La « jeune garde », vrai mouvement fasciste, n’est pas dissoute et son Président peut se présenter aux Législatives pour le Nouveau Front Populaire…
Nous acheminons-nous vers deux France irréconciliables ? Nous assistons à un affrontement entre deux blocs, d’un côté l’invective et l’insulte vont bon train jusqu’à la provocation la plus inattendue, en investissant un fiché S, avec l’approbation d’un ancien président de la République, Hollande, qui se voit bien siéger à ses côtés.
Le message est clair, la gauche veut le pouvoir par les urnes ou la force.
Un antifa qui se présente, validé par Fabius, ne laisse plus planer de doute. Jusqu’à cette justification par Edwy Plenel qu’il y aurait deux antisémitismes, celui de gauche, et celui de droite, qui ne seraient bien évidemment pas comparables. L’un étant admissible, pas l’autre. Devinez lequel ? La théorie est osée, comme toujours lorsqu’elle émane de la social-démocratie, mais la pratique la met en défaut. Y aurait-il, selon ce précepte, deux pestes, l’une qui tue gentiment, l’autre non, mais au bout la mort les rassemble et la pseudo différence s’efface, la thèse est donc fausse. C’est un mensonge de plus. Serait-ce là l’argument pour excuser le viol de cette petite fille, au motif qu’elle était juive ? Nous entrons dans le glauque et l’écœurant. Comment une telle dérive a pu frapper notre pays à ce point ?
Où est la dignité, ou l’honorabilité de la charge, quand on s’abaisse à présenter des personnes ouvertement en marge de la bienséance et du respect d’autrui ? L’éthique n’est pas à géométrie variable, elle répond à des normes, et si une partie de la population n’entend plus les suivre la rupture est consommée. Pour le moment les représentants de droite, restent globalement maîtres de leurs nerfs en ne répliquant pas aux calomnies que cette gauche lance comme un argument à la figure de ses opposants qu’elle considère en réalité comme des ennemis à éradiquer, si l’on veut bien se souvenir des paroles de Clémentine Autain.
Jusqu’où cette longanimité peut-elle aller ? A partir de quand la patience prendra fin et dans ce cas, qu’adviendra-t-il de la paix intérieure ? Est-ce là, le plan tordu de l’enfant capricieux qui nous gouverne ? Depuis le temps que des parlementaires soulignent l’étrangeté de son comportement, en le désignant comme malade mentalement, il va bien falloir se pencher sur son état à un moment donné. Comment 30% au moins du corps électoral peut-il abonder dans ces dérapages incessants, cette agressivité constante ? On se demande effectivement le pourquoi de la poursuite du rêve d’une mixité heureuse, que l’on veut à tout prix nous imposer, qui compte tenu du flot soutenu qui nous submerge, n’existe que là où elle n’est pas présente. Démagogie, ou réelle volonté d’en finir avec sa propre identité ? Rejet de ce qui est Français, dans son histoire, sa sève ? S’imposer l’absorption d’une culture par essence différente ne peut que souligner les incompatibilités et donc les tensions. Pour les réduire, leur solution, s’abandonner aux nouvelles références. Le prétexte qu’il en va ainsi parce que notre culture Française ne permettrait pas de s’insérer dans une modernité, non pas fruit de l’évolution normale, mais bien provoquée, est absurde.
D’abord parce que son passé à prouvé le contraire et que si rien ne marche c’est peut-être parce que l’assemblage que l’on souhaite n’est pas compatible. C’est surtout oublier ce qu’est la tradition. Paul Valery nous en donne l’exacte définition : « la véritable tradition n’est pas de refaire ce que les autres ont fait, mais de trouver l’esprit qui a fait ces grandes choses et qui en ferait de toutes autres en d’autres temps ». Les partisans du NFP auraient donc abdiqué devant cet effort au profit d’une acculturation plus commode à intégrer faisant de cet acte obligatoire, le préalable à une excommunication purificatrice. Cette tranche de population ne veut plus des références millénaires qui nous ont fait ce que nous sommes. C’est cette opposition qui est en jeu. Ils ont capitulé, aidé en cela par une presse toujours aux ordres et une éducation qui n’a cessé de mettre en avant cette philosophie de la défaite, de la flagellation. La langue française, inlassablement remplacée par l’anglais, le cinéma, inondé de films anglo-saxons. Préférer une culture que d’autres ont décrétée meilleure, plus moderne, est l’acceptation de l’anéantissement de soi-même. Devenir « l’autre » par immolation culturelle, c’est se renier, ce n’est pas intégrer une différence, c’est faire disparaître son originalité. C’est ce programme que presque 30% des Français soutiennent ? Dans ces 30 %, il y a en embuscade le vote communautaire musulman, tout acquis à l’extrême gauche, idiote utile des prosélytes violents, dont elle sera la première victime.
