Mais qui donc veut maintenir les JO à deux catégories seulement, celle des femmes et celle des hommes ?
Pourquoi un tel sectarisme ? D’où des opposants à la Maison de la Fierté des JO Paris 2024 !
Mais, comme le précise le site CitizenGO qui dénonce cette présence au sein des JO, « vous vous demandez peut-être ce qu’est une « Maison de la Fierté » ? »
Je me suis dit : cela doit être un lieu où les athlètes « fiers » d’avoir obtenu une médaille qu’elle soit d’or ou d’argent ou même « seulement » de bronze, pourront se rendre afin, tout « fiers » de leur résultat, « fiers » de leur exploit, « fiers » devant leur entraîneur, « fiers » devant leur famille, « fiers » devant leurs amis…
Que nenni ! Quand on m’a dit que cette « Maison de la Fierté » était ce que le CIO appelle « Pride House », je me suis dit : « Jacques, tu t’es mis le doigt dans… l’oeil ! » Car je n’avais pas vu arriver cette… « pride », oui, cette fierté !
« Il s’agit d’un lieu qui accueillera les athlètes lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT), les membres de leur entourage, les bénévoles et les visiteurs assistant aux Jeux olympiques, et qui fait partie intégrante de la vision du CIO. »
Effectivement, c’est un lieu que les instances du CIO désignent par son intitulé en anglais « Pride House » alors que ces personnes ayant un problème psychologique…
-et je n’inclus nullement les homosexuelles ou les homosexuels qui assument parfaitement et librement leurs vies intimes sans aucune restriction, ni problèmes– je pense aux personnes qui se disent ni homme, ni femme ! Et surtout les personnes qui, visiblement, en rajoutent parce que c’est un sujet à la mode !
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Et, pour ces JO, comme nous avons un président qui est favorable à ce cinéma de gens qui sont des plus minoritaires au sein de la lettre de leur intitulé « LGBT… » qui s’allonge chaque année de quelques lettres toujours des plus mystérieuses…
Samedi soir, nous avons eu droit au contraire du « binaire » : le « non binaire » Nemo, l’Helvète que même son gouvernement n’a pas félicité ! Ah, ce non binaire de Nemo, le « vainc coeur » du Grand Prix de l’Eurovision. Oui, il ne sait pas s’il est un homme ou une femme… Il devrait nous dire ce qu’il est. Un mi-être humain/ mi-animal ? Du genre Homme-chatte ou Femme-chienne ?
À moins que, peut-être, ne veut-il être ni homme, ni femme ! Et si c’est cela, comment l’aider ? Ne serait-ce pas plutôt pour intelligemment de sa part attirer les voix d’imbéciles qui voteront pour lui parce que ne voulant pas passer pour des « anti-Elle J’ai Pé… » Pardon, « anti-Elle J’ai BéTé » !
CitizenGO regrette que la France ait choisi « une drag queen pour porter la flamme olympique dans le cadre des Jeux Olympiques de Paris ! (…) Les Jeux Olympiques devraient idéalement être une vitrine exceptionnelle, célébrant les athlètes de tous horizons, ethnies et orientations, en mettant l’accent sur leur professionnalisme plutôt que sur leurs préférences personnelles. »
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Les responsables du CIO penchent du même côté que ceux de l’Eurovision qui permettent à des gens sans talent de se dire de n’importe quelle catégorie sexuelle autre que celle d’une femme ou celle d’un homme même si leur attirance est autre… De là à accepter à bras ouverts n’importe quelle idée d’un hurluberlu -ou d’une… !- se disant ni l’un, ni l’autre afin de remporter, grâce à des complices à savoir le jury des professionnels du spectacle en majorité prêts à soutenir toute ineptie concernant le sexe ! Et cela bêtement ! (je ne mets pas entre guillemets, volontairement, cet adverbe bêtement, car je l’emploie selon sa signification à savoir « d’une manière stupide, bête » c’est-à-dire « qui manque d’intelligence, de jugement » selon Le Petit Robert).
Bêtement parce qu’ils leur est impossible de vérifier si le candidat est vraiment ce qu’il affirme être ou ne pas être lorsqu’il vient à l’Eurovision habillé(e) d’une jupette et arborant un drapeau LGBêTement au lieu du drapeau suisse… Ce candidat aurait d’ailleurs dû être exclu comme le néerlandais, lui, pour « attitude inappropriée », car seuls les drapeaux nationaux sont autorisés par le règlement.. Comme d’ailleurs les hommes qui se disent femme simplement pour pouvoir remporter toutes les épreuves pour femmes dès que, là aussi… bêtement, des instances sportives acceptent leurs dires ! Ces responsables sportifs ne se posent aucune question en constatant qu’il n’y a quasiment aucune femme se disant homme pour aller concourir dans des épreuves réservées aux hommes, épreuves que cette « non-femme » aurait bien du mal à remporter -faute d’être elle-même… mâle !-. Curieux, non ?
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Pour CitizenGO, « nous ne devons pas laisser l’idéologie LGBT dominer les Jeux. (…) Ensemble, faisons des Jeux Olympiques de Paris 2024 un symbole d’unité, et non de controverse. Une Maison de la Fierté ne peut que conduire à des conflits culturels, ternissant l’harmonie des Jeux.(…) Il y a ensuite la question de l’allocation des ressources. (…) Nous devons nous assurer que les ressources sont distribuées à chaque athlète sans favoritisme. Les JO sont avant tout une compétition sportive – pas une plateforme pour un agenda politique. Nous sommes là pour célébrer les athlètes, pour applaudir le dévouement et l’effort qu’ils ont consacré à l’excellence dans leur discipline. »
Au moins « tous.tes » les LGBTQ+… des JO qui porteront la flamme olympique seront chez « il.lles » dans cette Maison de la Fierté afin de déguster entre « ell.eux » un… fier thé !
Jacques MARTINEZ, journaliste, à RTL, de stagiaire à chef d’édition des informations de nuit (1967-2001), pigiste à l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…
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Foutez tout ça dans un asile, fermez à double tour et perdez la clé.
La décadence est en marche. J’imagine dans les vestiaires…
Pour moi la conclusion reste la même: supprimer tout sport professionnel et L’Etat ne doit pas financer le sport professionnel et les sportifs professionnels. Je ne paie ni des impôts ni mes assurances maladie-accident pour financer cela. . Le sport doit rester un loisir.