J’avoue : la pollution de nos rivières, c’est moi… Je fais pipi dans la nature, 135 euros d’amende !

Je n’en peux plus… J’ai des envies de hurler ! De tout casser…

Non seulement ils nous cassent les pieds -et je suis polie- avec leur défense de l’islam et du voile, mais en plus ils nous emmerdent avec leur écologie à la con.

On n’aurait donc plus le droit -et ça fait apparemment un moment – de s’arrêter le long d’une route ou dans un champ en cas de besoin pressant, alors que, forcément sur les départementales, chemins vicinaux et même nationales les aires avec toilettes sont plus que rares… 

Mais nos écolos-dingos et leurs complices actifs -élus et censés nous représenter !!!- n’en ont cure ! Et de prévoir des amendes exorbitantes pour  un acte dont je croyais naïvement qu’il participait au cycle de la vie, tout bonnement… Ma grand-mère me disait toujours que, dans sa campagne profonde, dans les années 1930, il n’était pas rare d’utiliser le contenu du seau de toilette pour amender le jardin et le fumier avec d’heureux résultats…

En Macronie-UE soumises aux écolos-dingos prêts à tout pour vous asservir, essayer de vous culpabiliser d’exister… et de pisser, vous amener à penser que vous rendriez service à la planète en ne vous reproduisant pas (mais en aidant les meutes du tiers monde et notamment de pays musulmans à venir mettre bas chez nous… va comprendre, Charles…) c’est l’objectif des mondialistes élus par des masses de couillons écoutant doctement TF1, BFM… j’en passe et des meilleures.

Voyage sur le net. Edifiant. Quant à chercher des arguments scientifiques dans ce fatras, bon courage ! J’ignorais qu’il y eût des bidets de voyage pour faire pipi (ne me demandez pas comment ça marche), des chiffons spéciaux dits « pee rag » (on ne rit pas), et qu’il faut trimbaler des sacs plastique pour mettre le PQ et des bouteilles plastiques pour mettre le pipi et le transporter… Pour le caca faut aussi un mini bêche pour faire des trous et déféquer dans les dits trous…

Allez, c’est dimanche,  je ne résiste pas à la tentation de partager avec vous le quart d’heure « les cons sont partout »… Et comme dans notre monde il doit y avoir de plus en plus d’analphabètes on a même droit à des petits dessins de pelle et arrosoir… Bonne rigolade, les amis ! Profitez, on n’en a pas si souvent l’occasion ! 

 

Scène de crime: urine, excréments et tas de papier toilette

Bien que le fait de se soulager soit un processus naturel, les excréments humains polluent la nature. L’urine peut contenir des traces de médicaments, d’hormones et d’additifs alimentaires. En outre, elle présente une forte teneur en azote et perturbe donc l’équilibre des plantes. Les excréments contiennent également des substances nocives. Pour simplifier, on trouve dans les excréments toutes les substances que le corps humain ne peut pas digérer. Ils peuvent donc contenir des virus, des bactéries et des parasites.

Cela devient problématique surtout lorsque des germes pathogènes pénètrent dans des secteurs où ils sont normalement absents. Les excréments ne laissent pas seulement des traces visibles, ils contaminent également le sol et l’eau. Si les germes pathogènes parviennent dans un cours d’eau, ils peuvent se propager très rapidement et continuer à prospérer. C’est dangereux et cela peut rendre les animaux malades.

L’urine s’infiltre dans le sol. Ce qui reste, c’est le mouchoir ou le papier toilette qui a été utilisé pour s’essuyer. Les tas de papier toilette ne sont pas très jolis à voir et, malheureusement, ils ne disparaissent pas si rapidement. Il faut environ un an pour qu’un mouchoir en papier se décompose complètement. Le tableau suivant donne un aperçu de la durée de décomposition de différents déchets.

Comparaison des temps de décomposition: 

1 Année
Mouchoir en papier
7 Années
Mégot de cigarette
500 Années
Bouteille en PET

Remarques 
– Mouchoir en papier: le papier toilette se décompose plus rapidement.
– Peau de banane ou d’orange: entraîne souvent la dissémination de pesticides.
– Mégot de cigarette: dissémination de produits chimiques et de matériaux lourds.
– Bouteille en PET/Plastique: ne se dégrade pratiquement pas, se désintègre en microparticules de plus en plus fines et reste donc dans l’environnement.

Le papier toilette est certes plus adapté que les mouchoirs en papier, mais il reste visible pendant un certain temps, ce qui est particulièrement problématique quand un site est visité par de nombreux randonneurs et que tous laissent leurs papiers par terre.

Protégez les animaux et les milieux naturels. Respectez quelques règles simples quand vous allez aux toilettes dans la nature.

Besoin d’aller aux toilettes dans la nature: comment faire?