Leurs adeptes ne peuvent plus revenir en arrière, les chimères ont remplacé la réalité, mais en ce sens l’espoir est plus grand. L’obsession du danger à revendiquer ses racines, la force de sa culture, n’est pas un crime, et ceux qui s’en prévalent ne baissent plus les yeux. La gauche voudrait nous faire culpabiliser, il n’en sera plus ainsi. Notre identité est la base de cette immortalité souligné par Paul Marie Couteaux, lorsqu’il met en parallèle les deux notions de réalité et de vérité, en juin 40. La réalité est aujourd’hui aussi cruelle à vivre, c’est l’effondrement partout, mais la vérité est cette lumière éternelle dont serait dotée la France. C’est à cette immatérialité qu’il faut se référer pour affirmer que le basculement vers les ténèbres n’aura pas lieu et qu’il faut combattre sans relâche pour l’empêcher. Il n’y a jamais eu dans l’histoire de l’humanité, semblable sacrifice sous couvert d’un humanisme qui n’est qu’un masque, celui de la haine de ses origines et sa volonté de changer de paradigme. Ces gens-là se détestent au point de nous faire croire que c’est nous les monstres à détruire. Se dresser face à ce faux progressisme est automatiquement un acte d’extrême droite, où la préférence nationale serait le symbole du rejet de l’étranger, en lieu et place d’y consacrer la citoyenneté, qui est le socle nécessaire et constitutif d’une nation, et donne forcément à son détenteur plus de droits. Les partisans d’un égalitarisme universel semblent oublier que les frontières sont là pour rappeler cet état, et à abattre avec jubilation ce concept, c’est la nation entière que l’on tue.
L’enjeu n’est pas seulement le déficit. Des crises financières la France en a connu et elle est restée la France, mais c’est bien son identité qui est menacée, et là, elle pourrait bien disparaître à jamais. C’est donc cette humeur qui pousserait 30%, dont beaucoup de musulmans, à voter pour le NFP ? Tous les partis de droite qui ont refusé l’alliance ou n’ont pas beaucoup insisté pour y parvenir, devront, si jamais le cataclysme d’une France coupée en deux devait se révéler, partager la responsabilité du chaos. Ce ne sera pas la faute d’un homme, mais bien d’un système où tous les parlementaires auront été à un moment donné les complices actifs ou pas. Reconquête et ses 2.5% devrait se retirer, mais il faut des élus pour toucher de l’argent et faire vivre le parti. C’est tout aussi valable pour d’autres partis, crédités du même pourcentage. Ils estiment que leur survie est plus importante que celle de la France. C’est à méditer, comme l’est la scission des LR, dont les 6% favoriseront le NFP au premier tour, que préfère soutenir De Villepin, s’associant par ricochet à l’acceptation de voir un fiché S siéger à l’Assemblée nationale. Le 7 juillet au soir sera-t-il encore temps de sauver cette France que nous aimons ? La vérité aura-t-elle raison une fois de plus de la réalité ? Souhaitons qu’il en soit ainsi.
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com
Par Gilles La-Carbona : secrétaire national du RPF au suivi de la vie parlementaire
823 total views, 1 views today
Ce pauvre Plenel, il ne s’arrange vraiment pas.Proudhon, selon Plenel, était-il un antisémite de droite, ou de gauche ?
On a bien eu une bonobo et une keke, ça ne fera pas beaucoup de différence.
Se nier à ce point là, c’est une carence affective, un gros problème psy, à traiter en profondeur.
:: RAPHAËL GLUCKSMANN ::
■ 1). – […] Ancien époux d’Eka Zgouladze, ministre de l’Intérieur de Mikheil Saakachvili (Géorgie), puis ministre-adjointe de l’Intérieur de Petro Porochenko (Ukraine),…
– même russophobie primaire que sa grand-mère après 1968 et que son père, ferait un bon successeur d’Emmanuel Macron selon ses « donateurs ».
…/…
○ VOLTAIRE.net : https://tinyurl.com/mr35nxw2
■ 2). Déjà en 2018 : Jean-Luc Mélenchon et Raphaël Glucksmann, accompagnés d’Emmanuel Maurel et de Thomas Porcher, se sont longuement vus avant les vacances de Noël, en toute discrétion.
○ Le MONDE.fr : https://tinyurl.com/yc5397ds
■ 3). Portrait de Raphaël GLUCKSMANN
○ OJIM.fr : https://tinyurl.com/26v5asc6
■ 4). Pourquoi je ne soutiens évidemment pas Raphaël Glucksmann || Olivier Berruyer | 26/08/2018
○ LES CRISES.fr : https://tinyurl.com/bdfkkaja
■ 5). Les petits arrangements de Raphaël Glucksmann sur son passé libéral (2019)
○ CHECKNEWS LIBERATION.fr : https://tinyurl.com/3bxjxbtu
■ 6). 2017 vote Emmanuel Macron
○ La PARISIEN.fr : https://tinyurl.com/57yhas29
…/…