Les jours de Zelensky sont comptés

Les indices que les jours de Zelensky sont comptés s’accumulent

Il m’a semblé intéressant de présenter l’analyse ci-dessous, dont les propos ne seront jamais relayés auprès de nos pressetituées, dont la hardiesse à nous désinformer, à nous mentir, dépasse désormais le mur du son.

C’est sur RT Allemagne que j’ai débusqué ce petit chef d’œuvre, qui annonce la prochaine disparition du clown de Kiev. La presse Britannique elle, semble se délecter à cette perspective, puisque cela devrait être « l’œuvre de son armée ».

 

Analyse du 24 novembre 2024 de Vladimir Kornilov traduit du russe en allemand et que je traduis en français.

Le ton quelque peu ironique n’échappera à personne. Il n’échappera pas non plus aux lecteurs qu’à Kiev se trouve une équipe de bras cassés qui ne savent plus où ils habitent. La bêtise sans fonds des membres de ce gouvernement d’hurluberlus est dévoilée. Pas étonnant que BOJO avec l’aval de Washington n’ait rencontré aucune difficulté à les convaincre de ne pas signer d’accord de paix en 2022. Allez que ch’ t’embrouille, les milliards de $ en compensation.  C’est avec çà qu’un Président de la qualité mondiale du Président Poutine doit s’arranger. Aussi bien sur le terrain de combat, que sur celui de la diplomatie. La patience du chef du Kremlin est exemplaire. Certainement qu’un entourage plus radical doit bouillir à observer ces tocards aux manettes de Kiev. Ces idiots, je le précise, auxquels se sont associés d’autres du genre, comme Hollande et Merkel. Nos deux pays se sont déshonorés à tout jamais. Macron termine le travail de sape.  Entendez-vous encore l’autre cinglé de BHL traiter le clown de « Churchill » ? En conclusion à cet article très intéressant, il ressort que ce sont deux pays qui se tirent dans les pattes par propagande interposée, aux intérêts différents, l’Allemagne et la Grande Bretagne. Qu’à la fin, le Zelensky risque d’avoir la même fin qu’un Ceauscescu, de la main de Zaloujni. Suite au prochain épisode. Nous vivons une époque passionnante, mais dangereuse, conduite par la bêtise des hommes. Et la France dans tout ça ? Disparue de l’horizon.

L’armée britannique prépare le remplacement de Zelensky

 Le « leader de la nation » et « père du peuple » rendait visite à ses fidèles manants et les exhortait à une bataille décisive. Il a aussi exhorté ses fidèles soldats à ne pas avoir peur de la mort.

La presse britannique a rapporté à peu près cela de la visite apparemment routinière de l’ambassadeur ukrainien à Londres, le général Valeri Zaloujni sur un terrain d’entraînement dans l’est de l’Angleterre. Si le premier ministre britannique s’y était rendu, cela n’aurait pas fait autant de bruit. Mais Zaloujni était accompagné de journalistes des principaux journaux du pays, ce qui a conduit à une série de rapports d’un ton soumis.

Dans certains articles, les auteurs se sont même emmêlé les pinceaux, en révélant que la « bataille décisive » à laquelle les soldats ukrainiens se préparent en Angleterre orientale ne sera pas menée contre la Russie, quand le chef illégitime du régime de Kiev, Vladimir Zelensky, l’avait déjà confirmé dans la même presse britannique.

Pour mémoire, Zelensky avait démis Zaloujni de son poste de commandant en chef des forces armées ukrainiennes en février dernier, et peu après, le général avait quitté complètement son service militaire « pour des raisons de santé ». Il semble que les Britanniques aient forcé le dirigeant de Kiev à envoyer à Londres le commandant en chef déchu, alors qu’il n’est pas du tout formé pour le service diplomatique.

Depuis l’été, la presse britannique a commencé à construire activement le narratif selon lequel Zaloujni serait plus compétent que Zelensky si des élections avaient lieu en Ukraine aujourd’hui. Les analystes politiques ukrainiens savent depuis longtemps que le changement de pouvoir à Kiev ne peut se faire qu’avec violence.

Les rumeurs selon lesquelles l’Occident mise sur Zaloujni se sont intensifiées lorsqu’il est apparu en public le 11 septembre à Kiev, accompagné des diplomates en chef américains et britanniques. La presse occidentale a immédiatement commencé à répandre le message selon lequel « l’attachement de Zelensky au pouvoir est mauvais pour l’Ukraine ».

Et maintenant, voilà que le général de l’armée, accompagné du vice-ministre de la défense britannique et d’un certain nombre de journalistes de premier plan, apparaît sur un « terrain d’entraînement secret » (c’est ce qu’ont rapporté les médias britanniques, bien que l’Ukrainien lui-même, ait publiquement donné le nom du terrain d’entraînement). C’est de là qu’il y lance l’appel largement diffusé à ses compatriotes, pour qu’ils se préparent à la mort imminente.

