C’est l’un des plus prestigieux cancérologues anglais qui lance ce cri d’appel.
Conseiller des vaccins de rappel, comme c’est le cas actuellement, n’est ni plus ni moins qu’une incompétence médicale ; continuer à le faire avec les informations susmentionnées est une négligence médicale passible d’une peine privative de liberté.
Il s’agit d’un entretien absolument incroyable entre @Johnincarlisle et le professeur Angus Dalgleish, un oncologue avec plus de 500 publications. L’un des rares médecins ayant une expérience en biologie moléculaire.
Le professeur Angus Dalgleish est professeur d’oncologie à la St Georges Hospital Medical School de Londres. Il a fait des observations fondamentales sur la virologie du VIH. En particulier, il a identifié le CD4 comme un récepteur majeur du VIH chez l’homme et a produit le premier rapport sur un lien entre la maladie Slim en Afrique et l’infection par le VIH. Il a également identifié une étroite corrélation entre la réponse immunitaire et la présence de paraparésie spastique tropicale chez les patients infectés par le virus HTLV-1.
Ceux d’entre nous qui savaient depuis le début que la séquence du CoV-SARS-2 contenait des insertions qui ne pouvaient pas se produire naturellement et qui ressemblaient à celles déjà publiées par le laboratoire de Wuhan, ont dû supporter un incroyable mépris, un ostracisme scientifique et l’ignominie d’être « rayés de la carte » par les médias grand public et par leurs collègues depuis maintenant près de trois ans.
Au cours de l’été 2020, un article que j’ai co-écrit, décrivant les conclusions d’une équipe de scientifiques anglo-norvégienne qui avait mis en évidence des « empreintes » uniques de manipulation en laboratoire du virus Covid, a été supprimé à la fois aux États-Unis et au Royaume-Uni. À l’époque, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les principales revues scientifiques et d’autres organismes se donnaient beaucoup de mal pour nous persuader que le Covid était un phénomène naturel et que nous devrions dépenser beaucoup plus d’argent pour lutter contre de telles menaces futures.
[…]
Les vaccins ARNm n’ont pas fait ce qui figurait sur le flacon, si l’on peut dire.
Tout d’abord, le « vaccin » n’est pas resté sur le site d’injection comme promis, mais s’est répandu dans l’ensemble du corps et a été retrouvé partout lors des autopsies.
Les accusations de variations spectaculaires entre les lots – un « non » absolu pour les protocoles de fabrication des vaccins – qui pourraient expliquer pourquoi les effets secondaires étaient plus fréquents dans certains lots que dans d’autres ont été rejetées, mais ont été confirmées par des recherches danoises concluantes dont il est fait état ici. Ces inquiétudes alarmantes semblent avoir été balayées par les autorités de réglementation, alors qu’elles auraient dû immédiatement procéder à des investigations approfondies.
Pendant tout ce temps, les autorités réglementaires et les hommes politiques, reprenant leurs assurances sur les « normes les plus élevées », ont répété à maintes reprises qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter au sujet des rapports sur les effets indésirables figurant sur la Yellow Card britannique et le VAERS américain, qui ne cessent de s’accumuler.
En juin dernier, des lanceurs d’alerte menés par les scientifiques Sucharit Bhakdi et Kevin McKernan ont soulevé un tout nouveau sujet de préoccupation, à savoir de graves niveaux de contamination de l’ADN. Une fois de plus, les médias n’en ont pas tenu compte. Bien qu’ils soient heureux de rapporter les effets secondaires des vaccins pour souligner qu’ils sont extrêmement rares, ils n’ont jamais abordé le mantra officiel « sûr et efficace », qui pose de plus en plus de problèmes.
Finalement, il y a eu une petite avancée. Une branche isolée mais plus courageuse des médias, le Spectator Australia, a finalement levé le voile sur les niveaux élevés de contamination des vaccins Covid à ARNm de Pfizer et de Moderna.
[…]
Pour parler franchement, cela signifie qu’il ne s’agit pas du tout de vaccins, mais d’organismes génétiquement modifiés (OGM) qui auraient dû être soumis à des conditions réglementaires totalement différentes et certainement pas être classés comme vaccins.
[…]
Toutes ces données, qui pénètrent peu à peu dans le domaine public, font suite aux dernières découvertes qui montrent que les vaccins de rappel multiplient en fait par 3,6 le risque d’être infecté.
Et ce n’est pas tout. Les partisans de cette technologie ont prétendu qu’elle pouvait être adaptée pour chasser les nouveaux variants. Mais ce n’est pas possible. Les résultats des vaccins bivalents (avec des composants contre au moins deux variants) aboutissent au même résultat. Les auteurs de l’étude de Cleveland affirment qu’« aucune étude n’a montré que le vaccin bivalent Covid-19 protégeait contre les maladies graves ou les décès causés par les lignées XBB du variant Omicron. Au moins une étude antérieure n’a pas réussi à mettre en évidence un effet protecteur du vaccin bivalent contre les lignées XBB du SRAS-CoV-2 ».
