Les raisons invoquées ? JO, Delta Festival…
Bonnes ou mauvaises, les raisons invoquées par la municipalité ne convainquent pas, c’est le moins que l’on puisse dire. Et les mauvaises langues de Résistance républicaine de faire un parallèle entre Macronie et municipalité de Marseille. Tout pour leurs associations, leurs copains, rien pour le peuple.
Une eau à 25 degrés, un soleil de fin de saison… Un cadre qui semble parfait pour les nageurs à Marseille. En réalité, ces derniers dénoncent des conditions de plus en plus contraignantes pour accéder à l’eau. Cet été, de nombreux événements ont pris place sur les plages du Prado, au sud de la cité phocéenne. Les Jeux olympiques d’abord, et maintenant le montage des cinq scènes du Delta Festival. De quoi agacer certains habitués. « J’ai été frustré. J’ai eu une année perdue, je ne sais plus nager, il faut que je réapprenne, ironise l’un d’eux qui vient faire trempette depuis plus de quarante ans. C’est ma plage préférée, il y a une digue, je vois les bateaux sortir, je vois le Frioul, le Château d’if, j’ai mes amis. Cet été, je ne suis plus venu, deux trois fois, c’est tout. C’était le « bordel » comme on dit à Marseille. Ils nous prennent tout. On ne nous demande pas notre avis. Vous dégagez et puis voilà. » « On ne peut pas faire les événements autrement qu’en été… Mais une fois de plus, cela gêne les gens qui veulent aller à la plage », commente une femme retraitée, allongée sur le sable. Je viens souvent sur cette plage, les derniers temps, c’était fermé, ça m’a beaucoup agacé. C’était bondé ailleurs. Il fallait aller loin ». |
Le delta festival attend plus de 100 000 personnes… il faut bien faire de la place pour elles, alors on ferme les plages, on vire baigneurs et amoureux de la plage. Et la municipalité croit avoir trouvé la solution « on fait de la médiation »… c’est reparti. Les Français, que ce soit sous Macron ou sous les gauchos qui gèrent Marseille, sont pris pour des gosses de 5 ans qu’on prive de dessert et qui doivent applaudir grâce aux talents des causeurs, des médiateurs chargés de leur faire comprendre que c’est mieux pour eux que les snobinards en tous genres assistent au delta festival pllutôt qu’ils ne se baignent et ne se dorent au soleil avec leurs gosses.
Il est clair qu’il ne s’agit pas d’une petite et courte exception. Les plages occupées représentent un espace énorme, et ça dure…
« Avant, c’était une plage 100 % publique, il y avait un tout petit espace pour faire entrer sortir paddle ou les dériveurs. Et là, on a l’impression d’être envahi par une occupation municipale. On ne sait pas trop ce qu’ils vont faire ». On se retrouve avec des interdictions de nager difficiles à admettre.
« L’association s’est créée parce que la mairie a donné d’immenses espaces aux JO, explique le nageur. A peine on ressort de ça, il y a de nouvelles interdictions… On est plus qu’en colère. »
Contactée par France 3 Provence-Alpes, la ville de Marseille assure que l’interdiction est provisoire. D’ici au 1ᵉʳ trimestre 2025, le centre de voile sera transféré à la base nautique, l’ancienne marina olympique. https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/ils-nous-prennent-tout-jo-delta-festival-a-marseille-nageurs-et-riverains-se-plaignent-du-manque-d-acces-a-la-mer-3024671.html
602 total views, 1 views today
Il n’y a guère de « démocratie », il y a ceux qui sont privilégiés et les laissés-pour-compte.
L’abus de pouvoir est partout, et surtout chez les polichinelles de tout rang.
Il y a ça + tous les « wesh wesh » qui font chier le monde sur toutes ces plages…
La dictature en marche continue! C’est un peu partout que nos libertés sont bafouées, nos routes envahies par les associations de cyclistes, tellement nombreux qui prennent en otages l’espace public, nos forêts par des associations hippiques, qui souillent les chemins en apportant des maladies, et de velos cross qui roulent comme des fous et abîment tout, ce ne sont que quelques exemples, on pourrait parler aussi des « fêtes communales » qui nous empêchent de sortir de chez nous ou de circuler. Les fruits de nos impôts ne servent qu’à une petite minorité : une honte.