Pas sûr que l’on resterait abstinent avec l’un(e) des deux (ou les deux) dans son lit… 😉
Dans la conception multimillénaire du mariage, l’union conjugale était « copula carnis », l’union des chairs, les deux époux se donnant corporellement l’un à l’autre.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Devoir_conjugal_en_droit_fran%C3%A7ais
L’union des chairs permet la procréation, finalité du mariage dans une tradition canonique.
Elle implique la prohibition de l’adultère, qui sème le doute sur la paternité de l’enfant. La monogamie, l’exogamie, l’hétérosexualité étaient les composantes traditionnelles du mariage.
Ces repères volent en éclat, pour le meilleur et pour le pire.
La dernière évolution en date concerne le devoir conjugal. La CEDH admet le 23 janvier dernier qu’il n’y a pas de faute pour une épouse à refuser toute relation sexuelle avec son mari.
https://www.lepoint.fr/societe/le-devoir-conjugal-c-est-fini-dit-la-cedh-27-01-2025-2580848_23.php
On a connu une jurisprudence française qui a poussé très loin l’idée de fidélité, allant jusqu’à reconnaître l’adultère intellectuel, dans le fait d’entretenir une relation d’amitié si forte avec une personne du sexe opposé que l’épouse pouvait légitimement se sentir bafouée d’être exclue du « binôme » quasi-amoureux formé par le mari et la meilleure amie de ce dernier. En jurisprudence, cela a été assimilé à un adultère véritable permettant d’obtenir un divorce pour faute.
Avec la CEDH, cela se complique encore car un des époux pourrait ainsi contraindre l’autre à l’abstinence. Pris en étau entre le refus de son conjoint d’avoir du sexe ensemble et l’interdiction légale qui demeure d’aller voir ailleurs, l’époux frustré n’a plus qu’à se résoudre à la frustration.
En réalité, il existe une échappatoire car elle est loin l’époque où pour divorcer, il fallait simuler une faute même quand on était d’accord pour se séparer juridiquement. L’hypocrisie avait été poussée jusqu’à rédiger des lettres d’insultes afin de convaincre le juge de prononcer le divorce, quand le Code civil subordonnait le divorce à une faute. L’indissolubilité du lien conjugal avait même été proclamée pendant les périodes les plus réactionnaires (encore au XIXème siècle).
Si le conjoint qui ne veut plus de relations sexuelles refuse malgré tout le divorce, alors qu’il ou elle ne veut plus faire l’amour avec son conjoint (cette jurisprudence concerne aussi le mari qui refuse de coucher avec sa femme, ainsi que les couples de même sexe), il devrait être possible au conjoint bafoué ou à tout le moins délaissé d’obtenir le divorce pour « altération du lien conjugal ».
La différence tient au fait que dans ce dernier cas, en l’absence de faute (selon la CEDH), le conjoint autrefois fautif au regard du « devoir conjugal » n’a pas à indemniser son ex époux.
Pourtant, on imagine que le conjoint laissé à sa frustration a subi un préjudice moral car le refus de son époux d’avoir des relations sexuelles avec lui le dévalorise, le met dans la situation délicate d’aller voir ailleurs pour satisfaire ses besoins sexuels alors qu’il lui est interdit de commettre l’adultère. La situation peut même relever du ridicule quand l’un des conjoints se refuse à l’autre alors que les deux époux sont fraîchement mariés… Le mariage devient alors un piège, solliciter le divorce si rapidement après s’être marié va susciter l’interrogation de l’entourage, qui voudra savoir, voudra comprendre, là où l’usure du désir dans un vieux couple sera mieux compris.
Se marier puis se refuser très rapidement à tout « commerce charnel » ne serait donc pas une faute ?
Le désamour physique peut être vécu comme un désamour tout court et générer le sentiment d’avoir été trompé : mariage blanc pour obtenir des papiers, mariage intéressé pour obtenir une pension compensatoire (alimentaire) lors du divorce…
La liberté de disposer de son corps a certes une valeur certaine, comme l’exprime la CEDH et il est bien possible que l’affaire Pélicot ait joué un rôle dans cette jurisprudence en accordant une plus grande considération au consentement de l’épouse qui n’est certes pas l’objet de son mari (l’influence de l’affaire Pélicot ne pouvant être que très indirecte puisque Gisèle Pélicot a subi des viols sans en avoir la moindre conscience et ne se refusait pas à son mari, mais lors de cette affaire il a été beaucoup question de l’idée, réaffirmée, que la femme n’est pas la chose de son mari, ce qui permet d’incriminer le viol entre époux notamment).
