C’est encore pire que ce que je pensais… Je croyajs qu’on en était restés aux points de deal établis, connus, même les policiers qui gardent bien de les démonter et d’arrêter les délinquants. la plupart du temps… Pourquoi ? Parce que c’est plus tranquille et ça rapporte plus d’aller espionner les automobilistes, des fois qu’ils n’aient pas mis leur ceinture ou qu’ils aient roulé à 98 au lieu de 90… mais surtout par bon sens, les policiers ont compris que ça sert à rien, ilsrisquent des coups et même leur vie et tout ça pour quoi ? Pour que des juges gauchos les relâchant automatiquement ? Il est vrai que la gauche milite pour la dépénalisation… La loi n’a pas été votée mais comme toujours les gauchos fichent la pagaille et font monter la pression pour faire adopter des lois ou des habitudes de vie qui leur conviennent.
Le hasard m’a permis de rencontrer 2 personnes (ne se connaissant pas ) hier dans la même journée. Et à chaque fois le même étonnement, la même révolte.. La première qui a la quarantaine, rentre du boulot un soir vers 19 h. Elle entre avec sa voiture par le portail et là elle voit la portière d’une voiture garée presque devant chez elle qui s’ouvre. Un gars arrive. Elle pense qu’il cherche quelqu’un et lui demande ce qu’il veut. C’estp our la livraison.Réponse de mon amie « pardon ? Je n’ai rien commandé, je n’attends pas de livraison. Le gars insiste : mais si j’ai une livraison à faire… Elle appelle son mari qui est dans la maison « tu as commandé qul-elque chose « ? « Non ».. Elle lui demande de faire sortir le quidam, le mari le raccompagne et lui demande ce qu’il veut absolument leur livrer… Ben, de la came, m’sieur, zêtes sûr que personne chez vous ne nous a appelés ? Après vérification, il y avait juste une erreur de numéro de maison dans la rue…
Et comme parfois il est des choses étranges au point qu’on se croit des pouvoirs magiques, je discute dans un magasin avec un vieux monsieur qui est scandalisé par e qu vient de lui arriver et qui le bouleverse.Il se gare dans une rue à côté de l’épicerie, un garssort de la voiture garée devant lui et vient lui voir et il dit « ‘est pour la livraison » ? Mon vieux monsieur ne comprend rien et luji dit qu’il ne sa fait pas livrer ses courses il les ramène… au bout de 5 minutes il comprend qu’il a été confondu, malgré son âge avancé avec un consommateur de drogue qui venait récupérer sa marchandise… Il est traumatisé : vous vous rendez compte, Madame ? En plein jour ! Et me proposer ça à moi à mon âge !
Quelque peu alarmée, effarée même de cette impudence, de ces lois et des policiers foulés ouvertement aux pieds, je cherche sur le net.. Et je découvre que le phénomène prend une ampleur terrifiante.
C’est l’histoire d’un couple de personnes âgées originaires du Nord, qui en décembre séjournaient chez leur fille à Toulon. Et pas uniquement pour profiter du soleil varois. Les deux retraités, 78 et 75 ans, ont été arrêtés par les policiers qui ont découvert dans leur voiture des paquets de biscuits apéritifs contenant de la résine de cannabis et de la cocaïne. Le couple est soupçonné d’avoir utilisé une application de messagerie en ligne pour livrer à domicile des stupéfiants conservés chez leur fille. L’enquête dira s’il s’agissait là d’une simple petite affaire familiale. Mais la tendance est là, incontestable : ce mode de vente est en plein développement dans le domaine des stupéfiants. « Se faire livrer de la drogue à domicile n’a jamais été aussi simple à Marseille », titrait le 23 décembre le quotidien La Provence en constatant que la livraison « de produits stupéfiants via des applications comme Telegram ou Snapchat n’a jamais été aussi accessible et décomplexée ». Un phénomène qui s’étend sur tout le territoireLe phénomène ne touche pas que les grandes villes. « La livraison de drogues à domicile continue de s’étendre à de nouveaux territoires, des villes secondaires, voire de petites agglomérations, comme en Picardie ou dans la Meuse », note l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives (OFDT) dans une étude rendue publique mardi 14 janvier. « Le Covid a un peu révolutionné les modes de distribution. À l’époque du confinement, il était plus compliqué de se déplacer, ce qui a entraîné l’essor de ces livraisons. Mais ensuite, cela a perduré car cela répond aussi à une évolution plus générale des modes de consommation. Aujourd’hui, on achète de plus en plus au téléphone ou via les réseaux sociaux avec le souhait d’être livré chez soi », indique Marie Jauffret-Roustide, sociologue à l’Inserm et membre du conseil scientifique de l’Agence de l’Union européenne sur les drogues. À lire aussiTrafic de drogue : au tribunal de Marseille, la difficile responsabilisation des usagers Les enquêtes régionales de l’OFDT permettent de mesurer l’organisation très structurée de cette activité. Dans certains réseaux, les commandes téléphoniques sont gérées par des « standardistes » qui, ensuite, les répartissent entre les différents livreurs d’origines variées. « Le profil des livreurs continue à se diversifier. D’abord, au niveau du genre : si les hommes occupent majoritairement l’activité de vente sur les points de deal, les femmes sont recrutées par les réseaux de trafic notamment pour la livraison. Ensuite au niveau du statut socio-économique : des étudiants ou des jeunes occupant un emploi légal peuvent s’adonner de manière plus ou moins occasionnelle à la livraison de produits stupéfiants », note une étude de l’OFDT conduite à Toulouse, Montpellier et Perpignan en 2023. Un assistant virtuelCertains réseaux proposent même de passer leurs commandes via un programme informatique automatisé qui se présente sous la forme d’un assistant