Écolos des villes contre écolos des champs…
Rien de mieux qu’un combat entre deux factions, adversaires bien qu’alliées en politique, pour nous divertir…
De nos jours, enlaidis par les incessants diktats d’obligations/interdictions des différentes chapelles politico-médiatiques, en fonction de leurs seuls intérêts, celui du petit peuple (comme ils le disent !) étant le cadet de leur soucis, il y a différentes façons d’aborder l’actualité, notamment en fonction de notre propre santé, physique comme morale…
Soit vous prenez tout ce qui vous est déversé H24 sur les ondes, par les poubelles du pouvoir et ses annexes (« merdias », associations bidons, « spécialistes » de plateaux…)et dans ce cas vous vous peaufinez au fil des jours un magnifique ulcère à l’estomac qui n’a pas fini de vous faire souffrir, voire carrément un infarctus plus brutal et parfois décisif…
Soit vous décidez de chercher à tout prix le ressort comique derrière les indignités qu’on vous sert comme des vérités ultimes, issues de cerveaux enfiévrés par le pouvoir, le fric qui va avec (celui que nous leur versons, jamais suffisant à leur goinfrerie !), sans parler de leurs dérives comportementales en tous genres… qu’ils n’ont de cesse de nous voir adopter… comme par exemple les substances dangereuses qu’ils s’envoient, sans presque se cacher, ou encore plus grave (après tout, s’il veulent se détruire, ça les regarde !) leurs orientations sexuelles les plus tordues, qu’ils ont malheureusement l’intention de faire adopter comme normales en endoctrinant carrément nos enfants, dès la maternelle (si l’Association « Parents vigilants » du parti Reconquête, ne veillait pas au grain, en investissant les conseils de classe, ou en déposant un recours devant le Conseil d’État à propos des programmes délirants décidés, sans consultation des parents, par des élus… de simples désaxés à carrément immondes pour certains !).
https://www.parti-reconquete.fr/parents-vigilants-recours-conseil-etat
S’il n’est pas certain que le Conseil d’État, dont nous connaissons le CV de ses membres tout comme son indigne complicité avec le pouvoir, rende un avis objectif, l’action aura au moins eu le pouvoir d’alerter le public sur certaines inacceptables dérives de l’Enseignement, ayant déjà fait beaucoup de dégâts, car restées dans l’ombre, comme tous les scandales d’État actuel en provenance des fous qui se sont approprié le pouvoir, souvent de manière biaisée !
Ce qui nous intéresse aujourd’hui, c’est le combat épique qui se déroule en Bretagne entre deux factions écolos, ce qui, pour ceux dotés comme moi d’une nature plutôt joyeuse, nous donne l’occasion de nous gausser de ces tartuffes qui, au nom d’une prétendue écologie (édifiée à leur sauce, souvent amère car s’assimilant de plus en plus à une dictature envahissante et intransigeante !) interviennent dans nos vies personnelles en débordant de plus en plus dans tous les domaines !
D’un côté, nous avons donc aujourd’hui les écolos purs et durs « anti-voitures », forcément polluantes (mais surtout pour le populo), oubliant que dans la vraie vie, ce sont surtout des prétendus écolos qui possèdent de polluants 4×4 ou qui sautent dans un jet privé, au prétexte que leur rôle important les y oblige (défense de rire !).
Dans toute la France, il ressort que les diktats de ces foldingues compliquent la vie du citoyen (tout en s’en exemptant eux-mêmes bien évidemment !) à commencer par ces inadmissibles Zones à Faibles Émissions (ZFE) rebaptisées Zones de Français Exclus par Reconquête, en première ligne contre cette véritable dictature… destinée à pratiquer un scandaleux racisme entre bons et mauvais Français, qui n’aura comme résultat prévisible que de nous pourrir encore plus la vie, sans véritable effet sur le climat !
De l’autre, nous avons les écolos antispécistes, s’opposant aux premiers dont certains pratiquent déjà un progrès à reculons, en revenant à l’utilisation (traduite par eux enexploitation) de l’animal pour tracter un véhicule non polluant… qui bien évidemment en fait leurs adversaires féroces et vindicatifs.
Définition : L’antispécisme est un courant philosophique selon lequel l’espèce d’appartenance d’un animal ne doit pas fonder la manière de le considérer ou de le traiter.
Cela de la même manière que, pour les antiracistes, la race ne doit pas déterminer ce qu’on peut faire d’une personne, par exemple la possibilité de la discriminer. Le spécisme serait donc l’équivalent du racisme, et l’antispécisme l’équivalent de l’antiracisme.
https://www.jepense.org/antispecisme-definition-philosophique/
La commune de Questembert, en Bretagne, utilise depuis 2011 un ou deux chevaux de trait, notamment pour la collecte de déchets et le débardage. Pour les antispécistes, cette pratique est « source de souffrances pour l’animal ».