Peut-on pour autant aller jusqu’à considérer qu’il n’y a jamais de faute dans le fait de refuser durablement des rapports physiques à son conjoint ? Il me semble que la faute pourrait être admise au moins dans le cas où les époux sont fraîchement mariés et à moins qu’il y ait à cela des raisons médicales. Il y a une forme de tromperie à frustrer immédiatement son nouveau conjoint de la sorte.
Cette jurisprudence illustre une CEDH (cour européenne des droits de l’Homme) qui fait bouger les lignes en matière sociétale, fait avancer les droits de l’Homme parfois dans le bon sens.
Le devoir conjugal a perdu de son actualité. Le mariage aussi peut-être.
La fidélité, longtemps nécessaire pour qu’il n’y ait pas de doute sur la paternité des enfants, devient moins prégnante dès lors que les tests ADN permettent d’établir la filiation. La fidélité est vécue parfois comme un carcan sur la longue durée. L’infidélité physique demeure cependant en général vécue comme une rupture de confiance d’une portée plus générale. Elle justifie bien des divorces pour faute, ces divorces où l’un des conjoints saisit la justice pour divorcer, là où désormais beaucoup de cas se règlent devant notaire par un divorce par consentement mutuel avec un accord sur les conséquences du divorce (convention de divorce réglant les intérêts patrimoniaux et extra-patrimoniaux des ex-époux).
Le mariage du XXIème siècle est de moins en moins orienté vers la procréation. Il existe autant sinon plus de couples en concubinage ou PACS ayant ensemble des enfants, et des couples mariés sans enfant ni intention d’en avoir.
Il était sans doute inéluctable que le devoir conjugal finisse par disparaître. Mais à force de retrancher au mariage, de dépecer le mariage, que va-t-il en rester, sachant qu’aux yeux de la loi, il n’est pas nécessaire de s’aimer pour se marier ?
C’est pourtant devenu me semble-t-il le seul noyau dur du mariage : l’amour. Puisque tous les couples ou presque peuvent désormais se marier (si on met de côté les couples incestueux, encore que là encore l’idéologie des droits de l’Homme finira par gagner du terrain) et qu’il n’est pas nécessaire d’avoir pour projet de fonder une famille en se mariant, seule la forte relation entre deux individus censés s’apprécier mutuellement et se sentir bien ensemble devient le fondement du mariage.
Le partage d’intérêts patrimoniaux communs doit être le second pilier du mariage XXIème siècle qui implique normalement de vivre ensemble, au regard de la loi, et de contribuer aux « charges du ménage » autrement dit d’apporter ses revenus et son industrie, dans une proportion variable selon le régime matrimonial choisi, au train de vie du couple.
Quand il n’y a pas de désir physique et que cela apparaît rapidement après le mariage ; que l’époux abandonné physiquement et sexuellement se sent ainsi mal aimé et très vite mal dans ce couple dans lequel il a cru ; il ne reste plus que l’intérêt financier de l’autre au mariage. Mais pour la jurisprudence de la CEDH qui s’impose aux juges nationaux, le conjoint qui ne veut plus que l’autre le touche n’aurait même dans ce cas rien à se reprocher.
Que ce soit conforme au droit de disposer de son corps est indubitable. Sauf cas d’une faute de l’époux abandonné dans son comportement vis-à-vis de l’autre, sauf excuse médicale, cela pourrait tout de même traduire une trahison qu’on ne peut gommer tout à fait et des intentions peu conjugales qu’une jurisprudence pourrait très bien assimiler à une forme d’infidélité, puisque l’infidélité dans le mariage peut être intellectuelle.
Faut-il croire que la CEDH estime que cette infidélité dans les intentions de se marier n’est pas fautive et contribuera à dissoudre encore davantage la notion de mariage ?