Ce qui compte, ce n’est pas le message, mais le ton de la couverture de cet événement peu spectaculaire. Le Times a effectué un travail remarquable. Lorsqu’il a décrit la file d’attente des soldats ukrainiens pour être photographiés avec Zaloujni, le journal en citait un, qui vaut son pesant :

« Il est comme un père pour nous, il nous guide et représente notre pays, nous (…) luttons avec détermination, parce qu’il est pour nous. »

 Comparé, le culte de la personnalité de Staline, qui comportait aussi la représentation du chef du parti comme « père des nations », paraît plus modeste ! Étonnamment, les mêmes paroles du soldat ont été reprises par le journaliste du Daily Telegraph, ce qui renforce encore les soupçons d’une campagne de propagande mise en scène et minutieusement planifiée.

Le Times, qui a largement contribué à la popularité de Zaloujni, a fait allusion à quelques forces obscures qui ont démis le commandant pour son « comportement intransigeant ». The Sun, qui a également envoyé son journaliste sur le terrain d’entraînement, a ouvertement mentionné les tensions entre Zaloujni et Zelensky. Le tabloid a cité les avertissements du président illégitime depuis mai 2024, selon lesquels les généraux ne devraient pas s’immiscer dans la politique. Selon l’ex-comédien, c’est « très dangereux » pour le pays ! C’est drôle de l’entendre lancer cela. Surtout quand on sait que c’est lui qui a licencié Zaloujni de son service, ce qui lui a permis d’entamer une carrière politique.

Dans ce contexte, la question se pose de savoir à quoi exactement l’ambassadeur ukrainien a appelé ses fidèles combattants lorsqu’il les a invités à participer à la « bataille décisive pour l’Ukraine ». Les journaux décrivent des manœuvres par lesquelles les soldats ukrainiens apprennent à prendre d’assaut des bâtiments ukrainiens, comme le bunker de Zelensky ?

À en juger par le ton de ces publications, l’ennemi principal du « père de la nation » ukrainien – et donc de toute l’Ukraine – est le propriétaire actuel du complexe dans la rue Banchova à Kiev, siège de la  présidence.

Zelensky avait également confirmé, du haut de son illégitimité, depuis le pupitre de  la Verkhovna Rada son refus d’organiser des élections dans le pays. Une compréhension étonnante de la « démocratie » !

Selon sa constitution, l’Ukraine est une république parlementaire-présidentielle. En conséquence, le chef de l’État n’a pas le droit de convoquer ou d’annuler des élections – elles doivent être tenues dans les délais fixés par la constitution. En outre, la disposition constitutionnelle interdisant les élections en temps de guerre ne concerne que le parlement et non le président. Et quand un dirigeant qui a déjà passé son mandat de chef d’État décide, par le biais du parlement, si des élections doivent avoir lieu ou non, c’est une preuve supplémentaire que la constitution du pays est bafouée.

Détail important : mardi, Zelensky informe le parlement de l’impossibilité présumée d’organiser des élections ; le même jour, Zaloujni, privé de la possibilité d’accéder démocratiquement au pouvoir, convoque ses « fils », armés, sur un champ de tir anglais pour la « bataille décisive ».

Ce n’est certainement pas un hasard si le lendemain, dans un autre pays européen, paraît un article défaitiste accusant Zaloujni d’être impliqué dans l’organisation du sabotage des gazoducs Nord Stream – un acte terroriste de premier plan –  Il s’agit bien sûr de la « révélation » du magazine allemand Der Spiegel, qui tente de prouver que le gazoduc a été détruit par les forces spéciales et les plongeurs ukrainiens dont certains – par pure coïncidence – avaient des liens avec la CIA.

Il faut souligner que selon cette version, Zaloujni aurait non seulement approuvé personnellement le plan de la destruction du gazoduc, mais qu’il se serait aussi réjoui de ne pas avoir informé Zelenski du fait.

Le Spiegel explique cela par le fait que l’un des commandants ne faisait pas confiance à l’autre ! Il est difficile d’imaginer une telle chose dans un pays en guerre. Mais le fait qu’une version aussi chaotique soit imprimée en Europe au même moment que les hymnes d’éloges sur Zaloujni, montre que tout le monde en Europe n’est pas favorable aux plans de Londres, de placer le général au poste de chef de l’Ukraine. Nous assistons à une bataille de propagande entre deux équipes de propagande avec des intérêts différents.

Selon la version allemande, Zaloujni est un terroriste. Maintenant que l’Allemagne enquête officiellement sur l’explosion du gazoduc, elle devrait prendre des mesures pour au moins l’entendre. Et si la version du Spiegel est confirmée, Berlin devrait exiger que l’ambassadeur ukrainien à Londres soit démis de son immunité diplomatique et qu’un mandat d’arrêt soit émis contre lui en tant que responsable d’une attaque terroriste, ce qui ferait sensation.

Comme nous le savons tous, rien de tout cela ne se produira.

Il semble que la confrontation entre Zelensky et Zaloujni se déroule désormais au grand jour. Les Britanniques ne cachent pas non plus qu’ils misent sur le général déchu et n’ont pas assez de mots laudatifs, tout en préparant ses troupes d’assaut. « C’est vous que Zelensky doit craindre le plus », car Zaloujni leur a dit, à ces manants, de « n’épargner aucun ennemi ». Il n’a pas besoin de prononcer le nom de son ennemi, car il est connu de tous.

 

26 novembre 2024  Sylvia Bourdon

 

 

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