Trouvez les toilettes les plus proches:

Évitez d’aller aux toilettes dans la nature. Utilisez les toilettes publiques dans les gares et les stations de bus, dans les restaurants et les refuges de montagne ou dans les centres nature. Des applications comme «The Toilet Map» ou «Bathroom Scout» vous aident à trouver des toilettes à proximité. Le mieux est de vous renseigner à l’avance sur l’emplacement des toilettes sur l’itinéraire prévu.

Faire pipi et caca dans la nature:

1. Préparatifs:

Avec le bon matériel, vous serez bien équipé·e pour aller aux toilettes dans la nature.

Pour faire pipi: 

  • Sachets en plastique refermables
  • Papier toilette ou pee rag
  • Produit désinfectant

Pour la grosse commission: 

  • même principe que ci-dessus
  • petite pelle
  • bidet de voyage pour les longues randonnées
Packen für den Toilettengang

Infobox: Pee rag 
Comme alternative au papier toilette, vous pouvez utiliser un pee rag, en français un «chiffon à pipi». Attention, celui-ci ne convient que pour s’essuyer après avoir fait pipi. Après utilisation, laissez sécher le chiffon au soleil. Lavez le pee rag chez vous dans la machine à laver.

2. Choisir un emplacement:

Pour protéger l’environnement: éloignez-vous d’au moins 70 mètres des ruisseaux, des rives des lacs et des sentiers de randonnée. Respectez toutefois l’interdiction de circuler dans les zones protégées. Lorsque vous allez aux toilettes, évitez de pénétrer dans des milieux naturels sensibles comme les marais.

Pour votre protection personnelle: faites attention aux nids de bourdons, aux fourmilières et aux feuilles d’orties.

Standort wählen

3. Pipi «sauvage»:

Si vous utilisez du papier toilette, emportez le papier usagé dans un sac refermable et jetez-le chez vous. Mais vous pouvez aussi remplacer le papier toilette:

  • Utilisez un pee rag.
  • Utilisez de grandes feuilles douces.
Wildpinkeln

4. Si vous devez faire caca:

  1. Creusez un petit trou d’environ 10 à 15 cm de profondeur. Pour ce faire, utilisez une petite pelle ou bêche pliante. Si vous n’avez pas ces outils sur vous, vous pouvez aussi vous servir d’une branche.
  2. Faites vos besoins dans le trou.
  3. Si vous utilisez du papier toilette pour vous essuyer, emportez-le dans le sac en plastique que vous aurez apporté. Vous pouvez également utiliser un bidet mobile. Vous pourrez ainsi vous laver les mains après avoir fait vos besoins.
  4. Recouvrez le trou avec de la terre, des pierres ou de la neige.
Zum Kacken

Ces conseils simples vous permettront de limiter un peu la pollution de la nature. Nous maintenons néanmoins notre recommandation: il vaut mieux se rendre dans les toilettes les plus proches. Nous avons encore un dernier conseil à vous donner. Si vous partez plusieurs jours et que vous souhaitez compléter votre équipement, nous vous recommandons un bidet de voyage. Vous pourrez l’utiliser pour vous laver après avoir fait vos besoins. Vous pouvez bricoler vous-même votre bidet de voyage en suivant les instructions suivantes:

https://www.pronatura.ch/fr/aller-aux-toilettes-dans-la-nature

 

Parfois on tombe sur des gens avec du bon sens, ça existe encore, mais si, mais si…

En principe, uriner en nature ne représente aucun danger mesurable pour la faune et la flore. Après tout, notre pipi est composé à 95% d’eau. Mais tout est question de quantité, comme le rappelle le professeur Morgane Urly, qui énonce quelques précautions à observer quand l’envie devient insoutenable.

La spécialiste en écologie forestière ajoute qu’en plus de contenir beaucoup d’eau, l’urine est composée d’azote et de nutriments qui peuvent être utilisés par les plantes.

Malheureusement, très peu de recherches ont été réalisées sur les impacts de l’urine humaine, selon elle.

De la drogue

Mais, Morgane Urly fait remarquer que nous relâchons peut-être des pathogènes dans le sol, donc il est probablement bénéfique d’uriner loin des cours d’eau.

Elle cite aussi une étude réalisée lors du festival musical de Glastonbury en Angleterre. Des concentrations de drogues 100 fois plus élevées que la normale y ont été détectées dans le sol.

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/moteur-de-recherche/segments/rattrapage/1913941/est-ce-une-bonne-idee-uriner-en-nature#:~:text=En%20principe%2C%20uriner%20en%20nature,quand%20l’envie%20devient%20insoutenable.

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23 Commentaires

  1. Il faudrait connaitre les noms des égarés qui ont pondu ces lois et également les noms de ceux qui les ont adoptées ou votées. Un bonne publicité ferait que leurs voisins pourraient les féliciter à leur manière.

