Les portes de l’enfer se sont ouvertes pour l’Allemagne ce 18 mars 2025

A cause d’un ambitieux de seconde zone, qui veut à tout prix devenir chancelier, Friedrich Merz, les portes de l’enfer viennent de s’ouvrir pour l’Allemagne, ce 18 mars 2025. 

La lâcheté est marquée sur le visage de Merz, comme la trahison et son hédonisme attisé par la cupidité = corruption

Ces portes de l’enfer signifient la weimarisation du pays. En effet, les partis vont commencer à se morceler, la gauche va devenir de plus en plus violente contre ceux qui ne pensent pas comme elle, à travers ses groupes antifas, le pays va se précipiter dans la pauvreté. La banqueroute est en marche.

Une démographie en berne, une invasion migratoire avec regroupement familial de plus en plus important et inquiétant, car incompatible avec l’Allemagne. 

Tout cela est passé inaperçu en France. J’ai vu que nos mainstreams, hier, titraient simplement : «L’Allemagne a décidé de supprimer le frein de la dette ». Sans se rendre compte de l’importance de l’événement qui est derrière cette hérésie. Fourvoiement aussitôt salué par la Führerin très corrompue de l’UERSS, qui s’en est bien sûr félicitée. Rappel, la dame est membre de la CDU. Inutile à l’UERSS d’intervenir pour biaiser les élections allemandes, comme en Roumanie. Tout semble marcher comme sur des roulettes de son idéologie mondialiste …  Pour l’instant.

Le cadre politique allemand, à la suite des élections anticipés du 23 février 2025 est le suivant :

Il est important d’abord, pour comprendre, de se souvenir, que depuis 80 ans, l’Allemagne se repose sur les États-Unis pour sa défense, sans plus se poser de questions. Une Amérique qui a évolué après Ronald Reagan, lequel, comme Trump, appelait déjà à rendre sa grandeur à l’Amérique. Reagan aussi avait fait l’objet d’une tentative d’assassinat, seulement 69 jours après son intronisation en tant que 40^ème Président des États-Unis.  Avant Trump il lançait: « Make America Great Again ». Une Amérique que les démocrates depuis les Clinton, ont fait dériver dans une sorte de chancre mou, corrompu, libéral, progressiste, suivi du falot Georges W Bush, dont le sous-secrétaire à la Défense, Paul Wolfowitz, défendait l’idée d’une Amérique hégémonique qui s’autoriserait des guerres préventives aux pays qu’elle estime mettre en danger son hégémonie. 

Paul Wolfowitz à gauche et Dick Cheney

Dick Cheney, le Vice-Président, mettait en pratique cette vue du monde US et Georges W Bush signait. Un film exceptionnel, qui illustre que, pour la première fois de l’histoire des États-Unis, le Vice-Président était plus important que le Président lui-même. « VICE » de Adam Kay avec dans le rôle-titre de Dick Cheney, l’époustouflant, Christian Bayle.

 S’en est suivi Obama, Biden et une Amérique hyper endettée qui se mêlait de tout, à travers son institution supposée avoir été vénérable, l’USAID ! L’Allemagne se laissait bercer tranquillement par ces administrations successives, pensant que c’est ça l’Amérique. Elle devint ainsi la plus grande puissance économique d’Europe et l’une des plus importante du monde, où le « MADE IN GERMANY » signifiait, solidité, qualité extrême, fiabilité, bref, on achetait partout dans le monde le MADE IN GERMANY, les yeux fermés. L’Allemagne et ses produits étaient synonyme de confiance absolue.

En même temps, le pays de Goethe et de Beethoven s’enfonçait petit à petit dans le chancre mou idéologique de son amie, alliée, meilleur partenaire commercial et protectrice, l’Amérique, jusqu’au Tsunami électoral d’un retour du Gargantua Trump en 2025. La classe politique des partis de gouvernement, à l’unisson, soutenait la KamaradeKamala. Sauf bien sûr la AfD. C’est le jour de l’élection Trump, le 5 novembre 2024, que la coalition rouge/verte de Scholz tombe et que de nouvelles élections doivent faire suite. Aucun pays européen n’est aussi lié à l’Amérique et à son « deep-state » que l’Allemagne. La pire des preuves, est l’inertie de Scholz, aux côtés de Biden, qui déclare lors d’une conférence de presse à une journaliste à propos de la source d’énergie bon marché en provenance de Russie, le NordStream, « croyez-moi, nous avons les moyens d’arrêter cela. » Nous connaissons la suite.

20 janvier 2025, Donald Trump est intronisé Président des États-Unis. Son programme, pour lequel le peuple américain l’a élu est connu de tous les gouvernants du monde et de tous ceux qui suivent la politique et la géopolitique. Connu est donc son souci de mettre une fin à cette guerre en Ukraine. Connu est aussi, son souhait de redresser économiquement son pays, de se rapprocher de Vladimir Poutine, qui est le dirigeant du plus grand pays du monde, avec lequel il pourrait faire des affaires très profitables pour les États-Unis et cela dans tous les domaines. Sciences, Culture, Commerce, matières premières. Ce qui est cohérent avec son ambition de redressement de son pays.

