Selon le journal « Le Monde », le Premier ministre, le Gabriel Attal, « n’a été prévenu qu’à la dernière minute » de la décision du Macron de dissoudre l’Assemblée nationale.
L’Attal, rapporte le journal, a été « tenu à l’écart des discussions qui ont conduit le chef de l’État à dissoudre l’Assemblée nationale le soir de la défaite aux élections européennes ».
Si le Gabriel Attal n’a été prévenu qu’à la dernière minute de la décision du Macron, c’est qu’il n’a pas été consulté.
C’est pourtant ce que demande la Constitution, dans son article 12 qui stipule que « Le Président de la République peut, après consultation du Premier ministre et des présidents des assemblées, prononcer la dissolution de l’Assemblée nationale ».
En faisant intrusion sur les écrans des chaînes télé dimanche soir, au moment de la proclamation des résultats des élections européennes, le Macron a déclaré : « Après avoir procédé aux consultations prévues à l’article 12 de notre Constitution, j’ai décidé de vous (Français) redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote. Je dissous donc ce soir l’Assemblée nationale ».
Mais il apparaît qu’il n’a pas consulté ledit Premier ministre. On ne sait pas pour les présidents des assemblées.
Il a donc menti.
Non seulement il n’a pas consulté l’Attal, mais il l’a humilié. Toujours selon « Le Monde », le Macron avait mis le Darmanin dans la confidence, mais pas son Premier ministre.
Le mensonge est flagrant, mais personne ne veut en parler.
Plusieurs médias français relèvent cependant la mise à l’écart de l’Attal.
Voici quelques extraits :
Le Télégramme : « L’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale n’a pas été une surprise que pour les Français. Gabriel Attal l’a appris peu de temps avant. »
Sud-Ouest : « Gabriel Attal est sorti de son silence ce mardi 11 juin pour faire part de son étonnement après la décision du chef de l’État de dissoudre l’Assemblée nationale ».
Le Parisien : « Dimanche soir, avant d’apprendre la dissolution de l’Assemblée nationale, Gabriel Attal pensait avoir tout anticipé ».
« Sonné par une décision qu’il n’avait pas anticipée, Gabriel Attal a consulté son entourage ce lundi… sans s’exprimer publiquement. Il lui reste désormais trois semaines à Matignon ».
L’Opinion : « Gabriel Attal déplore une décision « soudaine » et « brutale »
Capital : « Le Premier ministre sonné après la dissolution ? »
Reste une question à élucider : Si le Macron a menti en déclarant avoir mené des consultations sans l’avoir fait, sa décision de dissoudre l’Assemblée nationale est-elle légale ?
Qu’encourt le président-menteur ?
Messin’Issa
1,562 total views, 2 views today
Il n’y a donc PERSONNE pour faire tomber cette m..de et le foutre en taule ??
Où est l’armée avec, encore, des chefs intègres ? ?
Il est venu en Nouvelle-Calédonie pour essayer de faire un accord avec kes Kanakes il a attise le feu. Il ne donne pas d’ordre pour protéger la population les gens se barricades pour protéger leur famille les Kanakes tirent sur les gendarmes en voiture et en hélicoptère et aussi sur les policiers par armes à feu. Les Kanakes ont bloqué l’hôpital qui a resulté des morts devant les portes. Macron a juste fait monter le racisme qui était quasi inexistant sur l’île avant lui. C’est le fossoyeur de la France qui a perdue son âme par sa faute. JORDAN BARDELLA est notre espérance. Vive le RN
Ca n’est pas nouveau, quant à Attal moins il en sait mieux ça vaut, encore trois semaines à usurper la fonction de premier ministre et hop il dégagera pour le plus grand bien de la nation.
Philippot :
https://www.youtube.com/watch?v=m1OChSX807k
Fait un peu froid dans le dos :
https://www.youtube.com/watch?v=1FYY52L3zAE
A FAIRE TOURNER ET SAVOIR ce sale type sataniste avec pustula la Hyène
ont plus d’un tour dans leur sac
Plan secret de macron : Ursula Von der Leyen balance tout !
Vidéo de Florian Philippot
https://youtu.be/Ph6X73UvHBI
Le conseil constitutionnel pourrait annuler la dissolution. Il pourrait aussi interdire au président de participer à la campagne électorale. Il pourrait faire examiner par des spécialistes sa santé mentale mais le président du conseil constitutionnel est un ami du président. Il lui doit son poste.Tous les membres doivent leur nomination à un socialiste.
Ce sale type use et abuse du fait du prince, procédé non seulement illégitime mais également illégal. Il met constamment ses gens et les gueux au pied du mur, tout en affirmant mensongèrement avoir « au préalable consulté son Cabinet » sans préciser que son Cabinet était en mode restreint sans tous les principaux intéressés.
Ce qui va à ravir à Attal qui ne reste jamais assez longtemps dans un poste pour avoir à faire ses preuves.
Menteur, voleur, usurpateur et aussi manipulateur car comme faux cul, il s’impose là. Si il y a dissolution des desputes et du sinistre j’espère que le yéti aussi sera du voyage. Ça ne sera qu’un sentiment de dissolution.
Décidément, la Macronie nage dans la mythomanie. Avec un mythomane et un psychopathe à la tête de l’État, rien d’étonnant à ça.
il y a une expression : « Il ment comme un arracheur de dents »
Référence aux « sans dents » d’Hollandouille ??
« Gabriel Attal, « n’a été prévenu qu’à la dernière minute » de la décision du Macron de dissoudre l’Assemblée nationale. »
C’est dire l’importance qu’il accorde à ses ministres. Pour lui, ce ne sont que des pantins. Ils sont là parce que c’est la mode, que c’est prévu ainsi mais ils sont pieds et poings liés, soumis à la volonté du tyran mégalo et narcissique.
C’ est UNE FORFAITURE manifeste du Président de la République de s’ affranchir de la Constitution à laquelle il est soumis !
Alors ça il s’en bas les c…, pardon il s’en bas l’œil, de la constitution.
Oui, parce que pour les c…, il n’en a pas.
excellent
C’est pas Fabius qui va venir l’emmerder