Dans une étude, toutes les souris vaccinées avec des produits bivalents qui ont été exposées au Covid sont tombées malades.
[…]
À la fin de l’année dernière, j’ai signalé que je voyais des patients atteints de mélanome, stables depuis des années, rechuter après leur premier rappel (leur troisième injection). On m’a dit qu’il s’agissait d’une simple coïncidence et qu’il ne fallait pas en parler, mais c’est devenu impossible. Depuis, le nombre de mes patients touchés n’a cessé d’augmenter. La semaine dernière, j’ai constaté deux nouveaux cas de rechute de cancer après une vaccination de rappel chez mes patients.
D’autres oncologues m’ont contacté du monde entier, notamment d’Australie et des États-Unis. Le consensus est qu’il ne s’agit plus d’un problème limité au mélanome, mais qu’une incidence accrue de lymphomes, de leucémies et de cancers du rein est observée après les injections de rappel. En outre, mes collègues spécialistes du cancer colorectal signalent une épidémie de cancers explosifs (ceux qui se présentent avec de multiples métastases dans le foie et ailleurs). Tous ces cancers surviennent (à quelques rares exceptions près) chez des patients qui ont été contraints de se faire injecter un rappel Covid, qu’ils le veuillent ou non, souvent pour pouvoir voyager.
Alors pourquoi ces cancers apparaissent-ils ?
[…]
Il est très clair et très effrayant que ces vaccins contiennent plusieurs éléments susceptibles de provoquer une tempête parfaite dans le développement du cancer chez les patients suffisamment chanceux pour avoir évité les crises cardiaques, les caillots, les accidents vasculaires cérébraux, les maladies auto-immunes et d’autres effets indésirables courants des vaccins Covid.
Conseiller des vaccins de rappel, comme c’est le cas actuellement, n’est ni plus ni moins qu’une incompétence médicale ; continuer à le faire avec les informations susmentionnées est une négligence médicale passible d’une peine privative de liberté.
1,128 total views, 2 views today
Ah . Le professeur Montagner à bien prévenu , mais …..
Et aussi quelques autres …mais » autruche une fois , autruche toujours ! »
beaucoup de personnes « vaccinées » tombent malades et parfois avec des pathologies graves Mais elles n en parlent pas, se soignent et continuent de vivre normalement, on en ferait sans doute autant Combien seront en excellente santé dans 10 ans ? Ce que je trouve bizarre c est que des maladies hereditaires familliales vaincues réapparaissent chez les descendants ou que des maladies que l on dit liées à la vieillesse se déclarent aussi chez des jeunes
En résumé et en clair, ce vaccin, qui n’en était pas un, a envoyé à la mort des dizaines de milliers de personnes. Bien joué les labos. Ceux qui doivent se marrer sont les politicards qui ne se sont pas fait vacciner ou vaccinés avec un vaccin bidon… devant les caméras… Après le covid de la mort, l’islam de la mort. On vit vraiment une époque formidable.
par contre, l’Assurance maldie envoie des courriers pour aller se faire vacciner contre le COVID, cherchez l’erreur, il faut liquider les vaccins en stock, les pauvres labos
sinon ils vont perdre des sous.
je ne me suis pas vaccinée et sûrement pas maintenant
Il faut interdire toutes les injections car personnes n’est capable de justifier les biens-faits de ces poisons. Aucune étude n’a été faite pour contredire les labos qui se font des fortunes sur les maladies qu’ils provoquent.
Merci à l’auteur pour cet article et à RR de l’avoir publié.
À classer impérativement dans vos favoris, dossier dédié en y joignant les pages de liens indispensables.
Munis d’arguments et de preuves avec cet article et les autres cités, nous devenons des soldats pour la défense de l’intégrité physique et de la santé de l’humanité.
L’auteur, dans cet article, a tout dit de l’essentiel de ce que nous devons savoir, pouvons comprendre et constater. Résistance Républicaine c’en fait l’écho en le publiant nous montrant l’exemple de ce qui est à la portée de ce que nous pouvons et devons faire : propager massivement toutes ces informations, ou cet article. C’est un devoir, une mission, une nécessité ; il faut que cette propagation bruisse à haute intensité ; si répandue, si forte que plus rien, ni la censure même la réduisant au silence n’aura le pouvoir d’effacer le message imprégné dans les esprits du plus grand nombre.
Envoyez, également, le lien de cet article à toutes nauséelites politiques et journalistes, chroniquers TV.
Leur réponse silencieuse sera la preuve de leur complicité.
À tous arrogants de la sphère politique ou des médias qui oseraient la moquerie ; rétorquez par : « vous semblez bien vous porter pour un vacciné ! »
Oh oui ! Ne répétons pas les mensonges de ces fous malfaisants et ignorants que sont bien trop de nos élus et de mes confrères médecins. Dénonçons-les. Observer c’est aussi agir.