Les CRS et blindés du Darmanin au service de l’échange sur le racisme et l’antisémitisme

L’échange sur la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, ordonné par le Macron suite au drame de Courbevoie et qui est censé purifier la société française de ces maux importés des pays amis fournisseurs de richesses, ne peut être mené que par l’intrépide Darmanin, toujours prêt à servir son maître et la République.

Le loyal Darmanin va mobiliser ses forces de l’ordre les plus aguerries dans la lutte contre les émeutes et la guérilla urbaine pour réussir cette opération très délicate portant sur un sujet très délicat impliquant une communauté au profil très délicat.

Il ne s’agit, certes, que d’une opération programmée pour une courte durée d’une heure, mais, dans ce genre d’opération, un « échange » d’une seule minute pourrait conduire à un cataclysme.

Cela demande donc une forte présence des forces de maintien de l’ordre.

Le Darmanin en a toute une panoplie à ses ordres. Ce sont les CRS, les CRS8, le RAID, le GIGN, la gendarmerie, etc.

Ceci ne semble toutefois pas assez pour faire face à un antagoniste, certes mineur (en âge), mais très coriace et déterminé.

Aussi, le Darmanin devra faire appel au soutien de l’armée. Il est donc prévu que la Légion étrangère et des régiments de chasseurs parachutistes participent à cette opération.

La marine et l’aviation seront, de même, mises en état d’alerte maximale.

Les pays partenaires de l’OTAN seront tenus au courant du déroulement de cette opération et leurs armées prêtes à intervenir.

Des chars de la gendarmerie, des « Centaure » dernier cri, seront déployés devant les établissements scolaires.

Blindé Centaure de la gendarmerie
Le nouveau véhicule blindé anti-émeutes de la gendarmerie

Les chiens utilisés pour la détection d’engins explosifs seront introduits dans les établissements concernés par l’échange.

Les fouilles seront systématiques à l’entrée.

Cette mobilisation n’est pas exagérée vu que Poutine se dit prêt à fournir des armes lourdes à ceux qui combattent les pays qui se tiennent aux côtés de l’Ukraine. La France, en particulier.

Malgré cet impressionnant dispositif, il n’est pas sûr de trouver des enseignants prêts à répondre à l’appel du général le Macron pour mener cet « échange » historique.

Ceux qui auront le courage de répondre « oui » au-bien-aimé président seront cagoulés et porteront des gilets pare-balles et pare-couteaux ainsi que des minerves anti-décapitation.

En fait, tous les Français en âge d’être décapités devraient en porter une.

Les familles des courageux volontaires pour cet échange seront placées sous haute surveillance pour une période indéterminée.

On peut d’ores et déjà compter sur l’apport des « ressources pédagogiques » qui seront mises à disposition des établissements, tel qu’il a été explicité par la Belloubet, la ministre de l’Éducation dite nationale.

Il s’agit, entre autres, de Rima Hassanou, Aymeric Carou, Mathilde Panou, Danièle Obonou Philippe Poutou, Sophia Chikirou et le gourou Melénchou (ça rime bien avec des « ou » partout. C’est ce qu’on appelle un groupe bien homogène).

Il faudrait cependant veiller à avertir les élèves au moins 24 heures à l’avance avant la tenue de l’ « échange », de façon à ce que les élèves musulmans et leurs parents aient le temps de préparer un prétexte pour ne pas venir à l’école.

Ainsi, l’échange sur le racisme et l’antisémitisme sera un grand succès.

Et la France pourra respirer.

Mais il faudra quand même garder les minerves.

Messin’Issa

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