Zelensky, ses amis djihadistes et sa possible ascendance turque

Il existe un tabou enterré par les médias menteurs au service des bellicistes de l’Eurocrature, qu’il est interdit d’exhumer. Zelensky, le post-nazi grand admirateur du gauleiter Stepan Bandera, et soutenu par les néo-hitlériens de l’armée d’Azov, n’est pas plus Juif que je suis Japonais ! Alors pourquoi s’inventer une judéité factice dans un pays complice de la Shoah, et qui reste encore comme la Pologne intrinsèquement judéophobe ? C’est une longue histoire…

Les Turcs toujours prêts à aider leur frère Zygomyr

Lorsqu’elle a affronté la Russie en février 2022, l’armée ukrainienne ne disposait que d’une centaine d’obusiers à moyenne portée (environ 40 km) de type 2S7 Pion, hérités de l’armée rouge. Ces canons à chenilles ont défendu Kiev avant d’être déployés le long de la ligne de front du Donbass. Début 2023, ils ont commencé à manquer de munitions. L’industrie ukrainienne ne produit pas d’obus de 203 millimètres. Seuls des pays comme la Russie, la Grèce et la Turquie en fabriquaient.

L’armée américaine ayant transféré à l’Ukraine une dizaine de milliers d’obus qu’elle n’utilisait plus, il ne restait pour renouveler le stock que la Grèce réticente à s’engager plus avant dans un conflit qui ne la concerne pas, et la Turquie du dictateur antisémite Erdoğan qui ne demandait pas mieux que de secourir le «petit frère» ukronazi. En envoyant en prime en Ukraine ses affidés et ses mercenaires, pour jeter de l’huile sur le feu.

Avec à leurs côtés, des djihadistes de Syrie, des terroristes de l’émirat du Caucase et même des « volontaires » recrutés en Libye et au Soudan. Certains fugitifs de Daech étaient déjà présents à Kiev depuis 2019, où ils furent accueillis en héros par le Zygomyr fraîchement élu. Entre croyants de l’oumma, on se serre les coudes.

Le djihadisme en Ukraine, perpétuant l’alliance d’Hitler et du grand mufti, serait une « théorie de complotistes » pour les canailles des mainstream. Cette réalité dérange, et seules quelques revues et sites de ré-information osaient l’évoquer. Mais ça pourrait changer. Car à ma connaissance, un épais dossier sur le sujet a été remis à qui de droit dans l’entourage de Trump. Et il n’est pas impossible que ces données soient entrées en compte pour faire du Zygomyr sa tête de Turc.

C’est une longue histoire aussi confuse que le bazar actuel

Au milieu du XVIe siècle, les Cosaques construisirent des forts et armèrent des navires pour contrer les razzias par terre et par mer des Turcs, renforcés des Tatars de Crimée. D’anciens Mongols convertis à l’islam sans trop insister. Puisque la nouvelle religion leur donnait le droit de dépouiller les Slaves orthodoxes et de s’emparer des richesses de leurs monastères. Ce dont ils ne se privèrent pas.

Au XVIIe siècle, des Polonais s’allièrent aux Ottomans afin de participer à la curée, de leur côté au Nord. Fort heureusement, les Russes se décidèrent à mettre fin à ces exactions. Ils tapèrent un peu dur, c’est vrai. Mais a-t-on jamais gagné une guerre contre des barbares qui considèrent comme des faiblesses l’esprit chevaleresque et la charité chrétienne de leurs ennemis ? Encore une chance qu’au XVIII e siècle, il n’y avait pas un Karim Abdul Ahmed Khan avec son tribunal fantoche…

Après divers retournements d’alliances et révolutions de palais, la Grande Catherine, impératrice de toutes les Russies (1729 – 1796) infligea la pire humiliation qui soit pour des mahométans : Être vaincus par une femme. Comme l’avait fait avant elle Isabelle de Castille en 1492, et comme le feront après, les soldates de Tsahal et les guerrières Kurdes de Syrie et d’Irak.

Il fut un temps où il valait mieux masquer son appartenance à l’oumma, et se faire passer pour Juif sur des terres aujourd’hui ukrainiennes.

Les archives de Saint-Pétersbourg évoquent le rôle décisif des Cosaques alliés à la tsarine dans les victoires sur l’Empire ottoman. Durant la guerre russo-turque de 1768-1774, une force mixte mobile composée de Russes et de Cosaques ukrainiens, repoussa le dernier raid des Turcs et des Tatars en janvier 1769. À la suite de quoi, les côtes de la mer Noire et de la mer d’Azov furent progressivement libérées de l’esclavage turc.

Bien évidemment, il y eut des exactions de part et d’autre, avec accumulation de ressentiments, de rancunes, et d’envies de vengeance. Puisque les Turcs émasculaient leurs prisonniers quand ils ne les empalaient pas, on leur réserva le même traitement. Sans favoritisme pour le fils préféré du sultan qui y passa comme ses janissaires. Cela eut pour effet de calmer et de décourager quelques farouches conquérants.

