Pour Anne Hidalgo, maire de Paris, c’est une fierté. Il s’agit des fermes urbaines installées au cœur de la capitale ou dans le périmètre du Grand Paris. Ce sont environ 37ha d’espace agricole sur lequel travaillent environ 300 personnes. Ces salariés produisent en moyenne 2.6kg par jour travaillé. Sachant que le SMIC horaire s’élève à 11,65€ brut (ou 9,63€ net), un salarié coûte au minimum 81.55 euros/jour. Donc, pour qu’elles puissent seulement payer leurs salariés, les fermes devraient vendre leurs fruits et légumes, quels qu’ils soient, à plus de 40 euros/kg (en moyenne, leur prix varie en réalité entre 2.40 et 3.40 euros/kg) ! A condition que les salariés soient tous payés au SMIC. Mais c’est bien l’argent des contribuables qui assure les coûts !
Hidalgogo ou plutôt Hidalgaga et ses fermes urbaines. Il est vrai qu’avec le pognon de dingues que gagnent les dirigeants, 40 euros du kilo, c’est rien… Les fermes urbaines, réservées à l’élite. Pauvres et modestes, s’abstenir.
Oui, c’est pas les fermes corréziennes des années 60 :=)
Je me souviens, avec mes parents, des tournées, que nous faisions, pour acheter du cidre bouché dans ces fermes, autour d’Uzerche.
60 ans après, je reste marqué par leur extrême pauvreté.
Quand j’entends une garce comme la Bouteldja expliquer, avec toute sa haine, qu’elle venue en France parce que « la France est riche », je pense souvent à ces paysans de Corrèze des années 60 …
@Bonjour Antiislam. Mes arrières grands-parents étaient de ceux-là, pauvres de chez pauvres. Une vie de labeur et de misère. J’ai encore les larmes aux yeux quand je pense à eux. 19 en force !
Hidalgogo ou plutôt Hidalgaga et ses fermes urbaines. Il est vrai qu’avec le pognon de dingues que gagnent les dirigeants, 40 euros du kilo, c’est rien… Les fermes urbaines, réservées à l’élite. Pauvres et modestes, s’abstenir.
Bonjour,
Oui, c’est pas les fermes corréziennes des années 60 :=)
Je me souviens, avec mes parents, des tournées, que nous faisions, pour acheter du cidre bouché dans ces fermes, autour d’Uzerche.
60 ans après, je reste marqué par leur extrême pauvreté.
Quand j’entends une garce comme la Bouteldja expliquer, avec toute sa haine, qu’elle venue en France parce que « la France est riche », je pense souvent à ces paysans de Corrèze des années 60 …
19 en force !
@Bonjour Antiislam. Mes arrières grands-parents étaient de ceux-là, pauvres de chez pauvres. Une vie de labeur et de misère. J’ai encore les larmes aux yeux quand je pense à eux. 19 en force !
Bonjour,
:=)