On en pense ce qu’on en veut ! Mais il me semble que constitue un fait de civilisation notable cette dissolution progressive du mariage qui, autrefois ciment de la famille et donc de la Nation, va peu à peu être ravalé au rang d’antiquité.
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alors il n’a qu’a la foutre dehors.
La CEDH inspiré par les néo-féministes semble s’être donné pour mission la destruction de la société. Elle en abat un à un les piliers.
Le mariage a été conçu pour protéger les femmes et les enfants. Ce sont eux qui paient le plus cher la solitude. Les féministes ont bien travaillé. Ces crétines malfaisantes n’ont rien à proposer en remplacement.
Qui ne connaît pas cette rengaine?
Pas ce soir chéri j’ai mal à la tête!
Tu te maries pas t’es pas emmerdé ! Un ami philosophe de comptoir disait » si tu veux emmerder un mec qui vit tranquille sans problèmes tu lui refiles une femme ou une bagnole neuve et tôt ou tard il aura des emmerdes ‘ A la question « pourquoi une bagnole neuve ? » il répondait » parce que il l’achète neuve pour éviter les emmerdes et il en aura quand même peut-être même plus «
Imaginez que l’homme se plaigne que sa femme se refuse à lui et que sa femme dément. Ils envoient un détective ou un huissier pour constater si les draps sentent le « Q » ou non?
Il faut interdire aux femmes de travailler.
Le devoir conjugal mais quelle horreur ce terme : c’est un tue l’amour. Cela au départ ne concernait que la population féminine littéralement étouffée par le code du mariage au profit exclusif des hommes. De là à ce que la CEDH se mêle des histoires de culs entre époux il y a une marge.
C’est presque certainement une idée des néo-féministes – castratrices et peu portées sur la chose – et qui veulent donner tous les avantages aux femmes, aux dépens des hommes, par nature plus demandeurs qui est à l’origine de cette décision insensée qui ôte bien sûr beaucoup d’intérêt au mariage, c’est quasiment son coup de grâce. Il est je crois plutôt exceptionnel que ce soit l’homme qui se refuse.
Mais les femmes ont beaucoup à perdre. Il est à prévoir que beaucoup d’hommes vont refuser dorénavant de se marier. Les croqueuses de diamants, veuves noires et autres personnes intéressées vont en être pour leurs frais.
Une solution :PRENEZ UN CHEVRE Au moins elle ne pourra pas saisir la CEDH
C’est la SPA qui s’en mêlera, oui s’en mêêêêêêelera.
En regardant le cliché qui illustre l’article, et constatant la plastique de la dame, je comprends la frustration du monsieur. Ce doit être une torture. La nuit a dû être longue. Moralité, il aurait épousé Garrido, l’abstinence lui aurait paru moins cruelle, peut-être même agréable. Dans le cas présent, il vaut mieux avoir une roue de secours. Je plaisante, bien sûr.
Merci Argo,c’est si bon de rire!
Cela a toujours existé ainsi, mais à partir du moment ou l’on nomme le désir « amour », c’est sur que certains problèmes vont surgir plus ou moins lentement, mais assez vite dans énormément de cas. Presque un mariage sur deux se clôt par un divorce.46% parait il… Quand on aime vraiment une personne, on cherche la cohésion, l’entente, le dialogue. On suscite et exprime du respect, de la considération de l’affection, de l’attachement. N’épouse pas l’homme où la femme que tu aimes, mais aimes la femme où l’homme que tu épouses dit Camille Rochet dans un livre. https://www.letemps.ch/societe/egalite/desir-lepreuve-temps?srsltid=AfmBOoqKKQDxIdBumVN_nqUb70AZsggFFUn9ZADRhqPJyfO6QcD-ecB0
Quelques citations sur le mariage : Le célibat on s’ennuie, le mariage on a des ennuis. (Sacha Guitry). Le mariage est la cause principale de divorce. (Oscar Wilde). Le mariage est une cérémonie où un anneau est passé au doigt de l’épouse et un autre au nez de l’époux. (Herbert Spencer).
