Djihad à Angoulême : le journal gauchiste “Charente libre” n’admet pas que Mustapha K. est un islamiste

 

Avoir l’évidence devant les yeux et la nier… C’est bien ce dont est capable la Charente libre, petit torchon du groupe Sud Ouest.

Alors qu’un certain Mustapha K. a tenté de mettre le feu à l’hôtel de ville d’Angoulême en début de semaine, petit à petit le profil islamiste de l’intéressé apparaît clairement.

Il était déjà question dès l’attaque d’inscriptions en arabe sur le véhicule de cet individu garé aux abords de l’hôtel de ville.

On apprend désormais que c’était la chahada (profession de foi islamique) et que le Mohamed scandait “Allah akbar” sur le trajet qui l’a mené à l’hôpital (où, hélas, il a été guéri de ses blessures par balles).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chahada

Petit torchon pas comprendre, petit torchon s’étonne et estime que rien ne permet de retenir la piste terroriste ni une “religiosité particulière” de Mustapha K, né au Maroc et visiblement quelque peu siphonné du cerveau…

Mustapha K. avait quitté sa femme, était devenu taciturne… on ne croit pas savoir que les islamistes soient généralement des gais lurons.

Forcément ça ennuie pas mal cette affaire, alors même avec l’évidence sous les yeux, petit torchon ne dira pas que Mustapha K. avait basculé dans l’intégrisme islamique.

Qui est Mustapha K., l’assaillant mystérieux et solitaire de la mairie d’Angoulême ?

Par Ismaël KARROUM – publié le 22 août 2024 à 17h15, modifié à20h08.

Âgé de 46 ans, né au Maroc et vivant en Charente depuis une quinzaine d’années, Mustapha K., l’assaillant de la mairie d’Angoulême, ne s’était jamais fait remarquer auparavant. Ce qui rend encore plus mystérieux son passage à l’acte.

Aucun antécédent judiciaire. Pas même une tache psychiatrique sur le CV. Inconnu des services de renseignement. Le profil de Mustapha K., l’assaillant de la mairie d’Angoulême neutralisé par balle ce mercredi peu avant midi, reste aussi mystérieux que ses motivations. Désormais hors de danger, le quadragénaire est toujours hospitalisé au CHU de Poitiers.

24 heures après l’agression de deux employées municipales et l’incendie de plusieurs bureaux, l’émotion et le récit des policiers municipaux, premiers sur les lieux, émergent. Élus et syndicats s’interrogent sur la sécurisation de la mairie.

Né au Maroc, Mustapha K. est arrivé en France, à Angoulême, il y a 15 ans. Il s’y est marié, a eu au moins un enfant, a fini par obtenir la nationalité française. Il a longtemps vécu au centre-ville, en famille. Cracheur de feu, il exerçait des missions d’intérim. Il n’a jamais fait parler de lui, ni entretenu de relations particulières avec la communauté maghrébine angoumoisine.

Cédric Michel, président national du Syndicat de défense des policiers municipaux, dévoile l’état d’esprit des deux agents qui ont neutralisé l’assaillant de l’hôtel de ville d’Angoulême. Il précise le déroulé de la scène.

En 2022, une rupture dans sa vie

Inconnu. C’est le mot qui revient le plus souvent à son sujet. À Ma Campagne, le quartier où il vivait depuis l’automne dernier, seuls ses proches voisins entretenaient un minimum de relations cordiales avec lui. « Bonjour », « au revoir » : rien de notable, si ce n’est son habitude de s’habiller avec un treillis militaire. Pour le reste du quartier, il n’était qu’un parmi tant d’autres, sans accroche particulière ni lien social ou amical.

Dans des images transmises par la mairie d’Angoulême, on peut découvrir l’étendue des dégâts provoqués par l’assaillant lors de l’attaque perpétrée hier à la mi-journée.

2022 semble marquer une césure dans sa vie. « Il a quitté sa femme. De lui-même. Depuis, il était sombre, dépressif », dit l’une des rares personnes à l’avoir côtoyé. Mustapha K. vit quelques mois à Soyaux, avant d’emménager dans un appartement à Ma Campagne. Là, il effectue des petits boulots, se désespérant que sa vie « soit foutue », « que personne ne l’aidait ». S’il pouvait verser dans la paranoïa, voire s’approprier des thèses complotistes, il n’a, selon nos informations, jamais proféré de menaces. Ce qui contraste avec son passage à l’acte de ce mercredi midi. D’autant qu’il ne connaissait aucune des assistantes qui travaillaient dans le bureau dans lequel il a fait irruption.

D’autres éléments interrogent. Des témoins sont convaincus d’avoir vu son véhicule stationner ou circuler autour de la mairie ces derniers jours, ce que les services d’enquête devront étayer ou infirmer. Mercredi soir, Xavier Bonnefont, le maire d’Angoulême, indiquait que, peu avant l’attaque, un agent avait vu Mustapha K. rôder autour de la mairie. Pourquoi cette colère ? L’attaque était-elle préméditée ? L’enquête devra le déterminer.

Pour incendier la mairie et menacer secrétaires et policiers, le quadragénaire a utilisé une sorte de chaîne avec des tissus enflammés au bout. Il s’agit de son matériel de cracheur, ces chaînes utilisées pour les spectacles de feu, que les artistes manient à grande vitesse pour créer des effets d’optiques. C’est avec ces chaînes qu’il a mis le feu aux bureaux et menacé un policier municipal, lors de sa neutralisation.

Des mentions religieuses qui interrogent

Un autre mystère entoure les motivations de Mustapha K. Un mystère qui justifie que la procureure d’Angoulême garde contact avec un correspondant du parquet antiterroriste. Mustapha K. avait tout d’abord tagué deux « Chahada » – profession de foi prononcée lors des conversions ou avant les prières – sur sa voiture. Une à l’arrière et une sur le capot. Enfin, lors de son transfert à l’hôpital, blessé mais encore excité, il a, selon nos informations, scandé « Allah u akhbar ». Pourquoi, alors qu’il ne semblait empreint d’aucune religiosité particulière ? Coup de folie ? Volonté de mettre en scène sa colère ? L’exploitation de son environnement récent, de son matériel informatique et téléphonique devra éclairer cette ombre.

À ce jour, rien ne permet de faire un lien avec une volonté terroriste.

https://www.charentelibre.fr/charente/angouleme/qui-est-mustapha-k-l-assaillant-mysterieux-et-solitaire-de-la-mairie-d-angouleme-21101131.php

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3 Commentaires

  1. L’Islam est aujourd’hui la religion d’Etat en France, comme en Angleterre, en Allemagne, dans l’UE, sauf la Hongrie. C’est pourquoi dès qu’il y a un problème produit en France par une personne de l’immigration musulmane, on minimise, on met la tête dans le sable pour nier les réalités, on dénie la vérité.. et le pire on fait croire à Mr ou Mme tout le monde que ce n’est jamais l’importation culturelle d’un autre temps qui est l’Islam qui produit tous ces problèmes sociaux aujourd’hui sous peine d’être un fasciste, un raciste.. On appelle cela de la propagande, lorsque l’on fait croire aux gens des fausses vérités au profit d’intérêts de pouvoir sur les esprits de ces mêmes gens.