La journaliste Natalie Huet, de NewsGuard, dans une lettre à Riposte Laïque, se permet de dire que Riposte Laïque publie régulièrement des affirmations clairement fausses.
NewGuard, d’après elle, est « un média qui évalue la fiabilité et la transparence des sites d’information sur la base de neuf critères journalistiques. »
Soit.
Elle reproche donc à des articles de Riposte Laïque d’avoir écrit que « l’hydroxychloroquine et l’ivermectine se sont “révélées efficaces” contre le COVID-19 », alors que « plusieurs grandes études ont démontré [leur] inefficacité. »
Je concède à cette journaliste de n’avoir probablement pas de bagage médical, et de s’en référer à la littérature mise en valeur par les grands médias. Mais pour quelqu’un qui fait office de vérifier la fiabilité des médias et des infos qu’il véhicule, elle pourrait peut-être commencer par en vérifier et « évaluer la fiabilité et la transparence ».
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Les études randomisées reviennent extrêmement cher, et en pratique, il est rare qu’elles ne soient pas impulsées par l’industrie pharmaceutique, avec des buts énoncés dès le début de l’étude. Et les buts doivent être rentables, on s’en doute. Alors, pour prouver même ce qui n’est pas, ou surtout en ce cas, pour ne pas prouver ce qui est (pour ne pas prouver l’efficacité de vieilles molécules qui ne rapportent pas grand chose), tous les moyens ont été bons : des doses élevées et parfois dangereuses (comme dans Recovery : 3 fois la dose normale d’hydroxychloroquine, ce qui est dangereux – pas étonnant que l’étude ait été arrêtée : elle n’aurait jamais dû être commencée avec une telle dose !), une durée de traitement trop courte (comme l’étude sur l’ivermectine publiée en mars 2021 dans le New Journal of Medicine : 3 jours d’ivermectine seulement), une posologie trop faible , ou encore plus rusé : faire une étude portant sur des sujets tout venant, où le risque de complications et bien sûr de décès par covid est quasi nul, et démontrer que l’ivermectine (ou l’hydroxychloroquine) ne fait – évidemment – pas mieux. Voire carrément, écrire une conclusion contraire aux résultats de l’étude, en sachant que plus de 99% des lecteurs ne lisent que la conclusion.
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Pour plus d’informations, je vous suggère vivement de lire l’excellent article de mon confrère le Dr Gérard Maudrux « Quand l’ivermectine démontre l’escroquerie des études randomisées » (https://www.covid-factuel.fr/2024/03/04/quand-livermectine-demontre-lescroquerie-des-etudes-randomisees/) : tout y est ! C’est édifiant.
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Et il cite les études ayant démontré l’efficacité – bien réelle, de l’ivermectine.
Natalie Huet ferait bien d’analyser les infos qu’elle tient pour vraie avant de faire la leçon au monde entier. Mais si je sais bien une chose, c’est que les donneurs de leçons sont pratiquement toujours ceux qui sont le plus mal placés pour les donner.
Fullbib
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les nanas, au final sont pires que les mecs et je sens chez elles un désir collectif d’envisager une révolution strictement féminine ; elles ne se rendent même pas compte que c’est grâce à Nous qu’elles sont encore protégées car si elles devaient mener une bataille frontale avec n’importe quel ennemi elles se feraient liquider en cinq-sept.( c’est quoi cet air prétentiard qu’elles exhibent sinon une incapacité totale à s’affirmer comme les mecs, c’est à dire comme un in di vi du et non pas comme fièrement appartenant à un genre sexué !)/
Merci à vous
Que fait cette pseudo-journaliste dans une exposition de WC?