Cris d’orfraie des parasites kleptocrates de l’UERSS contre Victor Orban

Chaque jour, il y a de quoi s’indigner contre ces pillards que sont les hauts fonctionnaires de tous bords, en France comme au sein de l’UERSS.

Les voilà, ceux de l’UERSS, Ursula et Michel, qui s’égosillent contre le Premier Ministre Hongrois.

Rappel ; la Hongrie est, depuis le 1er juillet, pour six mois aux manettes de l’UERSS … A ce titre, il prend des initiatives de salubrité publique, qui enragent les kleptocrates non élus aux manettes des « institutions » européennes.

Viktor Orban n’avait pas encore posé les pieds sur le sol russe, que déjà Ursula, malheureusement reconduite dans ses fonctions et l’Apollon du Belvédère, Charles Michel, dont le mandat s’achève bientôt, condamnèrent l’initiative, lançant indignés : « Le Président tournant de l’UE n’a aucun mandat pour négocier au nom de l’UE avec la Russie. » Le plus rigolo est qu’ils osent avancer que : « Aucune discussion sur l’Ukraine ne peut se tenir sans l’Ukraine. », quand le mois dernier, à Lucerne, ils entouraient, au frais du contribuable américain, un Zelensky qui n’était même plus chef d’état, pour une soi-disant conférence sur la paix, sans le protagoniste principal ; la Russie. Cette conférence qui fut un flop retentissent était surtout destinée à adouber le pillard corrompu de Kiev, comme chef de l’état ukrainien, alors qu’il ne l’était plus depuis le 21 mai dernier. C’est dire le peu de cas que ces parasites font de la démocratie.

Voilà la nouvelle « chef de la diplomatie européenne », Kaja Kallas, une russophobe hystérique, Première Ministre de ce petit pays, l’Estonie, culturellement très riche. L’Estonie compte une dette de 8,4% par rapport au PIB, quand la France affiche 98% …

L’Estonie, nichée au bord de la mer Baltique, avec Tallin comme capitale, un joyau classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, offre également à l’Europe, celle que nous aimons, des compositeurs mondialement célèbres, comme Arvo Pärt ou Rudolf Tobias, cette grande famille de chefs d’orchestres de père en fils comme Neeme Yärvi, Paavo son fils aîné que j’ai eu l’honneur de connaître et Christian. Paavo et moi avions un différend sur la Russie. Il est  convaincu que la Russie envahira un jour ou l’autre l’Estonie et que ce grand voisin cherchera à recréer l’URSS. Aucun argument contraire ne pouvait le convaincre qu’il se trompe.
Donc, Madame Kallas n’est pas du tout contente et estime que « Viktor Orban profite de sa fonction de Président tournant pour semer la discorde. » tout en avançant – en même temps- que : « l’UE est incontestablement unie en soutien à l’Ukraine, contre l’agression russe. » Une contradiction criante. Si l’UE est si unie, quelle est donc la discorde que sèmerait Orban ? A la fin, il n’y a pas que la Hongrie qui montre une position spéciale, mais aussi son voisin direct, la Slovaquie, sans oublier que l’atmosphère en Europe, du moins chez les électeurs, n’est plus au beau fixe envers l’Ukraine.

Alors, qu’est-ce qui chatouille tant l’UE ? Puisque de toutes façons, Orban avait déclaré ne pas se rendre à Moscou en tant que chef de l’UE ?
Son entrevue avec Vladimir Poutine est la première depuis le lancement de l’opération spéciale. Depuis, aucun chef d’état européen ne s’était rendu en Russie, à l’exception du Chancelier Autrichien, qui s’était rendu à Moscou, en avril 2022 dans le cadre d’une « mission de paix ».
Orban et Poutine ont une longue relation personnelle. Ils se connaissent depuis plus d’un quart de siècle et depuis que Orban est redevenu Premier Ministre, en 2010, ils se sont rencontrés plus de dix fois. Depuis deux ans et demi, la relation de la Hongrie envers la Russie est devenue évidente. Alors que Budapest fut contrainte de rejoindre les sanctions de l’UE dégénérée, Orban a su négocier des avantages en contreparties, dans le domaine de la fourniture d’énergie de la Russie.

