Lamia, 12 ans, prostituée par des ados proxénètes… Comment est-ce possible ?

Comment est-ce possible ? Pourquoi est-ce possible ? 

Si je vous dis que l’affaire se passe en Seine Saint-dénis, est-ce que je réponds partiellement aux questions posées ? 

Lamia est une petite fille, même pas une adolescente, elle a 12 ans… Elle était une petite fille qui, depuis que le nouveau compagnon de sa mère s’était installé chez elle, comme cela arrive chaque jour à des centaines de gamines en France, fuguait
Elle fugue, elle zone (mais que fait la mère ? Mais où est la mère ? Et le père, il est où le père, il fait quoi le père ? ).
Et lors de ses fugues, elle  rencontre des gamins de son âge, des ados, un trio guère plus âgé qu’elle… mais suffisamment averti pour qu’ils la prostituent… carrément. Et se payent sur la bête en passant, sans doute.
Etrange, cette histoire de groupes d’ados qui n’ont pas d’hésitation à prostituer une gamine toute seule. Etrange comme cela me rappelle Tommy Robinson et les gangs musulmans qui, pendant 30 ans ont violé, prostitué, maltraité des petites Anglaises…à Telford.
On ne connaît ni le prénom ni l’origine ni la nationalité de Lamia mais je crois deviner, quant à moi, celles de ses agresseurs.

Lamia*, 12 ans, a rencontré le petit groupe d’adolescents qui la prostituait au gré de fugues répétées, en Seine-Saint-Denis, en 2022.

 Au gré de fugues répétées, Lamia*, 12 ans, est tombée entre les mains d’un trio plus âgé qu’elle, qui l’a exploitée sexuellement dans des chambres d’hôtel

C’est l’un de ses « clients » qui comprend son extrême jeunesse et appelle la police. Chapeau à lui, aucun de ceux qui l’ont précédé n’a eu ce courage, cette honnêteté. Que des lâches, des salauds. La lâcheté commence déjà quand on se tait devant la maltraitance dont souffrent les voilées, les femmes enfermées, interdites de sorties de travailler, obligés de se couvrir des pieds à la tête. C’est toujours le même problème qui prend une place et une importance abominable en France.

Et voilà ce bébé, parce qu’à 12 ans on est un bébé, obligé de se prostituer dans tout le département, de se laisser photographier pour que ses « maîtres « puissent vendre son corps, dans des voitures, dans des chambres d’hôtel, 2 ados mineurs et 2 majeurs organisaient l’abominable trafic autour de la pauvre gamine. Et il y a des salauds que ça fait bander et jouir de violer une gosse ! 

Lamia était sous emprise et personne n’a rien vu ? Sa mère ? (son père ????), ses éventuels frères et soeurs, ses copines, ses profs, ses voisins ? C’est juste dingue
Quant aux très jeunes proxénètes… j’aimerais que la peine de mort existe encore et qu’ils soient condamnés. Quand, à 20 ans, on est capable de ça c’est qu’on est foutus pour le genre humain, on n’est que haine, froideur… et on est capable de tout. En sus du sort de la pauvre Lamia (s’en remettra-telle ? A-t-elle des grands-parents, des tantes… capables de la récupérer, de l’aimer, de l’aider ???),   cette sinistre affaire fait peur. Combien de monstres prêts à tout, à prostituer, à poignarder, à décapiter… errent dans nos rues, attendant le première victime sur qui  se défouler de leur haine pour l’Occident et ses valeurs  ?

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12 Commentaires

  1. La prostitution coûte moins cher que le trafic de drogue.
    Les dealeurs se reconvertissent

  2. Pas touche à mon pote ?! Mais qui est ce pote ?

    Sortons nos pancartes et nos étiquettes : « Pas touche aux enfants » ! – « sala.d qui touche à un enfant » ! « criminel qui touche à un enfant » et là on ne parle pas de baffe administrée par un parent !

  3. Et après ça on vient hypocritement nous faire chier avec la journée de la femme…

  4. Faisons revivre pleinement notre langue ; réaproprions-nous notre vocabulaire ; c’est aussi notre combat, qui comme vous le voyez peut nous réarmer, déjà en ce qui concerne la protection des enfants.

    Tiens, justement ! Connaisez-vous ce « SUBSTANTIF » qui réume 3 mots : un substantif et deux adjectifs qualificatifs.
    – « petit enfant mignon ». Étonnant et intéressant non ?!

    Le vocabulaire français se référant au monde de l’enfance et à l’enfant est très riche… on a fait en sorte de nous le faire oublier.

  5. Merci pour avoir traîté le sujet en usant le vocabulaire riche et propre à l’enfance.

    On lira, ci-et là, une jeune fille, voire une jeune femme quand il s’agit, d’une jeune enfant.

    Ignoble stratégie, celle mise en place depuis des années qui consiste à « vieillir » les enfants, surtout les filles, pour préparer les mentalités à la légalisation, la légitimité, à l’acceptation de leur consommation sexuelle, par des dépravés?

    Amis, soyons vigilants sur ce vocabulaire spécifique ; c’est aussi notre guerre pour protéger nos enfants et écarter le « droit des dépravés » que la justice tend à protèger.

    Amis, refusons ce langage pervers ; rendez leur âge aux enfants ; rendez-leur la protection qui leur est due !

    Rééduquons-nous. Notre langue, le Français, est une merveilleuse de lumière ; riche, élégante, fine, qui permet l’expression précise.

    Faisons revivre pleinement notre langue ; réaproprions-nous notre vocabulaire ; c’est aussi notre combat, qui comme vous le voyez peut nous réarmer, déjà en ce qui concerne la protection des enfants.

  6. Pourquoi est-ce possible ? Parce que, comme en Angleterre, des magistrats et des notables sont clients.

  7. Peine de mort? Mille fois oui. Virer tout ce beau monde, afin qu’il ne reste que des fds?

  8. Cette gamine est fichue, foutue.
    Quoi qu’elle devienne, adulte elle aura toujours ce fardeau sur les épaules. C’est horrible.
    Rien à ajouter sur les responsabilités, tout est parfaitement décrit dans l’article. Un entourage à vomir. En France…

  9. Merci, nous sommes le 8 mars… Où sont les vraies féministes ? Sur RR, bien sûr !

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