Les chaînes du mariage sont si lourdes qu’il faut être deux pour les porter. Quelquefois trois. (Alexandre Dumas)
Le mariage est une reconnaissance sociale. L’amour n’a rien à y voir.
Sinon …. J’aime mon chien. Mariez moi !
A quoi bon se marier encore? Cela devient une prise de tête pour un oui, pour un non. Tant de gens se mettent en couple, se marient, puis se déchirent souvent violemment, ce qui nuit aux enfants grandissant dans un climat de violence psychique ou même physique. En tout cas cette jurisprudence décourage au mariage, où l’un des partenaires pour se venger d’une dispute peut faire la grève du sexe sans limites… A quoi cela sert-il encore de se marier pour en arriver à cela…
A quoi bon se marier : c’est ce que j’ai écrit et j’ai posé la question : qu’en est-il pour les hommes ? Peuvent-ils eux aussi délaisser sexuellement leurs épouses ? J’ai fait aussi allusion à un jugement qui m’avait stupéfiée à l’époque : au lieu de divorcer, une femme avait porté plainte contre son mari qui ne voulait plus avoir de rapports sexuels avec elle et, incroyable, il avait été condamné assez lourdement, financièrement, par le tribunal. Il me semble que c’était le tribunal de Montpellier. C’est complètement ahurissant et ce n’est pas un fake. La justice commençait déjà à dérailler sérieusement.
Quand les relations sexuelles au sein d’un couple marié deviennent des contraintes telles que le désir en est coupé, créant un blocage, il vaut mieux ne pas en avoir. Donc la justice ne devrait pas statuer sur le devoir conjugal, qui est vu comme une contrainte d’obligation. Comme les relations sexuelles sont à la base un échange, une communication physique, il est important pour les couples mariés pour ne pas affaiblir le désir, d’avoir toujours une bonne communication affectueuse, amoureuse, tolérante, compréhensive, de bienveillance, cela entretiendra toujours le désir pour l’autre.
Quelle nouille, il suffisait qu’elle demande aux copains du mari, je suis sûr qu’elle aurait trouvé mais en fait, elle a préféré avoir l’argent puis un copain du mari 😉 en se vengeant du mari. La vraie question dont on n’aura pas la réponse et qui, sans doute aurait fait pencher la balance de l’autre côté, c’est pourquoi le mari ne voulait plus ; peut-être tout simplement qu’il ne voulait pas la contaminer suite à un rapport extérieur inavoué et il a préféré payer que d’avouer la faute qui aurait peut-être alourdi la sanction.
Dans ce cas, la CEDH devrait également reconnaitre que l’adultère est une thérapie autant physique que mentale. C’est de la prévention contre les viols et agressions sexuelles.
La CEDH fait une confusion, parfaitement imbécile (et non fortuite) entre « toujours refuser » et « ne jamais souhaiter ».
Ce qui est reproché est de ne jamais souhaiter, car c’est une condition de l’existence du mariage. Si on ne propose jamais de relations intimes, on n’est pas marié.
En somme, une femme se refuse à son mari, celui-ci frustré, va voir ailleurs. La femme alors demande un divorce pour faute alors que la faute initiale lui incombe et obtient une prestation compensatoire au minimum. On sait alors très bien pourquoi elle s’était mariée et comment on appelle généralement ce genre de professionnelle que, finalement, risque d’aller fréquenter le mari ; sauf que dans une relation tarifée, le prix est fixe et sans surprise (excepté une MST) alors qu’à la suite d’un mariage intéressé, c’est une rente. Il serait nécessaire, qu’après un divorce, il y ait une sorte de casier judiciaire de divorce où seraient mentionnés les causes et les conséquences du divorce pour éviter les récidives, le futur époux saurait à quoi s’en tenir sur l’affaire « amoureuse » en cours. On en connait des croqueuses de diamants, veuves à répétition.
Cher Monsieur
Sachez pour votre information que le divorce pour faute n’existe plus depuis plus depuis plusieurs années…
Pour contrer une croqueuse de diamant, pour reprendre vos mots, un contrat de mariage sera impératif.