  2. J’en ai parlé hier dans un com avec Mantalo, eh oui c’est pas de la blague, il y en a déjà qui ont eu des amendes! En tout cas Merci Christine car vu notre âge moyen sur le site, il en est plus d’un que la prostate titille, bon dimanche Christine, même si tu nous emmerde !(dans le sens de l’article bien sûr !)😅😅😅

  3. Va falloir aussi verbaliser les sangliers, chevreuils, ratons laveurs, lapins, renards etc etc bref toutes les bestioles qui font leurs besoins dans la nature… Mon dieu la connerie humaine a-t-elle une limite? Je crois que ces abrutis d’écolos-dingos ont aboli toutes les limites de la connerie. Mais cette connerie risque d’être mise à profit pour rapporter du fric à l’État, au lieu de mettre des flics à la protection des citoyens contre une voyoucratie de plus en plus prospère on aura des brigades « pipi-caca » qui arpenteront la nature et des drones qui surveilleront les randonneurs et promeneurs pour leur filer un PV dès qu’ils auront le malheur de pisser ou chier en pleine nature dans un buisson et ceci au nom de la sauvegarde de Gaïa. Mais virons enfin tous ces dégénérés d’écolos de m**de, ce sont des fous furieux qui ne rêvent que de l’extinction de l’espèce humaine

  4. Freud se pencherait sur le cas des timbrés qui nous ont pondu ce torchon avec le plus grand intérêt. Des malades immobilisés au stade anal, obsédés par « l’hygiène » au point de tenter d’interdire aux gens de pisser quand ils en ont envie.
    Sur nos routes de campagne, quand on a la vessie pleine, ben on s’arrête dans un petit coin ombragé et basta. Les dames ont besoin de ménager leur pudeur et les messieurs, mieux lotis, tournent le dos à la route..
    Pour le reste, vous avez la chiasse, mais patience! Creusez un trou d’abord avec une bêche (terre gelée en hiver?) et ne vous torchez plus.

    • @Leman
      Les dames ont besoin de ménager leur pudeur
      Bin je me souviens quand une dame avait envie de faire pipi, on s’arrêtait sur le bas côté de la route, et on ouvrait la porte avant droite et gauche, et la dame s’accroupissait et faisait son pipi!
      À une époque les femmes portaient des culottes fendues et quand elles avaient envie de faire pipi, elles se mettaient debout dans le caniveau et faisaient pipi.

      • Je vais renchérir, chère amie .
        Quand j étais enfant chez Mamie
        On allait ensemble en chantant
        frere soeur cousin et moi- même
        A l’action joignant un poème,
        Fair’notre pipi dans son champ!
        Je fredonn’ toujours les paroles
        Aujourd hui encor’ j’en rigole :
        On fait pipi sur le gazon
        Pour embêter les coccinelles
        On fait pipi sur le gazon
        Pour embèter les limaçons !
        Bref, un pur bonheur enfantin
        Parmi les plaisirs du jardin

  5. Il y a quelques temps, j’ai lu que des recherches sont menées pour rendre buvable les « liquides » des stations d’épuration… Si vous voyez une logique merci de me le signaler…

  6. On peut faire comme certains routiers, faire pipi dans une bouteille et la balancer dans la nature en roulant.

  7. Permettez-moi de vous dire que, à tous ces pisse-froid, je leur pisse au cul.
    Et ce n’est pas une mauvaise loi de plus qui nous empêchera de vidanger dans les bois. Non mais..!
    Comme ce n’est pas leur interdiction de sortir pendant le covid qui nous a empêché de nous balader dans la nature.
    Il fera comment l’écolo dingo prostatique au milieu des bois???

  8. Uriner dans la nature, la meilleure des « toilettes sèches ». Cela permet d’économiser l’eau d’une chasse d’eau. Cette interdiction est encore une manifestation de la dictature en marche.
    Par contre il y a de vrais enjeux de pollution des rivières quand des manouches rejettent leurs détergents, huiles de vidange dans la rivière et c’est aux sédentaires, aux vrais citoyens qui supportent vraiment les charges de la vie en collectivité que cela coûte une fortune en traitement de l’eau potable.
    https://www.charentelibre.fr/charente/ruelle-un-collectif-lance-une-petition-aux-seguins-contre-des-gens-du-voyage-accuses-d-avoir-pollue-la-touvre-22575730.php
    La police n’entre pas plus aisément dans leurs camps que dans les autres zones de non droit, les cités des dealers.

  9. Je n’aurais jamais imaginé que quelqu’un puisse écrire de telles conneries avec illustrations à l’appui.
    Ils sont cinglés, au secours !!!

    Sacré trouvaille Christine 👍!

    • On est mal, Mantalo, on est mal… Comment avons-nous leur faire si confiance que nous n’avons pas fait attention à ce qu’ils préparaient ? Par confiance aveugle et imbécile en des élus qui n’étaient que mensonge et manipulation