La voilée Sifan Hassan dopée au Lévothyrox ?

Interpellée par le commentaire ci-dessous de notre contributeur et traducteur Jean Schoving, ex-athlète,  à propos de la victoire de Sifan Hassan, je lui ai demandé de développer son intuition. (“Et de plus, elle est dopée à mort, au Lévothyrox en l’occurrence qui agit sur la thyroide, et qu’il est question d’interdire depuis des années. Ce n’est pas un avis, c’est ma certitude, je n’ai qu’à regarder son physique. Jean, ancien athlète de niveau national”).

Merci à lui c’est très éclairant… C.Tasin

Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse…

L’ivresse du succès, évidemment ! Le marathon féminin des Jeux Olympiques de Paris vient d’être remporté de trois secondes devant la détentrice du record du marathon femmes, par une Néerlandaise d’origine éthiopienne, Sifan Hassan. Et cela après ses médailles de bronze sur 5 000 m et 10 000 m. Outre les super performances dans toutes les épreuves de course à pied depuis l’utilisation autorisée de chaussures à semelle de carbone (avantage d’au moins 1 seconde par tour de piste de 400 m), cette performance de Sifan Hassan, qui s’est mise en évidence par ailleurs par le port du voile islamique lors de sa remise de médailles, a de quoi interloquer. Elle fait naître entre autres la suspicion de dopage, notamment par le lévothyrox.

Commençons par citer un article du magazine sportif Spe15 quelques années après cet événement d’il y a cinquante ans : « Le 29 octobre 1972 Kathy Switzer est au départ du marathon de Neuf-Brisach avec 141 autres participants dont deux autres féminines, Elfried Rapp du TC Dietlingen et Ingrid Schoving, du CABHL St-Avold. Ingrid Schoving est une coureuse de 800 que son mari Jean a convaincu de participer au marathon de Neuf-Brisach, auquel il avait participé l’année précédente … . Ingrid Schoving s’impose en 3 h 16’13’’ établissant la meilleure performance Française de l’année devant Kathy Switzer et Elfried Rapp…  Enseignante de sport à la retraite, ce marathon n’est qu’un très lointain souvenir pour Ingrid Schoving qui met un terme à sa carrière d’athlète trois ans plus tard à 27 ans. »

Et voici ce que dit le même hebdomadaire SPE sur le médicament Levothyrox : Le Lévothyrox sous sa nouvelle formule a fait les gros titres de la presse cet automne par ses dysfonctionnements frappant les patients atteints le plus souvent d’hypothyroïdie. Ce médicament est aussi un produit très prisé des sportifs à la recherche d’une amélioration artificielle de leurs performances, qui ne prennent aucun risque puisqu’il ne figure pas sur la liste des produits dopants… La thyroxine, une hormone secrétée par la thyroïde, est une substance que de nombreux spécialistes de la lutte anti-dopage voudraient voir ajouter sur la liste des produits interdits. Le constat est sévère : le Lévothyrox, sur la base de révélations de sportifs de haut-niveau, est un médicament malheureusement très utilisé par les tricheurs, parmi 30 substances qui devraient être interdites et qui ne le sont pas.

Le Lévothyrox est un médicament chargé de freiner la sécrétion de l’hormone TSH (thyréostimuline) ou de compenser les hypothyroïdies. La thyroïde peut être présentée de manière simplifiée comme l’accélérateur et le frein de l’organisme… Le Lévothyrox est une molécule qui a été très vite identifiée par les dopeurs comme potentiellement utilisable pour améliorer la performance notamment dans les sports d’endurance. Avec un argument de taille : il apparaît très souvent une baisse de T3 induite par l’effort physique prolongé qui est tout à fait normale et très documentée dans la littérature scientifique. Les dopeurs présentent donc la prise de Lévothyrox comme nécessaire pour un rééquilibrage hormonal. Et la question se pose de savoir combien d’athlètes présents au récent Championnat d’Europe de Berlin en sont des adeptes.  Y compris chez le médaillés français…Et les médaillés non Français ?

Les signes physiques extérieurs d’une utilisation de Lévothyrox sont peu nombreux, à l’exception de l’amaigrissement et du changement d’humeur parfois. Mais ceci est commun à beaucoup de substances : les stimulants, d’autres hormones. On a un exemple de cet amaigrissement chez ladite Sifan Hassan, championne olympique 2024 sur marathon, après le bronze sur 5 000 m et 10 000 m. On peut dire pour commencer que ce triplé olympique n‘est pas une nouveauté : le Tchécoslovaque Émile Zatopek l’a réalisé en 1952 aux J.O. de Helsinki, devant le Français Alain Mimoun, champion olympique du marathon en 1956, à Melbourne, contre lequel il m’est arrivé de courir : donc Zatopek premier sur 5 000 m, sur 10 000 m et sur le marathon.

On ne peut nullement comparer Zatopek à Sifan Hassan, lui qui disputait à l’entraînement parfois jusqu’à 100 x 400 m au lieu de prendre du Lévothyrox. Et qui courait en apnées de 30 secondes toutes les trois minutes, pour améliorer son potentiel musculaire en se mettant artificiellement en dette d’oxygène. 

