Sébastien Delogu : « Je suis le fils de Dieu »

Qu’est-ce qu’on se régale avec Frontières ! Evidemment, ce qui devait arriver arriva et arrivera, 3 plaintes de gauchos contre Frontières… la vérité blesse certains...

Frontières, dans son hors série de janvier, accusait plusieurs associations (subventionnées, sinon ce n’est pas drôle) de s’en mettre plein les poches avec les migrants et, cerise sur le gâteau, de se rendre responsables d’actions illicites. Les conséquences n’ont pas tardé, la Ligue des Droits de l’Homme, le Mrap et Utopia 56  ont déposé plainte en diffamation… 

Mais les Journalistes (oui avec une majuscule, afin de mieux les distinguer encore des journaleux subventionnés et soumis à Mélenchon) n’ont même pas peur et continuent leur travail d’investigation, leurs enquêtes et leurs articles… délicieux. Encouragez-les, abonnez-vous ! 

Delogu l’analphabète a encore frappé… Il est bête au point de ne pas se rendre compte des énormités qu’il sort. Comment elle disait, déjà, ma grand-mère ? Bête à bouffer du foin !

Sébastien Delogu, député La France insoumise (LFI) des Bouches-du-Rhône, s’est imposé comme l’un des plus fidèles lieutenants de Jean-Luc Mélenchon, dont il fut autrefois le chauffeur. Dans La Meute, ouvrage d’enquête des journalistes Charlotte Belaïch et Olivier Pérou, son parcours illustre les dérives d’un mouvement décrit comme autoritaire, où la loyauté absolue au leader prime sur tout. De ses provocations à l’Assemblée nationale à ses déclarations exaltées, l’élu marseillais incarne un système de domination et de soumission au sein de LFI.

Inconnu du grand public jusqu’à son élection en 2022, Sébastien Delogu doit sa carrière politique à Jean-Luc Mélenchon, qu’il a servi comme chauffeur avant de devenir député de la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône. Rapidement, l’élu s’est distingué par des gestes provocateurs, comme brandir un drapeau palestinien lors d’une séance de questions au gouvernement en mai 2024, suscitant une suspension de séance et une amende. Cette action, validée par Mélenchon, a marqué son émergence comme figure médiatique de LFI, fidèle à la ligne combative du leader.

Dans La Meute, Charlotte Belaïch et Olivier Pérou décrivent Delogu comme un symbole de la verticalité du mouvement. « Mélenchon, c’est Dieu, et je suis le fils de Dieu », aurait-il déclaré, selon des témoignages recueillis par les auteurs. Cette formule choc, rapportée dans l’ouvrage, traduit une allégeance totale au chef, au point de frôler un langage quasi religieux.

Un fonctionnement sectaire au cœur de LFI

L’enquête des deux journalistes, basée sur plus de 200 témoignages, dont ceux de membres actuels et d’anciens cadres de LFI, dresse le portrait d’un parti à la structure verrouillée. « LFI n’est pas un parti politique comme les autres », écrivent Belaïch et Pérou dans leur avant-propos. Loin des coups de colère d’un leader autoritaire, ils décrivent un système fondé sur « la domination et la soumission », où Mélenchon exige une « dévotion aveugle » et considère que « celui qui doute trahit ».

Les auteurs pointent un manque criant de démocratie interne, marqué par des purges successives et des intimidations. « L’idée d’un fonctionnement sectaire revenait souvent dans la bouche de nos interlocuteurs, ainsi qu’un lexique religieux », confie Charlotte Belaïch au Point. Les témoignages révèlent un climat de violence interne, où la loyauté envers Mélenchon prévaut sur la compétence et où toute critique est étouffée.

Delogu, miroir des dérives idéologiques

Sébastien Delogu incarne, selon La Meute, les dérives idéologiques et comportementales de LFI. Ses déclarations outrancières, comme son refus de condamner certaines positions controversées du mouvement, traduisent une fidélité sans faille à la ligne imposée par Mélenchon. Les auteurs citent notamment le vote des députés LFI contre une résolution appelant à la libération immédiate de l’écrivain Boualem Sansal, un exemple parmi d’autres des revirements idéologiques du parti.

« Notre livre révèle le climat de violence qui règne entre les membres de LFI », explique Olivier Pérou. Delogu, par son zèle, illustre cette dynamique : ses prises de position, toujours alignées sur celles du leader, traduisent une absence de marge de manœuvre pour les élus du mouvement. Son ascension fulgurante, sans expérience politique préalable, souligne également la primauté de la loyauté sur le mérite au sein de l’appareil.

Une organisation centrée sur un leader omniprésent

La Meute dépeint LFI comme une organisation structurée autour de la figure omniprésente de Jean-Luc Mélenchon, qui impose sa vision sans partage. Les auteurs décrivent un parti où les décisions stratégiques et idéologiques émanent du chef, relayées par une garde rapprochée dont Delogu fait partie. Ce système, comparé à une « secte » par certains témoins, repose sur une hiérarchie rigide et une culture de la peur, où les dissensions sont perçues comme des trahisons.

Les témoignages recueillis par Belaïch et Pérou mettent en lumière des pratiques d’intimidation et des purges visant à écarter les voix dissonantes. Cette verticalité, incarnée par des figures comme Sébastien Delogu, limite le débat interne et alimente les critiques sur l’absence de pluralisme au sein de LFI.

Un ouvrage qui alimente le débat public

Publié en 2025, « La Meute » provoque des réactions contrastées. Si certains saluent une enquête fouillée sur les rouages de LFI, d’autres, proches du mouvement, dénoncent une charge à sens unique.  L’atmosphère entourant les Insoumis est lourde. Des voix telles que celle de Laurent Wauquiez exigent un « cordon sanitaire » pour isoler LFI, dépeignant Mélenchon comme une figure menaçante.

Le cas de Delogu, mis en lumière par ce livre-enquête, cristallise les interrogations sur le fonctionnement de LFI et son impact sur la démocratie française. En plaçant Mélenchon au rang de « Dieu », Sébastien Delogu révèle, selon les auteurs, la nature profondément verticale d’un mouvement où le culte du chef étouffe toute alternative.

Frontières

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11 Commentaires

  1. Fadaises et bilvesées que tout cela.
    Comment déjà, delocu, je connais pas, faquin, butor, disparaissez ou je vous fais rosser par mes gens. Comment il ce insiste ce fripon, ce bastard, bastonnez le ce cul-terreux copieusement comme il se doit. Son insolence me dérange.

  2. ah bon ? re si du de feau sse cou che surtout !!
    je crois que je vais me payer ce bouquin , ca a l air croustillant !
    la secte des cre tins con geni taux : lol

  3. Si Delogu est le fils de dieu, c’est que dieu est un proxo, du fait il ne m’étonne pas que rien ne va sur terre.

  4. Embauche :
    Votre QI est sous les 60 ?
    Vous haïssez la France ?
    Lire et écrire ne sont pas dans vos capacités ?
    Marie Curie est pour vous une créatrice de sauce ?
    Votre vocabulaire est limité à 50 mots ?
    Viendez rejoindre le parti de Jenluque, vous seré bien a quelli….

  5. La Meute déjà en rupture de stock !
    Le fils de Dieu va être malade quand il va découvrir que cet ouvrage se vend comme une Bible !!!