Le GIEC, un instrument de domination du Nouvel Ordre Mondial

Depuis 35 ans, les imprécations du GIEC tournent à la monomanie. Il faudrait réduire à tout prix les émissions de CO2. Sinon ça va chauffer pour vos fesses. Qu’une demeurée comme Greta croie ça, n’étonnera personne. Mais que des gens plus évolués ignorent que le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau, ça vous troue le QI.

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Ceux qui ont un palmarès universitaire sont des crétins instruits. Tout autant que des politicards bien pourris comme les autres.
Le GIEC est une mafia inter étatique qui compte plus d’administrateurs de banques, d’avocats véreux et de recalés du suffrage universel que de scientifiques. Ils n’ont aucun labo, aucune structure d’analyse. Ils pillent les rapports des autres, ne retenant que ce qui va dans leur sens. Au besoin en ajoutant à leur écrémage des faux fabriqués de toutes pièces.
Le GIEC raisonne comme si le monde ne comptait que des pays développés, soit 1,2 milliard d’humains, sur un total de 8 milliards. Or pour sortir de la pauvreté, les pays en développement ont un besoin vital, comme nous naguère, d’une énergie abondante. Et l’Inde et la Chine le rappellent, l’essentiel de cette énergie ne peut-être que d’origine fossile.
Les élucubrations du GIEC permettent aux maîtres du monde de devenir encore plus riches au détriment des plus pauvres
Peu importe au GIEC que la première cause de mortalité mondiale soit liée au manque d’infrastructures en gaz, pétrole et électricité pour se chauffer, se soigner et cuisiner. Des besoins auxquels les éoliennes et les photovoltaïques ne peuvent répondre de manière continue et suffisante.
Peu importe les cinq milliards de pauvres qui utilisent, au péril de leur santé sinon de leur sécurité, le bois, le charbon ou les excréments d’animaux pour préparer leur nourriture. Et peuvent manger un peu, grâce à la pêche intensive. Ou grâce à une agriculture non-bio avec des engrais chimiques et des pesticides offerts par des ONG moins obtuses que les écolos.
Le GIEC ment délibérément quand il prétend que l’humanité pourrait se passer des énergies fossiles en 2050 et que 80 % de ses besoins en énergie pourraient déjà être fournis par les énergies dites renouvelables. L’auteur de ces calculs de pataphysique est un écolo dépourvu de toute formation scientifique sérieuse, il se dit « coordinateur international de Greenpeace pour les questions climatiques ». Détail intéressant : ce bon apôtre est rémunéré par l’industrie photovoltaïque.
Les projections des économistes montrent que les « renouvelables » sont distancés par les exigences de la croissance mondiale et ne pourront la rattraper. Dans 25 ans ils assureront au maximum 15% des besoins et les énergies fossiles 85 %. Mais les Nations Unies sont depuis 35 ans sous la tutelle des grandes ONG écologistes qui diffusent une vision culpabilisante des humains pour mieux les manipuler et les racketter avec la complicité des États-voyous et des banksters.
Le pataquès de Glasgow ou quand les pauvres se rebiffent
Douze mensonges du GIEC, écrit par Christian Gérondeau, est un ouvrage de référence. Il rappelle, dans le silence assourdissant des médias français, les turbulences lors de la conférence de Glasgow, dite COP 26, tenue en novembre 2021. Quand l’Inde de Modi a mis un terme à la tradition du « bal des menteurs » dont l’Allemagne est un des principaux meneurs, en proclamant son opposition, et celle de la Chine, à la cessation progressive et définitive du recours au charbon et au pétrole dans la production des énergies.
Une claque sur les joues de Choupinet (lui rappelant son dressage par Brichelle ?) quand il se targue au nom de la France de rejeter moins de 1% de CO2. Alors que l’Inde, la Chine et les pays en voie de développement, la plupart affiliés au BRICS, représentent les deux tiers des émissions mondiales. Et n’ont pas l’intention de saborder leur développement pour satisfaire les lubies de quelques bobos privilégiés.
Naturellement, ces chiffres ont suscité des réactions indignées dans le monde occidental, sauf aux USA qui émet 15% du CO2 mondial et n’entend pas ruiner ses industries pour faire plaisir aux écolos. Tandis que, de leur côté, l’Inde et la Chine ouvrent des dizaines de nouvelles mines de charbon, et se réjouissent de leurs nouvelles perspectives de développement. Des débouchés fondamentaux quand on considère que la prospérité, l’espérance de vie et le recul de la mortalité infantile, dépendent de manière prioritaire de l’accès à l’énergie.
