Travailleurs du bâtiment, vous êtes des artistes !
Vous trimez à longueur de journée, parfois pour un salaire de misère et bénéficiez du mépris suprême de la caste bureaucratique.
Vous édifiez murs, cloisons, toitures, terrasses, ce qui jusqu’à présent relevait de l’artisanat.
Mais par la grâce de Pavan, artiste « de renommée internationale » quoique inconnu au bataillon, vous rivalisez avec De Vinci et Michel-Ange lorsque vous entassez les parpaings et le ciment…
<< L’oeuvre >> de Pavan a cependant capoté à Béthune ce week-end pour les « journées du patrimoine » (comme si ce bidule avait un rapport avec le patrimoine) car les parpaings livrés ne correspondaient pas aux besoins de « l’artiste » !
J’ignore s’il avait souscrit l’assurance garantie décennale…
L’artiste a donc raté sa << performance >> heureusement financée sur ses fonds personnels (gros ouf de soulagement des Béthunois qui ont trouvé dans l’ensemble ce truc horriblement moche).
Pavan avait l’idée de casser un mur en béton avec des outils de fortune en une journée, afin de signifier la détresse des migrants traversant la Méditerranée, qui seraient censés lutter aussi difficilement pour parvenir à leurs fins.
Une oeuvre « engagée ».
Que ce tas de parpaings puisse être une oeuvre d’art sera défendu par ceux qui disent que l’art est présent dès lors qu’il crée une émotion.
Pavan entendait nous émouvoir sur le sort des migrants. Allez, pourquoi pas.Mais ce qui me choque alors, c’est cette obsession pour les migrants.
Pourquoi ne pas en faire un symbole universel de la détresse, de la lutte ? Cela aurait donné un semblant de profondeur à cette « performance artistique » qui était censée consister à casser le mur en un temps restreint.
Ou si l’on veut rester sur le cas particulier, pourquoi pas le symbole de la lutte contre les graves maladies, par exemple ?
Pourquoi pas le symbole de la lutte des travailleurs pauvres dans leur ensemble pour essayer de finir leur mois dans des conditions dignes ?
Pourquoi pas la lutte des opprimés contre les privations de libertés injustes ?
Pourquoi pas un symbole de la lutte des Français pour mettre de l’argent de côté afin de financer des charges publiques devenues trop pesantes ?
Non, les migrants, les migrants, toujours les migrants. Cette obsession, ce stéréotype décrédibilise encore davantage cette pseudo-oeuvre, qui, déjà, n’avait pas grand-chose pour accéder à ce statut.
En tous cas, on a encore franchi le mur du çon avec cette « oeuvre » et l’échec de la « performance » finalement réalisée au burineur électrique a consommé le ridicule de la tentative !
À Béthune, vive polémique autour de la traversée du mur sur la Grand’Place : l’organisateur réagit
Ce vendredi 20 septembre 2024, un événement insolite avait lieu sur la Grand’Place de Béthune. Un artiste devait… traverser un mur. Tout ne s’est pas passé comme prévu.
L’un des événements importants des Journées Européennes du Patrimoine avait lieu ce vendredi 20 septembre 2024 à Béthune, dans le Pas-de-Calais. Quelques heures auparavant, un mur avait été construit sur la Grand’Place, à côté du beffroi, pour accueillir la traversée de Pavan. Une œuvre d’art qui a fait polémique…
Pierre Garnier, connu à Béthune pour sa galerie d’art PandemArt, était à l’initiative de cette performance artistique réalisée par Pavan, artiste plasticien à la renommée internationale. L’objectif était de traverser le mur fait de parpaings à l’aide d’outils.
L’œuvre était ensuite exposée ce week-end, samedi et dimanche, sur la Grand’Place. « Le titre même de l’œuvre fait immédiatement référence à la dure réalité des migrants qui, déchirant leurs papiers pour être ‘invisibles’ traversent la Méditerranée ou plus près de chez nous encore, ceux de la jungle de Calais cherchant à traverser la Manche par tous les moyens, au péril de leur vie », précise Pierre Garnier, dévoilant le message derrière cette « performance artistique et sportive ».
Les commentaires des habitants ont été très durs. La plupart d’entre eux déplorent la présence d’un « mur cassé » qui « enlaidit » la Grand’Place.
