Pourvu que les écolos, à l’image de leur opposition néfaste à notre production électrique nucléaire,
ne trouvent pas le moyen de faire interdire une méthode de stérilisation des moustiques qu’une entreprise FRANÇAISE est la SEULE en Europe à pratiquer !
Une méthode que ces « chers sauveurs de la planète » pourraient, tout comme l’inénarrable Aymeric Caron, le si spécial antispéciste entendant donner à toute espèce le droit de vivre même à celles pouvant tuer l’espèce humaine, estimer cette méthode « cruelle car destructrice d’une espèce de notre écosytème ! ».
Mais quelle espèce ? Oh, tout simplement celle des « gentils » moustiques tigres dont les douces femelles nous transmettent cette maladie mortelle qu’est le Chikungunya !(1)
C’est donc une société français qui va expérimenter une méthode de lutte contre cette maladie qui peut entraîner la mort d’êtres humains. Et une méthode des plus originales à savoir contrer les « maternités » de ces charmantes et prolifiques femelles afin qu’elles mettent au monde moins de petits ! Des mâles stérilisés en laboratoire leurs feront croire que leur « semence » est fertile. Et donc que cette espèce aura de moins en moins d’individus sur la planète à commencer par la France hexagonale et plus précisément la région privilégiée puisque choisie pour bénéficier du premier largage de 3000 moustiques mâles stériles par hectare : la région de Brive-la-…Gaillarde -nom donc, dans ce cas, trompeur !-, la sous-préfecture de Corrèze où ce virus a été repéré pour la première fois en 2016. Il était arrivé en notre hexagone par les Alpes-Maritimes en 2004.
Comme l’a précisé mardi Caroline Tourbe journaliste au Point, c’est le maire de Brive, Frédéric Soulier qui « a décidé de limiter la prolifération de l’envahisseur grâce à la stérilisation.
De mai à octobre 2025, période la plus chaude de l’année, des nuées de mâles stérilisés seront régulièrement relâchées sur la commune pour leur permettre de se reproduire avec les femelles sauvages. »
Quelle est cette méthode ?
C’est en exclusivité que « Le Point a pu pénétrer dans la première usine de stérilisation de moustiques tigres, vecteurs de maladies comme le Chikungunya » avec pour but de « lutter contre leur prolifération. »
« Pour cette tactique inédite, l’élu s’est adressé à une toute jeune société de biotechnologie, Terratis. Basée à Montpellier, cette jeune entreprise possède la seule et unique usine de stérilisation de moustiques en Europe. »
Selon le fondateur de la société Terratis, Clélia Oliva dont la thèse à l’Institut de Recherche pour le Développement et les post-doctorats ont porté sur le moustique stérile, le principe est simple :
« Nous relâchons, dans la zone à protéger, des mâles qui ont été stérilisés à l’âge adulte dans notre usine. L’important, c’est leur nombre. Ils doivent être présents en quantité suffisante pour avoir une chance de gagner la compétition avec les mâles sauvages et s’accoupler avec les femelles, elles aussi sauvages, déjà présentes sur place. En général, il faut dix fois plus de mâles stériles que de sauvages pour avoir un effet massif. »
Les 52 hectares traités à Brive nécessiteront « environ 3 000 moustiques stériles relargués par hectare pour avoir un ratio efficace », selon la jeune femme.
Il faut savoir que, selon elle, chez les moustiques, « l’accouplement n’a lieu qu’une fois. Les femelles stockent les spermatozoïdes reçus dans une poche, la spermathèque, dans laquelle elles puisent au fur et à mesure pour assurer leur descendance. Elles sont les seules à piquer, car le sang est une source de protéine permettant de compléter la maturation des œufs. »
Dorian Barrère, son associé et co-fondateur de cette société, explique :
« Après des essais concluants menés en Occitanie, la mairie de Brive est notre première cliente officielle. »
La chaîne de production automatisée inaugurée par est « basée sur la technique de l’insecte stérile (TIS) par irradiation. Connue depuis plus de 60 ans, la TIS consiste à appliquer des rayons X sur des nuées d’insectes pour les rendre infertiles. Mais si elle est utilisée de longue date pour lutter contre des ravageurs de récoltes, telles que les mouches du fruit ou les pyrales, son application aux moustiques est encore rare. »
La longue baie vitrée de la « ferme », abrite « plus de 16 000 adultes (…) dans le but de récolter leurs œufs. »
« Sachant que les adultes présents dans une cage produisent environ 200 000 œufs tout au long de leur vie, la « ferme » doit permettre d’obtenir plus de 14 millions d’œufs tous les quinze jours ou trois semaines. »
Puis, en quelques semaines, un robot fait grandir les œufs de larves en adultes stériles ! Adultes qui sont « engourdis par le froid, pour les empêcher de s’agiter » et ainsi « garder la forme, pour rivaliser avec les mâles sauvages » !
Ce n’est qu’après cet été que la mairie saura si, à 1000€ par hectare, cette opération sera bénéfique à la population.
Et surtout si cette production de moustiques tigres… stériles n’engendrera pas de protestations outrées de « sauveurs de la planète » !
Le Point du 13 mai 2025 :
https://www.lepoint.fr/sante/lutte-contre-les-moustiques-des-nuees-de-males-steriles-larguees-sur-brive-la-gaillarde-13-05-2025-2589479_40.php?
Jacques MARTINEZ, journaliste, à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
-(1) Page de l’INRS sur le chikungunya :
https://www.inrs.fr/publications/bdd/eficatt/fiche.html?refINRS=EFICATT_Chikungunya§ion=donneesEpidemiologiques
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si seulement c’était eux qui pouvaient être stérilisés afin qu’il en soit fini de leur race de dégénérés
si caron refuse , faut le steriliser aussi § parce que si ca se reproduit ca , on est pas dans la … panade !!
Ce qui serait plus efficace serait, de stériliser les escrolos, que du bien pour la planète et pour nous aussi!