De nouveaux députés sont élus au Bundestag, le 23 février 2025. La AfD, si on enlève de la CDU la CSU, son partenaire historique, est devenu le parti majoritaire en Allemagne. Particulièrement en Allemagne de l’Est.

La SPD a fait le plus mauvais score de toute son histoire et les Verts ont un peu chuté. La FDP, jadis faiseur de Rois a disparu, comme le tout jeune BSW de Sarah Wagenknecht qui conteste la sincérité de l’élection qu’elle a manquée à 4000 voix près, pour entrer au nouveau Bundestag. Die Linke (communistes) sont toujours présents dans le spectre politique.

Bref, le parti du « futur » chancelier est loin d’être majoritaire, il lui faut faire coalition pour s’installer sur le trône.

Il pourrait s’y installer facilement, s’il avait du bon sens, ce dont il est absolument dépourvu, en faisant coalition avec la AfD. Ce qu’il refuse obstinément. C’est le fameux pare-feu, chez nous, cordon sanitaire.  En conséquence, depuis son élection, Merz navigue à vue. Intrigue, magouille, s’aplatit devant la gauche composée des perdants SPD et VERTS, renonce à sa promesse de maîtrise de l’immigration en 5 points, ce pourquoi il fut élu par un peuple de l’Ouest en particulier, qui pensait voter pour un parti centre-droit, qui défendrait toujours les valeurs du fondateur, Konrad Adenauer.

La gauche fait la fine bouche. Merz transpire, devient insomniaque. Arrivera-t-il à former une coalition pour gouverner ? Rien n’est moins sûr.L’Allemagne se préparerait à vivre sans gouvernement. Ce à quoi, Merz, qui veut absolument monter sur le trône ne peut se résoudre. Il refuse toujours la AfD comme partenaire de coalition.

Les VERTS auxquels il reste des députés dans le nouveau Bundestag, réclament 50 milliards pour le changement climatique. Merz, l’obsessionnel du pouvoir, leur lâche soudain le double. Offre que personne ne refuserait. Il vient d’acheter les VERTS pour faire coalition. Il renie ce pourquoi il fut élu, trahit ses électeurs pour acheter son ticket qui lui permet de s’asseoir sur le trône. Il renie son programme de 5 points qui promettait de réduire l’immigration et d’expulser les illégaux, ce qui plaît à la SPD, grande perdante des élections, qui rempile donc dans la coalition Merz avec les VERTS. Les VERTS seuls, ne suffisent pas pour gouverner. Rien ne changera. La même politique que sous Scholz se remet en place.

Comment cette infâmie a-t-elle pu se produire ?

Merz, pour se servir et accéder au trône de chancelier, lance l’idée avec le soutien des perdants de gauche, de faire intervenir une dernière fois l’ancien Bundestag, où ces perdants, SPD-VERTS, ont encore la majorité. Il veut lâcher le frein de la dette et faire passer un paquet pharamineux motivé par la terreur Poutine aux portes de Berlin de 1800 milliards €. Il lui faut l’accord des magistrats de la cour constitutionnelle, qui le lui accordent. 

En conséquence, il présente son paquet pharaonique, hier à l’ancien Bundestag, qui vote majoritairement pour. Cela, sans qu’il ait produit un business plan qui désigne les postes pour lesquels cette dette hors sol doit être dépensée. Il chante que c’est pour le climat, la restauration des infrastructures, les jardins d’enfants … Une chose est sûre, il dépensera 500 milliards pour créer une armée digne de ce nom, puisque « nous ne pouvons plus compter sur les Américains et que Poutine va nous envahir, c’est clairement son projet. » Tout cela le jour même, où Trump-Poutine, inaugurent des négociations de paix. Nous le voyons, Merz, comme Merkel sous le Covid, veut diriger en terrorisant le lambda qui ne se tient pas correctement informé. Ce budget est la porte ouverte à la corruption par l’intimidation, la terreur idéologique.

Pourquoi donc les Allemands ne descendent-ils pas massivement dans la rue ? Nous les avons vus manifester contre la droite durant les élections ? 

1/ Les manifestants durant les élections étaient tous et sans exception des fonctionnaires, des ONG de gauche payées par l’Etat pour terroriser le reste des Allemands et leur faire comprendre qu’il est dans l’erreur. Ces manifestants ont toujours tout intérêt à ce qu’il n’y ait pas de changement et plus d’argent pour eux.

