit ainsi qu’il n’y a pas d’hommes supérieurs aux autres ni d’hommes inférieurs.
Explication intéressante.
Les paraboles du Christ sont en général simples et lumineuses.
Mais celle de la joue droite, nécessite de connaître les us et coutumes des juifs de l’époque.
si on visualise le geste, il est difficile de taper la joue droite de quelqu’un, on tape forcément la gauche, une gifle part direct sur la joue gauche, donnée avec la main droite.
Donc, cette parabole a un sens caché, et a été très mal interprétée et utilisée.
Quelle science… presque canonique ! Merci Armand
Bonjour,
Oui, un grand merci, Armand !!!
Un prêtre nous avait expliqué cela, lors d’un sermon, mais je ne me souvenais plus des détails.
Merci de me les remettre en mémoire !!
On ne tend pas l’autre joue aux barbares.
Attention, cet ordre donné par Jésus n’est pas canonique. Il s’agit d’un ajout de moine copiste ennemi de Jésus-Christ. C’est d’ailleurs en contradiction avec le reste des Ecritures : « Si ton ennemi viens à toi, tue-le », « un homme avisé défend sa maison », etc… Souvenez-vous de la parabole de Jésus-Christ : « Il y a de l’ivraie dans le champ, c’est mon ennemi qui a fait cela, mais laissez tel quel, de peur d’arracher les bons pieds ». Le champ, c’est l’Evangile. L’ivraie, ce sont les choses indignes qu’on lui a fait dire. Jésus-Christ n’a jamais dit cela. Cela, c’est la parole de « mon ennemi ». Pas celle de Jésus-Christ.
Commentaire donné hier sur RL
Ecoeuré parle nombre de commentaires de gens se disant chrétiens. La France christianisée est à vomir. Merci à vous Thérèse pour ce rappel de l’Histoire. Yeshoua le Juif est mon seigneur, Lui que je considère comme Le Roi des Israélites. Il nous a « comme » greffé de coeur dans votre merveilleux Peuple élu part le Créateur depuis les Patriarches. Je remercie chaque jour l’Eternel Dieu d’Israël pour l’Amour de Son Peuple déposé dans nos coeur le jour de notre visite au Kotel.
Soyez Béni cher Baba… Si tout le monde connaissait l’histoire, la vraie, cette haine disparaîtrait.
Je vous admire pour votre assiduité et fidélité.
Mes amitiés,
Thérèse
Heuuuu pardon, mais la France iSSlamisée est un peu plus à vomir, non ? A dégueuler même !
Bonjour Thérèse. J’ai cliqué sur le lien disposé sous l’illustration. Parfaitement indigeste. Tendre l’autre joue ! C’est à la limite de l’insanité !