La mère de famille de 33 ans dit souffrir de son quotidien dans la structure éloignée de tout. Témoignage.
“Je suis arrivée à Dublin en novembre 2022. J’ai tout de suite déposé une demande d’asile. J’ai eu mon entretien en avril dernier, j’attends la réponse à ma demande.
Les autorités m’ont immédiatement placée dans un centre pour familles à City West [dans la ville de Saggart, à une vingtaine de kilomètres de Dublin, ndlr] avec mes trois enfants et mon mari. Nous y sommes restés trois semaines.
Le site, anciennement un village de vacances, est divisé en plusieurs lotissements dans lesquels sont hébergés les clandestins.
Cet endroit est terrible : on ne nous traite pas bien, on nous considère comme des moins que rien. Dès que je me plains, le personnel dit que j’exagère. Donc je ne dis plus rien. J’ai le sentiment de vivre en prison.[La structure d’accueil n’est pas fermée et n’a pas mis en place de couvre-feu !].
Nous vivons à cinq personnes (mes trois enfants, mon mari et moi) dans une petite chambre. Nous sommes constamment les uns sur les autres. C’est parfois très fatiguant. Il y a une salle de bain privative mais la cuisine est partagée avec trois autres familles. C’est vite encombré le soir à l’heure de faire le dîner.
En plus, le centre est loin de tout. Nous sommes totalement isolés, la première ville se trouve à près de 20 minutes en voiture. Il y a trois mini bus réservés pour nous emmener à Tallaght [ville en périphérie de Dublin, ndlr] ou Blessington [première ville près du centre, ndlr]. Mais le problème c’est qu’il n’y a que 16 places. C’est très peu pour le nombre de personnes hébergées dans le centre. Donc les gens se battent pour pouvoir monter dedans. C’est toujours la cohue.
Je suis triste depuis que je suis ici. Je ne me sens pas en sécurité. Je vois bien que c’est aussi compliqué pour mes enfants. Mais je n’ai pas d’autres choix, alors je prends mon mal en patience en espérant que les choses s’amélioreront lorsque j’obtiendrai l’asile.”
Que c’est dur l’Irlande pour cette Africaine : et les Irlandais ?
Ils n’ont rien demandé et en bavent suffisamment depuis toujours pour ne rien devoir à ces envahisseurs !
On se demande bien ce qu’elle fait en Irlande. L’urgence climatique ? Le chômage ? La guerre en Afrique du sud ? L’Irlande qui a colonisé son pays ?
Réponse au détour de l’article : elle “a fui son ex-mari violent en Afrique du sud fin 2022 pour l’Irlande” ! Mais elle en a un nouveau, et pourra donc à 33 ans continuer à pondre encore quelques années.
Cette dame d’Afrique du sud qui s’est invitée en Irlande se plaint d’avoir des « problèmes ».
Mais les ancêtres des Irlandais ont eu leur part de « problèmes » :
La Grande Famine en Irlande, un million de morts entre 1845 et 1851
Les Irlandais de 2024 ont aussi leur part de « problèmes » :
En 2024, deux tiers des jeunes actifs irlandais sont désormais contraints de vivre chez leurs parents à cause de la pénurie de logements abordable. Le loyer moyen à Dublin est désormais de 2 102 euros, soit le double d’il y a dix ans, détaille le New York Times.
Voir aussi sur RR : Irlande. 10 000 emplois perdus dans l’hôtellerie après l’afflux de demandeurs d’asile
Et on peut comprendre que le sang des Irlandais ne fasse qu’un tour quand les gens qui ont des « problèmes » deviennent leur « problème » :
Combien de temps encore l’Irlande conservera-t-elle son identité ?
La vraie question est : l’Irlande a-t-elle besoin de devenir africaine ?
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C’est sûr elle est en danger! Elle est venue avec son mari! Le seul risque sérieux pour elle! J’espère que les irlandais ne se feront pas dupés et renverront le colis à l’expéditeur!
Elle joue son role, la victimisation. C’est un truc classique et les europeens doivent apprendre a le reconnaitre comme etant comme tel. Mais j’ai des doutes a propos des francais, eux aussi aiment jouer les victimes: C’est l’esstreemmme droaaate.
Bonjour Jules Ferry ,bonjour les clovisiens.
Hier je croise un voisin, vague connaissance (contractuel payé par l’EN dans l’informatique je crois..) mais la discussion s’engage ,et à ma grande surprise ,ce dernier (qui je dois le préciser arbore sur son visage émacié mâtiné de haine, toute l’histoire du gauchisme depuis ces 50 dernières années)aboie avec autorité, qu’il est grand temps que le suprémacisme blanc paye pour ses atrocités, et qu’il est normal et juste, que les gentils opprimés de la terre reprennent ce qu’on leur a volé. Je lui dit que c’est un raisonnement de crétin (j’aurais pu nuancer..),il le prend mal, me vire en me montrant son majeur!..
Je puis affirmer qu’il n’y avait pas le moindre doute dans les propos de ce sexagénaire, et sa haine et son venin étaient éructés avec franchise,…..ces gens pensent vraiment ce qu’ils disent,ils sont vraiment indécrottables ,donc vraiment dangereux, ne l’oublions pas!
…la définition du fanatisme; merci pour cette anecdote Vercingere !