Et puis d’un coup la polémique s’est mise à galoper sur divers réseaux sociaux (X, Facebook…) depuis ce mois d’avril 2025 lorsqu’un militant antispéciste a mis en ligne une pétition qui a déjà recueilli plus de 24 100 signatures.
« Je suis choqué de constater qu’aujourd’hui encore, un cheval puisse être utilisé comme simple outil de travail au profit d’une municipalité » écrit Serge Buchet, à l’origine de la pétition. Il est élu municipal à Rochefort-en-Terre, co-référent du Morbihan pour la Révolution Écologique pour le Vivant (REV), parti d’écologie radicale et antispéciste fondé par Aymeric Caron. REV a relayé son appel.
Surfant sur le succès de sa pétition, Serge Buchet insiste sur le côté pratique d’un autre temps, source de souffrances pour l’animal, et ne s’est même pas donné la peine de répondre à l’invitation de venir constater qu’au contraire les animaux sont bien traités…
De son côté, Boris Lemaire, maire de Questembert, de gauche écologiste, explique que ces chevaux tirent la calèche du ramassage des déchets triés (sacs jaunes), en centre-ville, une fois par semaine. Une solution présentée dès le départ comme non polluante et permettant d’accéder à des rues pas toujours atteignables en camion. Ils assurent aussi du « débardage de nos espaces verts, sur les zones où des tracteurs, plus lourds, auraient du mal à intervenir »
Il assure que les « chevaux sont bien traités. Ils ne travaillent pas plus de 4 h/jour, 5 jours/semaine. S’ils ont un débardage plus costaud un jour, ils ne travaillent pas le lendemain. S’il fait trop chaud, ils ont des horaires aménagés ou sont au chômage technique. Ils sont très bien suivis par nos deux cochères qui ont une relation forte avec eux. » Et de souligner que la commune de Questembert fait partie du réseau des chevaux territoriaux Faire à cheval
et du programme pour la sauvegarde du trait breton.
J’avais annoncé de la rigolade… ne vous impatientez pas, cela arrive, avec déjà une contre-pétition pour que Questembert garde ses chevaux, lancée par des citoyens, tandis que nombre de commentaires chambrent les gens de la ville qui n’ont même jamais vu un cheval de près…
Mais le summum est atteint, quand l’édile déplore d’être défendu par l’extrême droite !
À mon âge avancé, on ne se roule plus par terre de rire, mais ce n’est pas l’envie qui me manque ; vous ferez ce que bon vous semble, après votre formidable éclat de rire… point d’orgue de cette réjouissante lecture :
« On se retrouve aussi défendu, en plus, par des comptes d’extrême droite qui ont instrumentalisé ce sujet. Après le billet d’Europe 1, à tous les coups on va finir sur CNews… »
Chacun sachant bien sûr que ce sont toujours les baptisés extrême droite qui instrumentalisent… pratique hautement répréhensible qui ne viendrait jamais à l’idée d’un gauchiste, fût-il écologiste.
Quelle horreur ! Les pauvres gens… être assimilés à la lie de la société (sic), laquelle se fout pas mal de leur dédain, vu le stock de réponses adaptées à leurs conneries actuellement en réserve chez tout bon citoyen-patriote ne les supportant plus.
Et si bien des fois nous grinçons des dents à l’écoute des salmigondis déversés sur les ondes par tous ces bâtards se prenant pour des gens importants (et intelligents), aujourd’hui il est clair que voir deux cliques d’une même chapelle s’étriper pour pas grand-chose (les vrais drames se jouant régulièrement sur notre territoire ne touchant apparemment pas ces âmes sensibles…) est immédiatement à verser au dossier des combats d’opérette, chapitre moqueries…
À cette seule condition, nous pourrons garder le moral pour tenir le temps nécessaire pour nous débarrasser enfin de toute cette lie d’humains prétendant aimer les animaux, mais si mal qu’ils en deviennent parfaitement ridicules.
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
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Et que croyez vous qu’on fait d’un cheval qui ne sert à rien, ben, il va à la boucherie, il est bien mieux à travailler pour la commune, car en plus on s’occupe bien de lui. Cette pratique du cheval de trait devrait être systématiquement mis à l’honneur dans les petits villages d’autant plus que le cheval de trait est très fort et qu,il peu traîner une carriole sans trop d’effort. Mais bon c’est un peut trop technique pour les écolos, dont la seule fonction est de pourrir la vie des gens et des chevaux de trait.
Je préfère voir un cheval tirer une charrue, plutôt qu’un migrant tirer une gauchiste, c’est beaucoup plus pastoral et n’a que des conséquences bénéfiques sur notre avenir, contrairement à l’autre cas ou le résultat est un fruit pourri et la continuité dans le déclin.
Ps si je suis censuré, je ne vous en voudrais pas 🙃
C’est plus fort qu’eux faut qu’ils se fassent remarquer…
Alors une fois le fond atteint ; ils creusent…