Grâce au recours au charbon, au gaz naturel, au pétrole et à l’électricité, 500 millions de Chinois sont parvenus à accéder au niveau de vie de l’Occident en trois décennies, en partant de la plus extrême pauvreté. De son côté, l’Inde est en train de rattraper son retard.
Gérondeau affirme à juste titre, arguments à l’appui, que les efforts déployés par les pays développés ne peuvent avoir un effet significatif sur le stock de CO2, et a fortiori sur le climat, à supposer qu’il y ait une interaction. Tandis que les restrictions exigées des pays en voie de développement provoqueraient des centaines de millions de morts.
Le recul perceptible de la pauvreté dans le monde, hors zones de guerre, depuis le sommet de Rio de 1992 s’est produit au prix d’une inéluctable augmentation des émissions de CO2. Entraînant un accroissement des forêts naturelles qui dépolluent. La nature aime le CO2 ! Un caillou de plus dans les savates des écolos.
Écologie = fausse science sans conscience ni consistance
H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04%) La vapeur d’eau possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1. C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane.
En outre, les « savants » du GIEC oublient le gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.
Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.
Prière de ne pas oublier les pauvres en France !
La catégorie des « précaires énergétiques » est apparue avec le doublement du prix du kilowattheure depuis 2010, passé de 12 centimes d’euros à 20 centimes, en attendant 30 centimes prévus pour 2030. Mais les politicards continuent à subventionner des énergies alternatives, alors que le nucléaire aurait suffi à répondre aux besoins nationaux et à contenir la hausse des prix.
Les énarques qui méprisent le peuple se sont enferrés dans des mesures insensées comme l’interdiction du chauffage au gaz dans les immeubles construits à partir de 2022. Pour favoriser le chauffage électrique de plus en plus hors de prix. La France engourdie dans ses wokes, sa diversité, son genrisme, ses repentances, ses délits d’opinion et son crétinisme télévisé, se réveillera-t-elle un jour ?
La cenSSure dans tous ses états
Quand on voit la gueule de Claire Nouvian ou d’Aymeric Caron, réchauffistes fanatiques, ça fait peur. Ils suent la haine et la bêtise. Confits dans la fatuité des ignares, et l’autosatisfaction des donneurs de leçons. Mais ils ont le pouvoir. Médiatique pour l’une, politique pour l’autre. Et les tribunaux sont prêts à les suivre.
Une plainte a été émise contre Gérondeau par la responsable française du GIEC auprès du CSA (Conseil Supérieur de l’Audiovisuel) pour diffusion de « fake news », à la suite de l’entretien qu’il a eu sur une chaîne de télévision à l’occasion de la sortie de son livre, alors qu’il dénonçait les plus gros mensonges du GIEC.
Le physicien François Gervais, auteur de « L’urgence climatique est un leurre » a été ciblé par de minables petits commissaires politiques. L’ARCOM plus politisée que son prédécesseur a inventé un délit de désinformation climatiqueque André Bercoff et Sud Radio ont étrenné. Les écolos jubilent. Et leurs officines réclament encore plus de subventions pour faire taire les hérétiques.
Tous ceux qui n’approuvent pas les crapules du GIEC (Gang International des Escrocs Climatiques) sont dans le faux et dans le mal. Ils menacent la survie de l’humanité. Les réchauffistes ont donc le devoir de museler ceux qui contestent leurs lubies. Et s’ils insistent, le droit de les envoyer en camps de rééducation. C’est une logique d’inquisiteur. Ou de stalinien. Ou de khmer rouge repeint en vert. Que ne ferait-on pas pour « sauver la planète » ?
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/le-giec-un-instrument-de-domination-du-nouvel-ordre-mondial.html

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1 Commentaire

  1. Le GIEC est cité chaque jour aux infos, sur l’une ou l’autre chaîne du pouvoir.
    Et toutes les chaines sont désormais les chaînes du pouvoir, au fur et à mesure que les dissidents sont écartés.

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