Quand des menhirs renversent des éoliennes… champagne !

Le menhir de Kergadiou est situé à Plourin dans le Finistère en France. C’est le deuxième plus haut menhir de France après celui de Kerloas, classé monument historique depuis 1883. Un second menhir couché est visible à proximité immédiate.

Une légende rapporte qu’une dame des îles Britanniques aurait volé le menhir à une sorcière qui, furieuse, aurait lancé un énorme bloc de pierre pour le pulvériser. Manquant son objectif de quelques dizaines de mètres, son projectile se serait fiché en terre, donnant naissance au menhir couché1. Wikipedia

On sait que les abominables éloliennes ont le vent en poupe parmi les décideurs français, les écolos-dingos, l’UE (dès que l’UE est pour un projet, méfiance, c’est rarement pour notre bien ) et la majorité des politiques nationaux et régionaux. Les adversaires de cette saloperie gagnent très rarement les procès, et pour cause, il y a trop d’intérêts en jeu… Alors, quand un projet qui avait pourtant été approuvé par les politiques est retoqué et abandonné, champagne.

Et la victoire est double quand ce sont deux menhirs bretons, les Menhirs de Kergadiou (Finistère, terre de légendes et d’histoire), qui ont fait chuter les éoliennes, grâce à la détermination et l’opiniâtreté de particuliers, et de deux associations,  Sauvegarde Paysages d’Iroise et Association pour la protection de l’Aber-Ildu.

Les juges de la Cour d’appel de Nantes leur ont donné tort raison en constatant, horrifiés, que ces monuments qui font rêver, qui attirent les touristes, qui sont porteurs d’une histoire et de légendes n’étaient qu’à 540 m des éoliennes. Un sacrilège. ET je ne parlerai pas des ondes et parasites venus troubler, à travers les millénaires, 6000 ans, quand même !!! la tranquillité de  ceux qui ont posé là ces anciens monuments. Un vrai blasphème… En ces temps où l’islam pourrit la vie de millions de gens parce que d’aucuns veulent leur imposer des règles de pensée et de vie datant de 1400 ans, il est bien que des juges fassent respecter NOS monuments, NOS croyances et celles de nos encêtres, non ?

« Ils » avaient en effet décidé d’installer, sans vergogne, trois éoliennes de 120 m de hauteur à quelque 500 m de la bande littorale., visibles depuis tous les lieux, gâchant ces paysages uniques au monde : la vue des îles d’Ouessant, le pays d’Iroise, la presqu’île de Saint-Laurent, le phare du Four… Un blasphème, un vrai, vous-dis-je ! 

Par ailleurs, a-t-on vraiment besoin d’éoliennes dans ce coin et partout ailleurs ? La commune voisine de Plourin avait également émis un avis défavorable au nom de la défense du patrimoine et des importants travaux à prévoir sur son sol. Il faut dire aussi qu’elle n’a pas besoin d’un tel projet. Elle produit déjà à elle seule, grâce aux énergies renouvelables, le double de sa consommation d’électricité annuelle.

Reste à croiser les doigts pour que les autres ne fassent pas appel et ne l’emportent pas, malgé tout !

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1 Commentaire

  1. Tant mieux ! Ces modernes moulins à vent sont horribles. Ils défigurent le paysage, produisent peu ou pas d’énergie, rendent les terres inutilisables, tuent les oiseaux. Sur une colline près de chez moi, quelques éoliennes qui tournent un jour sur sept. Elles n’ont aucune utilité, si ce n’est de nous gâcher le panorama. On disait autrefois con comme un moulin à vent. Aujourd’hui ça s’applique à ceux qui nous imposent ces horreurs. Il y a un village à côté des douzes éoliennes. Les habitants ont dit au début qu’ils étaient gênés par le bruit, qu’ils avaient des migraines.