virtuel (bot). « Le bot permet de rationaliser le processus d’achat pour les vendeurs. Le client passe commande sur le bot. Il reçoit ensuite un message privé pour confirmer la commande. On lui indique le délai, l’adresse, la voiture dans laquelle venir la récupérer et on lui demande un signe distinctif pour être facilement reconnu par le livreur. Le bot propose également un suivi de sa commande, tel un colis envoyé par la poste », indique l’OFDT. La livraison ne se fait pas toujours au domicile du consommateur, celui-ci pouvant indiquer le lieu où il souhaite réceptionner la marchandise. Et peu importe la distance. À Marseille, certains réseaux acceptent ainsi des livraisons sur l’ensemble des Bouches-du-Rhône. « Les trafiquants savent que, dans un contexte très concurrentiel, il faut s’adapter aux demandes des consommateurs, dont certains ne veulent pas se déplacer physiquement sur des points de deal, car ils trouvent cela trop dangereux. La livraison permet aussi de toucher de nouveaux consommateurs », souligne Marie Jauffret-Roustide. Des offres commercialesC’est en suivant cette logique que les réseaux utilisent des techniques de marketing soigneusement étudiées. À Toulouse, des revendeurs envoient des SMS réguliers pour relancer des consommateurs par le biais de « fichiers clients ». Sur un compte Telegram, les usagers peuvent aussi laisser un avis sur le produit reçu, comme ils le feraient pour un restaurant. Pour fidéliser la clientèle, certains réseaux proposent des délais de livraison toujours plus courts, moins de trente minutes dans Paris intra-muros par exemple. À Bordeaux, des trafiquants développent des incitations au parrainage (« Pour cinq clients ramenés, 1 gramme de cocaïne offert ») ou même des jeux. Une chasse au trésor a même été organisée dans la ville, selon l’OFDT, pour « trouver de l’herbe, des joints pré-roulés ou un grinder (1) »… À Rennes, certains vendeurs offrent des cadeaux (feuilles slim, briquets, jeux à gratter…) ou proposent des cartes de fidélité aux bons clients. Dans certaines villes, des stupéfiants sont aussi livrés en même temps que des repas commandés via des plateformes. En visite à Marseille début décembre, le ministre de la justice Gérald Darmanin a déclaré vouloir mener « un très gros travail sur ce qu’on appelle les “Uber shit” » en instaurant « un contrôle systématique des livraisons de repas à domicile ». Sans vraiment préciser comment il compte concrètement s’y prendre, la tâche apparaissant titanesque au vu du nombre de commandes alimentaires passées au quotidien, à Marseille ou ailleurs. (1) Objet permettant de broyer l’herbe de cannabis.
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On dit merci qui ? Les députés et les sénateurs qui votent des lois de dhimmis. Et les gens de gauche qui votent pour des députés et sénateurs « de gauche » et empêchent ainsi les lois qui pourraient dissuader es petites frappes qui font de nos jeunes des zombis et de notre pays une terre du tiers-monde.
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Il va bien falloir par arrêter de tourner autour du pot !
Tout ce qui touche au trafic de drogues = peine de mort appliquée directement et immédiatement par les forces de l’ordre porteuse d’une carte blanche.
ERADICATION.
Déclaration de la guerre totale envers tous ceux qui participent, quels qu’ils soient. Le premier qui relève la tête pour prendre fait et cause est traité comme tel.
Pas un ne doit en réchapper.
Et à l’assemblée c’est carrément la camionnette 2 fois par jour. Avec loulou la came en charge de la distribution.
Mais bon sang, pourquoi ils n’utilisent pas la Poste qui cherche du boulot et du chiffre d’affaires !
Qu’il est con, ce pauvre Palmade, il aurait commandé bouffe et schnouf et livré à domicile, il aurait évité un drame et ne serait pas en taule en ce moment. Les livreurs, au service de la sécurité de tous. À prendre au second degré. Et j’ajoute : à condition que les livreurs n’aient pas consommé eux-aussi.
Un grand merci aux Français qui ont voté Sarkozy, Hollande, Macron.
Ahmed, livreur.
Les dealers livrent leur came à domicile en toute impunité parce qu’il y a pas mal d’élus qui se droguent. Alors pour éviter des remous on laisse faire ….
C’est sûr que si on commande une pizza et qu’on reçoit de la came en échange à cause d’une erreur de numéro, ça fait désordre. Ils n’ont pas encore pensé à livrer des pizzas assaisonnées aux petites herbes qui ne proviennent pas de chez Ducros. Ça viendra à moins que ce ne soit déjà fait.
Rotailleau taillo taillo est comme les autres sinistres avant lui, que de la gueule. La pourriture s’installe et nos sinistres ne voient rien, n’entendent rien et bien sur ne font rien. Je me suis toujours demandé à quoi ils pouvaient servir tous ces sinistres incapable, à part augmenter les taxes et les impôts et emmerder les français par des décret et des 49,3 de plus en plus cons et de plus en plus nombreux. Et il y a encore des cons pour voter à gauche. Les français sont vraiment des veaux.
serait ce pour ça qu’on a jamais vu Dechavanne sur un point de deal ????????
Bientôt livrés par Uber comme les faignasses qui se font apporter à domicile ou au bureau leurs repas ?
J’espère que ces livreurs ont bien repéré les lieux, les codes, etc… pour revenir en dehors des livraisons si vous voyez ce que je veux dire.
C’est l’intéressement du livreur, ça.
Le double effet kiss Kool, des repas dégueulasses, suivis ultérieurement d’un massage maison pour faire avouer aux convives le code de la carte bleue et l’emplacement où sont cachés l’argent liquide et les bijoux de madame.
On trouve vraiment de tout sur Amazon! Et dire que l’on ne pourra bientôt plus acheter de l’aspirine…