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Durant cette visite au Kremlin, il fut question, entre autres, des relations bilatérales. Cependant, tout le monde est intéressé de savoir ce qui s’est dit sur le dossier de l’Ukraine. Et en effet, le sujet de l’Ukraine fut mis sur la table car, Viktor Orban était mardi à Kiev, sans pour autant soumettre un message au Président Poutine de la part de Zelenski. Il lui était important de connaître la position du Président Russe. À la suite de cette visite, voilà ce que déclarait Orban à l’hebdomadaire Suisse Die Weltwoche :
« Nous avons reconnu que durant ces deux ans et demi, il nous serait impossible d’obtenir la paix sans diplomatie et divers canaux de communication. La paix ne vient pas d’elle-même, nous devons y travailler. J’ai évoqué aujourd’hui avec Monsieur le Président, la façon par laquelle nous pourrions y arriver. Je voulais savoir quel est le plus court chemin pour arriver à la paix. Je voulais savoir l’opinion de Monsieur le Président sur trois points et je les ai entendus. Ce qu’il pense des initiatives de paix initiées jusqu’ici, ce qu’il pense d’un cesser le feu et le troisième point qui m’intéressait est la vision de l’Europe après la guerre. »

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En d’autres termes, Orban n’a pas seulement réitéré la position de l’UE, Moscou les connaît très bien, ainsi qu’un engagement pour une solution rapide du conflit, mais a demandé la position du Président Russe sur l’avenir post conflit. Et c’est exactement sur cela que l’UE ne démontre aucune curiosité et/ou intérêt. L’UE ne s’intéresse « qu’à contenir l’expansionnisme russe fantasmé, qui soi-disant, à la fin de ce conflit, menace de s’étendre sur les territoires de l’OTAN. »
La principale thèse européenne qui consiste à dire : « Nous aidons l’Ukraine à protéger notre sécurité », ne correspond pas au fait que la Russie planifierait une attaque contre l’Europe. Si Poutine veut vraiment marcher jusqu’à Varsovie, alors pourquoi l’Europe devrait négocier avec lui ? Elle devrait plutôt aider l’Ukraine à gagner sur le champ de bataille. Mais, que se passera-t-il si Poutine n’est pas fou et ne déclare pas la guerre à l’OTAN, (c’est-à-dire tous les pays limitrophes de la Russie et de l’Ukraine, à l’exception de la Moldavie) ? Tout le concept de « faire la guerre jusqu’au dernier Ukrainien » s’effondrera, à moins que l’UE n’ait pour objectif de détruire l’Ukraine en tant que telle …

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De nos jours, cela est très mal vu,  en tant que chef d’état ou de gouvernement de poser toutes ces questions dérangeantes. Seul Orban a le courage d’évoquer ces sujets. Quoi de plus normal que posséder du bon sens, en se posant la question sur ce à quoi ressemblerait l’Europe post-conflit ! L’avenir de l’Europe dépend de la Russie, peu importe que l’on essaye de se convaincre du contraire.
Mieux que tous autres chefs d’états et de gouvernements de l’UE, Viktor Orban comprend la situation. Il n’hésite pas de le faire savoir. C’est bien ce qui les fait enrager. Ils craignent que la crise ukrainienne ne se résolve sans eux. Que peut-on demander à ces « élites » politiques dégénérées de l’UE ? Orban est le seul chef d’état à avoir ouvert le dialogue avec Zelensky, au cours des quatre derniers mois, mais aussi avec Xi Jinping, Vladimir Poutine et Donald Trump dont on espère la prochaine élection, si le monde tourne encore à peu près rond.
L’EUROPE CONTRE ORBAN. 1-0 pour le Hongrois.

 

7 juillet 2024
Sylvia Bourdon

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