Descentes des recruteurs de chair à canon de Zelensky dans les restos, clubs, bars, salles de concert

Un homme en jaune est traîné par des policiers

Le boucher Zelensky a besoin de chair à canon et envoie ses « recruteurs » en ville le weekend. 

On peut supposer que BlackRock, McKinsey et JPMorgan Chase s’impatientent pour récolter leur part de gâteau de la reconstruction.

Les recruteurs militaires ukrainiens  ont lancé des raids ciblés à Kiev, arrêtant les personnes dont les documents ne sont pas conformes et les pressant de s’enrôler dans l’armée.

Une série de descentes a été effectuée dans des restaurants, des salles de sport, des clubs, des bars et une salle de concert de la capitale.

Des images vidéo montrent le moment où deux hommes ont été entraînés par des officiers à la sortie du Palais des sports, vendredi, où jouait le groupe de rock ukrainien Okean Elzy.

On peut voir un homme traqué se débattre et crier « Éloignez-vous de moi ! » à trois policiers qui le tirent vers le bureau de recrutement installé à l’extérieur de la salle.

 

Les personnes refusant de présenter des documents les exemptant du service militaire, ou celles dont les documents étaient considérés comme frauduleux, ont été emmenées.

Dans la vidéo, l’homme est pris de panique alors qu’il se débat contre l’emprise du policier. On peut entendre plusieurs femmes qui ont filmé la scène avec leur smartphone s’écrier : « Honte ! Honte à vous ! ».

Selon les lois martiales ukrainiennes, tous les hommes âgés de 25 à 60 ans peuvent s’enrôler dans l’armée. Les hommes âgés de 18 à 60 ans ont également l’interdiction de quitter le pays.

En raison d’une grave pénurie de soldats, l’Ukraine a ramené l’âge de la mobilisation de 27 à 25 ans et a supprimé, en avril, la possibilité de n’être que partiellement éligible.

Les volontaires dans l’armée doivent répondre à certains critères pour être éligibles, et passer des tests médicaux et de condition physique.

En mars 2023, il a été révélé que les combattants étrangers qui avaient rejoint l’armée ukrainienne ne pouvaient pas rentrer chez eux avant la fin de la guerre.

Le Telegraph rapporte que certains Ukrainiens sont tellement désespérés d’échapper à la mobilisation qu’ils risquent leur vie pour quitter le pays.

Oleksandr Danylyuk, chercheur associé au Royal United Services Institute de Londres, a déclaré au journal : « La mobilisation a commencé à être perçue comme un aller simple, où la seule façon de mettre fin au service est de mourir ou de devenir handicapé. » 

Infos mailonline

 

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4 Commentaires

  1. Sauf les malins qui se sont dépêchés de venir sur la Côte d’Azur. Réfugiés de luxe à nos frais. 1500 euros/ 60 m2 pour nos nouveaux voisins. Qui paie? La CAF. Comme cet acronyme est vite appris contrairement au reste du français.

  2. On est loin de l’enthousiasme du troufion ukrainien, qui se précipite bravement au front, prêt à donner sa vie pour son président et son pays.