Pour contrer, oui, mais elles n’annoncent jamais la couleur. Quant au divorce pour faute, même s’il n’existe plus, il y a encore des constats d’adultère pour prouver que le divorce demandé par le mari l’est pour une autre raison que les fautes de l’épouse qui ressort blanche comme neige mais néanmoins vicieuse.
Le divorce pour faute existe encore. Mais ce n’est plus le seul.
Alors ma sœur a été conseillée par un baltringue d’avocat…
Une bonne raison pour aller voir ailleurs si l’herbe est plus fraîche. En cas de refus, la partenaire doit fournir un certificat de maladie dûment signé par le médecin traitant. Je plaisante, bien sûr.
En France, les femmes font ce qu’elles veulent de leurs culs, on est pas en terre d’islam!
Dans les conditions du mariage il y a de proposer parfois à l’autre des relations intimes. Sinon … ce n’est pas un mariage. Donc : non. On ne fait pas ce qu’on veut quand on est marié. On a parfois envie de sa moitié, y compris dans la chair. Sinon … il n’y a pas ou plus de mariage. Ou on ne se marie pas.
Ceci affaiblit encore la famille, les couples, le désir d’enfant, la natalité donc la France. Il faut sortir de la CEDH. Vite.
La meilleure solution est de supprimer le mariage comme cela on ne nous cassera plus les c…s pour des conneries du même genre! Les gens peuvent très bien vivre ensemble sans avoir de compte à rendre à la société! On en vient à vouloir légaliser l’amour! Les maris éconduit ne sont pas pour autant obligés d’aller voir ailleurs pour assouvir leurs pulsions ! Pour une somme raisonnable il peuvent acquérir une poupée plus vraie que nature et fabriquée à leur goût! Je suis au courant car l’usine du fabricant est dans mon coin, Alors qui veut commander ? 😅😅😅
Le mariage n’est pas l’amour. C’est uniquement un acte social, qui articule une alliance homme – femme dans une succession de générations. Une question de lignée, en somme. Car la génétique est importante. (Le mariage homosexuel … je ne sais pas ce que c’est : cela nie chacun des termes du mariage).
Voulez vous vraiment le supprimer ? Et connaître les lignées seulement par des tests ADN ? Un peu transhumaniste, non ?
Ne pas pouvoir accepter un rapport sexuel à cause de fatigue ou maladie, c’est tout à fait normal pour l’un comme pour l’autre. Mais SE refuser à son mari sans bonne raison, lui doit pouvoir demander le divorce et aussi des dommages et intérêts pour tromperie !
« Ne pas pouvoir accepter un rapport sexuel à cause de fatigue ou maladie, c’est tout à fait normal pour l’un comme pour l’autre. »
Même si on a pas envie momentanément.
« des dommages et intérêts pour tromperie »
Là vous allez loin !
Le mariage n’est plus qu’un symbole. Mais un divorce coûte cher (au moins 3000 euros si logement acheté ensemble).
Le sujet n’est pas « se refuser » mais « ne jamais proposer ».
Il peut y avoir de bonnes raisons comme l’état de santé ne permettant pas ou déconseillant les relations sexuelles du moins momentanément.
Mais sinon, c’est encore une décision qui ne ressemble à rien. Pourquoi se marier dans ces conditions ? Rester amis est suffisant.
Et au fait, quid des hommes ? Sont-ils obligés, eux, de se taper un boudin qui se laisse aller ? J’ai ouï dire qu’il y a à peu près une vingtaine d’années, peut-être un peu moins, un homme avait été puni d’une forte amende pour refus de relations sexuelles avec sa femme par le tribunal de Montpellier je crois. Inutile de demander la composition de ceux qui y siégeaient ! Dans un tel cas, la seule solution intelligente me paraît être le divorce ! Mais trop de tarés néoféministes, lgbt, wokes, etc sont aux commandes actuellement pour que tout garde un sens qui soit le bon.
En attendant cette pourriture de CEDH sème le bordel et le trouble dans les couples ,comme si il n’y avait déjà pas assez de soucis en temps normal . Tout fout le camp , le délitement et la destruction de la société et de la famille est en marche forcée contre l’unité de la famille et de la Nation par les mondialistes wokistes satanistes! Et le peuple ne réagit toujours pas!