Certains mahométans vaincus, invités à s’en retourner chez eux, ou dans n’importe quelle terre d’islam à leur convenance, trouvèrent une échappatoire pour rester en Ukraine. Déguisés en paysans ou en portefaix sous des hardes miséreuses, loin de leur apparat d’antan, ils se prétendirent dhimmis juifs, ayant de bonnes raisons de détester les Turcs.

Se dire chrétien comme les Morisques ibériques après la Reconquista eût été risqué, à cause des soudards Polonais qui en avaient trop fait baver à leurs voisins. Adopter la religion orthodoxe se heurtait à la suspicion des popes qui exigeaient une pratique religieuse vérifiable chez leurs ouailles. Se dire Juif était plus simple.

Au plan des phénotypes, comme des coutumes, des costumes et des interdits alimentaires, la duperie était facile. Et ces faux Juifs considérés à tort comme des victimes des mahométans pouvaient passer pour des alliés. L’antisémitisme ne se développera que plus tard…

90% de probabilités que Zelensky soit au moins à moitié Turc

Une analyse des marqueurs génétiques ne donnerait pas des conclusions irréfutables. Car les territoires aujourd’hui sous le joug d’Ankara ont été, depuis l’antiquité, des lieux de passage et de conquêtes où de multiples peuples se sont mêlés. Avec un point commun : À la différence des Grecs qui les ont contenus, et des Romains qui les ont vaincus, ces gens privilégiaient le pillage au commerce, la belligérance à la diplomatie, et les destructions à la construction d’une civilisation.

Dans nos contrées de la vieille Europe, subsistent de multiples vestiges de notre glorieuse histoire, monuments, statues, œuvres d’art, peintures, écrits, que les wokes s’acharnent à détruire car leur passé est stérile. Éliminer ce dont ils ne pourront jamais se rapprocher, est la réaction pernicieuse de complexés qui ne reconnaîtront jamais leur médiocrité.

En Turquie, personne ne s’étonne de la pauvreté archéologique de l’Anatolie et de la rareté des artefacts sur le pourtour méditerranéen. Ce serait politiquement très incorrect de faire observer qu’en dehors des ruines néolithiques, les Hittites, les Phrygiens, les Cimmériens, les Lydiens, et tous les peuples indo-européen jusqu’aux Grecs ont mystérieusement disparu, en laissant de bien modestes empreintes après des siècles voire des millénaires de présence.

On ressent l’impression oppressante que jusqu’à l’islamisation du pays, rien de vraiment important ne s’est passé. Même les Romains pourtant grands bâtisseurs, n’ont guère imprimé le décor. À part Byzance fondée en 324 par Constantin, qui demeure l’exception la plus notable. Car pour le reste, les Turcs n’avaient pas attendu les cours de philologie de Sardine Ruisseau pour pratiquer la déconstruction.

L’islamisation forcée par le califat abbasside dès l’an 750, renforçant les mauvais penchants d’une culture ataviquement prédatrice, permet d’aborder ce sujet sensible par la tangente civilisationnelle. En notant que la personnalité trouble du Zygomyr s’inscrit parfaitement dans le descriptif peu flatteur de ces primitifs sans scrupules.

Dépeint par Voltaire comme un imposteur, un scélérat, un voleur et un assassin (il a oublié un pédophile) Mahomet apparaît comme un tyran intrigant, ambitieux, cupide et démoniaque. Un imposteur motivé par la luxure. Ce portait colle tellement bien au Zygomyr qu’on en viendrait presque à se demander s’il ne serait pas lui même un sayyid, un descendant certifié du pédoprophète.

Quelle autre explication donner à l’amour immodéré du Zygomyr par la classe politique française dont la plupart des figures de proue sont stipendiées par des mamamouchis pétroliers ? Et quelles autres motivations dans leur détestation des USA, de la Russie, de l’Inde et de la Chine, qui ont porté des coups très durs aux djihadistes ?

Christian Navis

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Ripostelaique.com

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4 Commentaires

  1. Une tête de crapaud, venu d’ailleurs.
    Il détonne dans les réunions des caucasiens.
    Estampillé : origine indéterminée.

  2. De possibles origines turques pour le sinistre « Zin-zinsky »?! Cela n’aurait rien d’étonnant! Pendant des millénaires, les Turco-Tartares des rives de la Mer Noire ont terrorisés les populations slaves de toute l’Ukraine et d’une grande partie de la Russie! Dés que ces barbares se convertirent en masse à l’islam, ils devinrent les principaux marchands et fournisseurs d’esclaves blanches pour tout le monde immonde musulman!… Nul doute que leurs descendants doivent être passablement nombreux au sein de la population « ukrainienne » d’aujourd’hui…