Revenons à notre Sifan Hassan : il n’y a qu’à voir son physique pour comprendre à quoi elle fonctionne. Mais chez nombre de musulmans (même ceux de récente date…) ces derniers temps et du moins depuis les années 2000, la fin justifie les moyens, à en croire les multiples cas de sportifs maghrébins ou africains de toutes disciplines, suspendus pour dopage ces dernières années.

Ce ne sont certes pas les seuls, surtout après les sportifs de l’ancienne RDA, puis les Chinois ou les Russes voire les Américains : je pense en particulier à l’entraîneur américain Alberto Salazar, suspendu pour des faits de dopage, dont le groupe d’athlètes qu’il entraîne ou entraînait – et parmi eux notre Sifan Hassan, qui est un pur produit de la méthode Salazar – utilise de manière disons large des produits comme la L-Carnitine ou le lévothyrox.

 

Un pourcentage conséquent d’athlètes musulmans préfèrent re(courir) à des moyens illicites. Dernier exemple récent : les sœurs Benfares, suspendues pour faits criminels liés au dopage en France et en Allemagne, Sofia pour usage d’EPO, Sara pour plusieurs produits dopants. C’est peut-être dû à la politique musulmane de la taqîya, qui n’est pas à comprendre dans le sens d’une dissimulation des opinions religieuses, mais de pratiques sportives illicites dans ce cas-là. Mais je suis mauvaise langue…  Selon une étude menée en Grande-Bretagne, un pourcentage de 13% d’athlètes admettent se doper ! Et ils étaient 41% à reconnaître se doper lors d’une étude menée en 2011. On ignore quel est le pourcentage de musulmans.

Je peux citer pour terminer un exemple de cette pratique illicite, qui me tient à cœur et qui est même susceptible de me valoir des poursuites judiciaires (certains musulmans, comme certains non musulmans savent utiliser à leur avantage les dispositions légales à cet égard) : une certaine Mosellane d’origine algérienne, Aïcha O. pratiquant la course à pied depuis 25 ans, et qui subitement, à l’âge de 52 ans, pulvérise de quatre minutes son record personnel sur 10 000 m et décroche le titre de meilleure Française sur la distance après la perte d’une dizaine de kilos de poids de corps (!) consécutive à la prise de lévothyrox à la suite de quelques ennuis bénins de glande thyroïde (qui signifiaient selon elle la fin de son existence de sportive, mais qu’elle avait empêchés grâce à sa grande volonté ( !) et sans doute l’aide d’Allah…). Allahou akbar !    

https://www.spe15.fr/le-dopage-invite-permanent-des-jeux-olympiques/

Jean Schoving

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5 Commentaires

  1. Je ne suis plus les compétitions sportives, je ne regarde pas la TV et regarder en direct ou en différé récents surinternet ça devient compliqué avec les obligations diverses et multiples comme inscriptions, …. je n’ai donc rien vu des compétitions des JO 2024 à Paris.

    Ce que j’ai vu c’est donc la photo de remise des médailles sur RR.

    Et ce qui m’a ÉTONNÉE c’est que les médaillées argent et bronze sont éminamment connues et reconnues de longue date comme de très grandes championnes (je ne me souviens plus de leur nom, mais oui de leur visage);

    Alors, oui, les rois et les champions sont fait spour être détrônés un jour ou l’autre. Et comme je n’ai rien vu de la compétition je ne peux pas apprécier les réeeles valeurs sportives de cette “nouvelle championne” ; mais un point d’interrrogation occupait mon esprit, jusqu’à découvrir cet article sur RR qui fait la lumière sur le sujet.

    Encore une fois, félicitations à RR qui devient historiquement la “Gazette de la Résitance Française du XXIème siècle”.

    Merci à tous les auteurs excellentissimes et à RR.

  2. Elle est surtout dopée au coran, on sait ce que les musulmans réservent aux femmes qui désobéissent ou qui déçoivent!

  3. La triche a toujours existé, mais il faut que le spectacle continue. Derrière tout cela il y a d’énormes enjeux financiers, et personne n’a intérêt à mettre en place, des contrôles, trop rigoureux.

  4. —-Ces JO ont été la vitrine de tout ce que représente le mondialisme dans son horreur!—-La cérémonie d’ouverture a donné le ton en mettant en avant des symboles forts comme cette abominable représentation de la cène!—–Les mondialistes ne se cachent plus et appliquent leurs calendriers à la lettre!——

  5. Moi même ancien coureur à pied de niveau modeste, je l’ai fait remarquer dans un commentaire sur l’article de Christine sur Sifan Hassan, quelque soit le niveau régional où international, il est inconcevable de courir à bloc deux 5000m, un 10000m puis un marathon victorieux en l’espace de 10 jours, ce n’est pas la distance qui est mise en cause puisque de très nombreux coureurs bien entraînés peuvent facilement parcourir 150 km par semaine, mais l’intensité. Un coureur dont l’allure de compétition sur marathon est de 18 km/h, peut se promener à l’entraînement en parcourant 15km en une heure. Par ailleurs l’hégémonie des coureurs d’Afrique de l’Est et du Nord m’a toujours un peu interloqué, de même que la prédominance des sprinters jamaïcains qui rivalisent avec les américains en dépit d’une densité de population nationale incomparable.