Magistrale gifle de Sarah Saldmann à Ardisson poignardant Hanouna !

Le jour de l’émission de télé lors de laquelle il s’en est pris violemment à Cyril Hanouna (1), Thierry Ardisson avait-t-il pris ses cinq doses quotidiennes de drogue ?
Bien heureusement, une jeune femme était là pour le remettre dans le droit chemin : Me Sarah Saldman qui, verbalement, lui a administré une sanglante mais merveilleuse gifle ! Et à chaque fois qu’Ardillon tentait de se justifier, paf ! Une autre réplique cinglante de Me Saldmann ! (2) Je me suis repassé la séquence tant cela m’apportait de plaisir !

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Ardisson ne vit que parce qu’il prend de la DROGUE QUO-TI-DIEN-NE-MENT ! Ce dont il se vante, fier de lui au lieu d’en avoir honte quand on sait, et lui aussi évidemment, que cela alimente les réseaux de traite d’être humains surtout dans la prostitution : femmes et hommes mais également et encore plus tragiquement des enfants, des plus petits aux ados qui sont pris dans des réseaux de traite d’enfants du berceau à l’âge adulte, tant fillettes que gamins !!!


Et ce Monsieur se vante, comme il y a quelques années, lorsqu’il s’est laissé aller -apparemment content de lui !-, pour le magazine Society, à des confidences, sans aucune retenue, sans aucune honte, bien au contraire ! Quel exemple pour des gamins l’admirant en tant que « star » de la télé ! Se rend-t-il compte du mal qu’il fait en poussant des jeunes à « faire comme Ardisson » ? Certainement que non, son ego ou plutôt, son égocentrisme, donc sa tendance à être centré sur lui-même…  les autres, qu’en a-t-il bien à faire ? Quand on est obnubilé par sa personne… Quoique sa personne, sans drogue, ne serait peut-être pas grand chose !

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En effet cet homme ne peut vivre qu’en prenant de la drogue jusqu’à 5 fois non par mois, ni par semaine mais 5 FOIS PAR JOUR ! Soit en gros, une dose toutes les 5 heures !!! Et donc 1 825 doses chaque année !  
Donc, sans drogue, cet homme, que serait-il capable de faire ??? Rien assurément… C’est triste pour lui…

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Il n’est que de 3 années plus jeune que moi -nous sommes tous deux du mois de janvier, lui du 6 janvier 1949 et moi du 3 janvier 1946- mais si je voulais le rattraper, moi qui n’ai jamais ni goûté, ni reniflé la moindre drogue, il me faudrait, pour le rattraper, ingurgiter les quelque 110 000 doses (5 doses/jour en 60 ans) que son organisme a déjà ingurgités avec envie et surtout obligation ! Ardisson n’est donc pas libre… Sans ses 5 doses par jour, serait-il… « l’Ardisson du Tout-Paris » que l’on connaît et que, nombreux, admirent?
5 doses par jour qu’il s’inflige ou plutôt qu’il s’afflige depuis une bonne soixantaine d’années, soit environ 110 000 doses ! Est-il toujours l’enfant que sa mère a mis au monde ? Son organisme a dû être quelque peu « modifié »… Et qu’il en soit heureux, tant mieux pour lui. Mais, par son attitude de « drogué heureux de l’être », pense-t-il à tous les gosses -des dizaines voire des centaines ou des milliers- qu’il a poussés à se droguer ? « Mais, maman, c’est Ardisson qui l’a dit ! »

Oui, voici l’homme qu’il rend public à l’image de ses confidences à Society, confidences reprises par Purepoeple :

« Il n’a pas hésité à se confier sur sa consommation de drogue.
Si dans sa jeunesse, Thierry Ardisson était accro à l’héroïne, il avoue aujourd’hui qu’il consomme toujours un autre type de drogue.
« Ça fait trois ans que je prends de manière très occasionnelle des ecstasy – des moitiés – et je trouve ça génial, comme dope, a-t-il assuré avant d’ajouter, Tu fais des câlins à tout le monde ! C’est pas parce qu’on est vieux qu’il faut arrêter de se droguer. » 
Avouer qu’on a besoin de cela pour vivre heureux… C’est lamentable -pour l’image que l’on donne de soi-même- et criminel -pour l’image qu’en reçoivent les gamins !

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Dans sa lancée, Thierry Ardisson est revenu sur son addiction pour la fumette. « Je fume depuis que j’ai 17 ans. (…) Quatre ou cinq pétards par jour. Ça donne à la vie un peu plus de charme. »
Quel charme ??? Personnellement je m’en passe facilement. Pas lui qui, pour Society a ajouté :
« Du shit, jamais d’herbe. Ça fait plus de 50 ans et j’en suis fier« , a-t-il conclu. »

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Voilà ! Ardisson est fier d’être complice de -entre autres- la traite d’êtres humains ! Mais aussi des trafiquants d’armes et, ah, j’allais les oublier, les trafiquants de drogue qui, pour que lui puisse se shooter 5 fois par jour, n’hésitent pas à assassiner d’autres trafiquants -dont certains jeunes- ! 


Mais, il y a pire, « Môôôssieur » Ardisson, c’est vous aussi qui tirez des « balles perdues » (j’ai horreur de cette expression), des balles financées par vous qui tuent des gens honnêtes.  Des gens dont le tort a été de se trouver dans la trajectoire de balles, elles aussi acquises avec votre argent !  ! Et ainsi vos balles ont stoppé la vie d’innocents -comme à Marseille, la jeune fille tuée chez elle, dans un immeuble, ou ce gamin tué dans la voiture qui le transportait-, tous les consommateurs de drogue et, parmi les premiers, ceux qui consomment plusieurs doses par jour comme vous, monsieur Ardisson, et qui sont complices de ceux qui ont tué cette jeune fille et ce gamin.

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À la place des drogués, c’est en cachette que je consommerais ma pourriture. Je ne m’en vanterais pas et n’en serais pas aussi fier qu’un Ardisson.
Il y a plus de trois ans, j’avais déjà critiqué l’attitude de cet animateur si bien vu dans son milieu. C’était le 12 mai 2021 sur Boulevard Voltaire après l’assassinat d’un policier : 
https://www.bvoltaire.fr/sans-drogues-pas-de-trafic-de-drogue/

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Alors, forcément, j’ai pleinement apprécié la gifle la baffe magistrale -même si elle ne fut que verbale et non physique !- que lui a assénée l’avocate Sarah Saldmann ! J’en salive encore. Chapeau, Maître, vous en prendre comme cela à cette « personne alitée » -psychiatriquement parlant ! Car des troubles psychiatriques peuvent toucher tant l’organisme de ce malheureux a besoin de drogue qu’il n’est peut-être plus lui-même. C’est sa quintuple dose journalière qui doit le faire tenir. Je le plains !
Mais, lui, pourrait penser la même chose à l’encontre de ma personne :
« Je plains ce malheureux qui n’a jamais connu la moindre extase… » Comme si, pour connaître l’extase, il fallait de l’ecstazy… Même si le nom de cette drogue vient du mot extase ! Pour ma part, je préfère l’original au superficiel…

Jacques MARTINEZ, journaliste, 
à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN

(1) 
https://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/actu-tele/qu-il-attaque-cyril-hanouna-avec-une-telle-violence-en-dit-long-pascal-praud-repond-a-thierry-ardisson-20241021
(2) https://www.laprovence.com/article/sortie-loisirs/6272672888047814/il-est-dangereux-thierry-ardisson-critique-cyril-hanouna-face-a-lavocate-sarah-saldmann

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