Etrange, non, ce changement/remplacement juste avant les élections américaines et au moment où l’UE, par la bouche de Der Leyen -Macron et compagnie n’est pas en reste, évoquant sans cesse le bruit des bottes et évoquant sans cesse l’Ukraine et la nécessité de l’aider…
Mark Rutte a été premier Ministre des Pays-bas pendant 14 ans ! A la tête de partis tour à tour de droite ou de centre droit, il a même à certains moments été soutenu par le Parti de la liberté de Geert Wilders, fervent opposant à l’islam et à l’immigration. Ça c’est dans la colonne plus… si l’on considére que Rutte a toujours été sincère et n’a jamais été opportuniste. Comment le savoir ?
Plutôt mesuré et adepte, quand il était aux manettes, de la défense du peuple, totalement opposé à Macron qui, comme der Leyen, veut une Europe fédérale, défenseur sans ambiguïté d’Israël, ce n’est pas un ami de la Russie et c’est un partisan de l’Ukraine… Et c’est sans doute le côté le plus inquiétant de cette nomination.
Cerise sur le gâteau il est contaminé par le virus écolo-dingo, ennemi des voitures à essence, il a longtemps milité pour leur interdiction à l’horizon 2030.
Il se défendait encore il y a quelques mois de vouloir gérer l’Otan, il a pourtant accepté en juin de succéder à Stoltenberg. Et il a pris ses fonctions le 1er octobre…
Est-ce la proximité des élections américaines et la réputation de Rutte de savoir dire non à Trump qui a été la raison majeure du choix de Rutte pour l’Otan ?
Mark Rutte a aussi le sobriquet anglais de « The Trump Whisperer » (l’homme qui murmure à l’oreille de Trump) pour sa capacité à raisonner l’ancien président américain. On le crédite d’avoir d’avoir sauvé un sommet de l’Otan en 2018 en discutant avec Trump des dépenses de défense. Il a également fait preuve d’une franchise typiquement néerlandaise avec l’ancien président républicain lors d’une visite à Washington en 2018, où il l’a interrompu avec un « non » résolu lorsqu’il avait affirmé qu’il serait « positif » de ne pas parvenir à un accord commercial avec l’UE.
On ne sait pas tout, on ne devine pas grand-chose, mais une chose est certaine, cette nomination n’est pas le fruit du hasard. Les mondialistes ne jouent pas aux dés, eux non plus…
Christine Tasin
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Mark Rutte succède à Jens Stoltenberg à la tête de l’Otan, alliance en pleine incertitude
L’ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte prend mardi la tête de l’Otan, au moment où cette alliance de 32 pays occidentaux est en pleine incertitude, à un mois de l’élection présidentielle américaine. « Je ne suis pas inquiet. Je connais très bien les deux candidats et j’ai travaillé quatre ans avec Donald Trump », a affirmé devant la presse Mark Rutte, peu avant d’entrer officiellement en fonction .
Changement de visage à la tête de l’Otan. L’ancien Premier ministre néerlandais Mark Rutte succède, mardi 1er octobre, au Norvégien Jens Stoltenberg pour diriger l’Alliance atlantique en pleine incertitude à un mois de la présidentielle américaine. « Je ne suis pas inquiet. Je connais très bien les deux candidats et j’ai travaillé quatre ans avec Donald Trump », a affirmé devant la presse Mark Rutte, avant de prendre officiellement ses fonctions.
La passation de pouvoirs doit avoir lieu à 10 h (8 h GMT) au siège de l’Otan à Bruxelles, dans le cadre d’une réunion du Conseil de l’Atlantique, l’instance politique qui rassemble les ambassadeurs des pays membres. Jens Stoltenberg, 65 ans, ouvrira la réunion et Mark Rutte, 57 ans, la conclura.
« Il y aura peut-être des nuances, des changements d’accent mis sur telle ou telle chose, mais il y aura aussi beaucoup de continuité », assure un diplomate de l’Otan, en évoquant cette transition.