Le galeriste insiste sur le fait que la traversée de Pavan est avant tout « une performance physique voire sportive ». Il ajoute : « Elle devait aboutir à une performance artistique et donc par la même occasion, à une œuvre d’art. Vous conviendrez tout de même qu’il s’agit bien d’une performance physique et vertigineuse puisque l’artiste devait réussir à traverser ce cube de 2000 parpaings environ en seulement 8h à 10h maximum sur une seule journée. »
Heu….. une performance qui finalement est quotidienne en France pour des milliers de travailleurs du bâtiment qui, pendant 8 heures, vont suer toute la journée à monter des parpaings et parfois aussi à en démolir dans le secteur de la démolition… !!
La différence c’est que eux ils y arrivent !!!
« Ils ont niqué mon projet » (prose inspirée des banlieues)
Le projet ne s’est pas passé comme prévu. Dans le cadre de son projet artistique, Pavan avait commandé des parpaings qui, pour la grande majorité, devaient être creux. Or, ces derniers étaient tous pleins. De quoi passablement énerver l’intéressé : « Je suis en colère. Je me fais chier comme ce n’est pas possible. Ils ont niqué mon projet », a commenté le Toulousain auprès de nos confrères.
Patrick Pavan ne s’est pas découragé pour autant : celui-ci s’est attaqué au cube géant à l’aide d’un burineur électrique. Dans la douleur, le Toulousain est parvenu à achever sa « traversée contrariée ».
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Tu dis « Migrants », à toi la télévision!
Tu dis « Blancs », à toi l’exclusion!
Tu dis « Migrants », à toi l’argent!
Tu dis « Blancs », beurk le sans-dents!
Tu dis « Migrants », à toi l’entre-soi!
Tu dis « Blancs », eh toi rentre chez toi!
😂😂😂
Que dire d’autre !?
Ces pseudos artistes, s’intitulant pompeusement artistes plasticiens me font bien marrer. En fait, ce sont de grosses nullités en matière d’art. La seule utilité de ce machin serait de pouvoir soulager ses besoins naturels à l’abri des regards. Je n’apprécie pas trop l’art contemporain ou le pire côtoie le pire. Post scriptum, son œuvre me provoque une grosse émotion au niveau du rectum.
Délivrez moi de cette période de tarés !!!!!!
J’implore Dieu et les Patriotes a faire cesser tous ces délires qui font mourir notre pays.
A mon humble avis, le vendeur de parpaings s’est bien foutu de sa sale gueule de gros con immigrationiste, les agglos pleins étant réservés aux travaux de soutien, soubassement, on ne les utilise pratiquement plus en maçonnerie, préférant les blocs coffrants. Dommage qu’il n’ait pas pris un bon parpaing en travers de sa grosse gueulev gauchiasse en essayant de démolir ce mur, sacré con, va !
Les parpaings, il aurait pu en trouver dans les cités, ces mêmes parpaings qui sont jetés du haut des immeubles sur nos forces de l’ordre.
A la prochaine journée du patrimoine ce sera le galeriste et peut-être Pavan qui se feront démolir le portrait dans la belle ville historique qui nous ait chère ! Afin de représenter dignement le travail des migrants quand ils rencontrent des autochtones! Cela ne leur ôtera l’envie de se « pavaner ». Les socialopes sont prévenus!
les dégâts de la « fumette » voire plus sur les cerveaux!
-« Pavan entendait nous émouvoir sur le sort des migrants. Allez, pourquoi pas. Mais ce qui me choque alors, c’est cette obsession pour les migrants.’-
-« une oeuvre d’art sera défendu par ceux qui disent que l’art est présent dès lors qu’il crée une émotion. »-
Moi, je suis donc pour que toutes les armes « blanches » « rougies » par le sang de Français et récupérées par les Forces d l’Ordre, soient rassemblées et érigées en un Monument National à la Mémoire des Victimes de ces lames « déréglées ».
Vous savez il y avait des monticules de savates, de vélos pour défendre certaines causes.
Ben, moi, je suis pour l’art et donc pour la bonne cause : celle de La Mémoire Nationale des Nôtre tombés sous les fils fous !
Si çà, çà ne crée pas de l’émotion, ce ne sera donc pas une expression artistique. Vous y croyez vous ? Où les censeurs, pour le coup, ne le voient pas du même œil que nous !
Faites savoir à « l’artiste » Patrick PAVAN que vous approuvez pleinement l’opinion exprimée dans cet article à propos de son « oeuvre » :
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En faire + : envoyer de même à Pierre Garnier, galerie d’art PandemArt à Béthune https://pandemart.com/contact/