2/ Ceux qui devraient en effet descendre indignés dans la rue aujourd’hui, sont des gens qui travaillent, qui s’occupent de leurs enfants et de leur avenir et qui n’ont pas le temps de frapper le pavé. C’est aussi simple que cela. C’est en partie l’Allemagne de l’Ouest qui est impactée par cette terreur rémunérée par l’Etat. Ce qui est totalement illégal. Mais pour l’état de gauche allemand, il n’y a pas de loi. Il n’y a pas d’état de droit. L’état de droit, c’est la défense des minorités. Il reste juste à espérer que la citation du grand écrivain, Friedrich Schiller, se fasse réalité : « Le haut cessera son pouvoir, lorsque le bas s’arrêtera de ramper ».

Cette dette gigantesque sera payée par le contribuable d’aujourd’hui, donc hausse des impôts incessante, les enfants des contribuables et leurs petits-enfants. Pendant ce temps, l’Allemagne dont la démographie est en baisse dangereuse, se videra de ses forces vives, de ses entreprises les plus performantes, pour laisser place à une population de substitution extra européenne d’un autre culte, qui fera disparaitre l’Allemagne traditionnelle dans l’obscurantisme. C’est ce que pense l’auteur à succès, Thilo Sarrazin, ancien Directeur de la Bundesbank de Berlin et ancien membre de la SPD.

La situation est telle qu’un nombre de commentateurs allemands en appelle à l’aide Donald Trump, qui n’en demandait pas autant. Puisque JD Vance avait prévenu clairement l’Allemagne à Munich, au cours de son discours devenu historique : « Il n’y a pas de place pour le pare-feu. La perte de la liberté d’expression est bien plus inquiétante qu’une soi-disant menace en provenance de Russie ou de Chine. J’avertis que l’ostracisation de partis patriotiques, contrevient à la volonté d’un très grand nombre d’électeurs. »

VOILÀ CE À QUOI RESSEMBLE DÉSORMAIS LA CARTE ÉLECTORALE ALLEMANDE

A gauche, la carte qui indique comment les gens ont voté à l’OUEST : Noir CDU avec de minuscules points rouges pour la gauche et le bleu, l’ancienne Allemagne de l’Est, pour la AFD . La carte verte parle d’elle-même. L’Allemagne sera désormais, si Merz arrive à se forcer sur le trône, gouvernée par les VERTS. Merz sera le chancelier Vert, pour que l’Ukraine gagne la guerre contre la Russie et de la rupture avec les États-Unis qu’il ne cesse de critiquer.  Un minuscule espoir reste encore que le traÎtre ne puisse s’asseoir sur le trône est, que le Bundesrat ne confirme pas le Bundestag, devant l’énormité de sa trahison des électeurs.

NOTA BENE : Le Bundesrat est la représentation législative de l’Allemagne.

L’excellent Scott Ritter, qui a toujours l’analyse fine et l’anticipation juste, avait prévu depuis longtemps ce qui allait arriver à l’Allemagne, pour laquelle il préconise une partition, en espérant que l’administration américaine ignore l’Allemagne de l’Ouest, en travaillant avec celle qui garde son bon sens, l’Allemagne de l’Est. Que le lecteur ne me reproche pas de ne pas ajouter le lien. Cette déclaration faisait partie d’une vidéo, dans laquelle, Scott faisait cette déclaration et il me faudrait en regarder un grand nombre pour retrouver la bonne vidéo, ce qui est trop chronophage.

Pour terminer, la sauteuse de trampoline des VERTS, qui déshonorait l’Allemagne à chaque voyage à l’étranger, Annalena Baerbock, va être proposée par cette Allemagne décomposée au poste de Secrétaire Général de l’ONU. Je ne peux imaginer une seconde que l’assemblée votera pour une telle nullité que l’on veut reclasser, afin qu’elle puisse continuer à se payer des maquilleurs, coiffeurs, souliers et vêtements de couturiers au frais des contribuables. C’est comme si la France décomposée proposait un Stéphane Séjournet !

Rien ne va plus en UERSS. Nous n’avons rien. Pas de dirigeants, pas de matières premières et de forces vives, ainsi que des entreprises, qui quittent pour fuir là où l’herbe est plus verte. Les Allemands qui fuient ont deux destinations, la Russie et les États-Unis.

Il ne nous reste qu’à attendre, fébriles, ce que va faire le Bundesrat ce vendredi. Je ne me fais pas grande illusion, vu la toxicité idéologique qui gangrène les institutions allemandes. Mais l’espoir fait vivre. Je ne laisse pas longtemps à Merz, s’il grimpe sur le trône. Les électeurs ont été trompés à un point jamais vu, les partis de gouvernement se désagrègeront comme sous la République de Weimar. L’Allemagne se dirige vers un avenir très sombre, nous en payerons aussi les conséquences. Comment, je n’en sais encore rien, mais nous le payerons.

Sylvia Bourdon, 19 mars 2025

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