Les deux hommes se connaissent bien. En tant que Premier ministre néerlandais, Mark Rutte a représenté son pays aux sommets de l’Otan ces 14 dernières années. Et il a également fréquenté l’ex-Premier ministre norvégien avant que ce dernier n’occupe ce poste à l’Otan.
« Il a les qualités, l’expérience pour vraiment faire son travail d’une excellente manière », a dit de lui Jens Stoltenberg, lors de sa dernière conférence publique à Bruxelles le 19 septembre. Elles ne seront pas de trop face aux défis qui attendent le futur secrétaire général de l’Otan.
Maintenir au plus haut niveau le soutien à l’Ukraine
La guerre fait toujours rage en Ukraine, aux portes de l’Alliance atlantique, deux ans et demi après l’invasion de ce pays par l’armée russe.
Mark Rutte devra donc veiller lors de son tout premier grand rendez-vous – une réunion des ministres de la Défense de l’Otan les 17 et 18 octobre – à maintenir au plus haut niveau l’indispensable soutien militaire occidental à l’Ukraine en guerre, au moment où la pression monte pour mettre un terme à cette guerre et ouvrir des négociations.
Les États-Unis, de loin la première puissance militaire au sein de l’Otan, jouent là un rôle essentiel. Or, l’Amérique est en pleine campagne électorale, et des deux côtés de l’Atlantique on attend avec anxiété de savoir qui de la candidate démocrate Kamala Harris ou de l’ex-président républicain Donald Trump entrera à la Maison Blanche.
Une éventuelle victoire du milliardaire américain le 5 novembre hante les couloirs du siège de l’Otan à Bruxelles, où les menaces d’un retrait américain lancées par l’ancien président des États-Unis résonnent toujours.
Le Néerlandais a rencontré à plusieurs reprises Donald Trump, à qui il a su tenir tête, lors d’une rencontre en 2018 à Washington. Il a su également gagner sa confiance en reconnaissant qu’il avait raison de souligner combien était nécessaire un meilleur partage du fardeau au sein de l’Otan entre Américains et Européens.
« Garder les 32 Alliés ensemble »
Mark Rutte, qui a toujours défendu la frugalité budgétaire, est très attendu sur ce sujet, y compris en cas de victoire de Kamala Harris. Les demandes américaines sur un rééquilibrage au sein de l’Alliance ne datent pas de la présidence Trump.
Il devra aussi s’assurer que l’Otan est bien en ordre de bataille face à la menace russe, conformément à ses plans de défense adoptés en 2023. Ceux-ci ont révélé que les Alliés manquaient, par exemple, de défense anti-aérienne ou de capacités de production d’artillerie après des années de coupes budgétaires dans les budgets militaires.
Seuls 23 des 32 pays de l’Alliance ont atteint l’objectif fixé il y a dix ans de consacrer au moins 2 % de leur PIB aux dépenses militaires. Et plusieurs d’entre eux assurent que face au Kremlin, il faut désormais bien davantage.
Sur ces sujets, les Alliés sont très divisés et la tâche essentielle pour Mark Rutte tient en une seule phrase, selon Jens Stoltenberg : « Garder les 32 Alliés ensemble. C’est une grande famille, mais quelquefois c’est un vrai défi de les garder heureux tous ensemble ».
Avec AFP
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A la tête de l’OTAN on ne peut avoir que des salopards, pas besoin de se poser de question.
Des baltringues comme lui qui se vantent de bien connaître Donald Trump ,il faut s’en méfier comme l’an 40 . Ces trous du cul de la politique sont dangereux , ces fumistes il faut les avoir constamment à l’oeil!
il fut aussi un ennemi et opposant de Geert Wilders
l’OTAN joue un jeu dangereux. Déjà la Turquie au sein de l’OTAN, c’est une aberration monumentale.