Après Jeanne d’Arc, les Anglais brûlent Mary Poppins !

Il avait raison Napoléon, les Anglais c’est une sale engeance. D’ailleurs ce sont les mêmes qui ont créé ces saloperies d’USA qui mettent le feu dans le monde entier et brûlent ce qui ne leur convient pas.

Qui n’a pas chanté Supercalifragilisticexpialidocious    ?

Qui n’a pas rêvé aux étoiles et au bonheur devant Mary Poppins, le film et la femme ? 

Quel enfant n’a pas touché du doigt le bonheur devant l’humour  et la magie tranquille de Mary et n’y a pas trouvé mille raisons de se consoler d’un quotidien terne ou pas très drôle en croyant encore au bonheur possible ? 

Eh bien c’est fini. Mary Poppins est jugée toxique pour les jeunes enfants, rien que ça  !

 

La raison ? Ce bon vieil amiral Boom qui tire au canon voit deux fois dans le film des « Hottentots » dans les ramoneurs en action sur les toits. Or, le très anglais BBFC (British Board of Film Classification) considère que ce serait un mot péjoratif utilisé à la place des Khoekhoe, Indigènes d’Afrique australe… Mary Poppins serait donc discriminatoire. Le pire crime en 2024 en pays multiculturel. En pays bouffé par l’immigration et les gauchistes. Le wokisme tue. Tue la civilisation, la liberté, l’histoire. Tue nos gosses.

Supercalifragilisticexpialidocious n’est pas le mot en cause. Le classement du film Mary Poppins de 1964 vient d’être officiellement revu au Royaume-Uni en raison d’un « langage discriminatoire ». Le British Board of Film Classification a décidé de faire passer la classification du classique de Disney de « U » (Universal), accordé aux films tout public ne contenant « aucun élément susceptible d’offenser ou de nuire », à PG (Parental Guidance), l’équivalent de notre « Accord parental souhaitable », en raison d’un dialogue jugé « discriminatoire ».

Même si Mary Poppins s’inscrit dans un contexte historique, l’utilisation d’un langage discriminatoire n’est pas condamnée dans le film et dépasse finalement nos directives en matière de langage acceptable pour classer un film Universel (U). Nous avons donc classé le film PG pour langage discriminatoire« , explique le board britannique. « Nous comprenons de nos recherches sur le racisme et la discrimination, et de nos récentes recherches sur les lignes directrices de classification, qu’il existe une préoccupation majeure des gens, des parents en particulier, sur la possibilité d’exposer leurs enfants à un langage ou à un comportement discriminatoire qu’ils peuvent trouver pénibles. Certains propos ou comportements ne sont donc autorisés en aucune circonstance ou dépendent entièrement du contexte. »

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Mary-Poppins-nest-plus-tout-public-au-Royaume-Uni-en-raison-d-un-langage-discriminatoire

Autrement dit, plus un enfant ne pourra librement, des étoiles dans les yeux, regarder seul Mary Poppins. Ce film nécessite dorénavant un « accord parental » comme un film classé X ou Mad Max…

Sorti en 1964 des studios Disney, le film musical de Robert Stevenson mêle animation et prises de vues réelles. Il avait gagné cinq oscars l’année suivante, dont celui de meilleure actrice et de meilleure musique. L’histoire, qui se déroule dans le Londres de 1910, met en scène une nounou magique, jouée par Julie Andrews, qui transforme la vie d’enfants se sentant négligés par leurs parents avec l’aide de Bert, un ramoneur ambulant joué par Dick Van Dyke. Une atmosphère bien innocente mais deux ou trois mots apparemment ne passent plus. Le film doit ressortir en salle dans certains cinémas britanniques à l’occasion de son 60e anniversaire.

https://www.lefigaro.fr/international/la-censure-britannique-frappe-mary-poppins-pour-propos-discriminatoires-20240227

Y a-t-il encore un parent dans la salle ?

Tout cela mérite bien évidemment une réponse digne de ce nom, amis lecteurs. Je vous invite à vous ruer sur les exemplaires encore existants du fabuleux film, à l’acheter, le conserver et, surtout, à le regarder à nouveau avec ou sans enfants. Histoire de faire un bras d’honneur aux censeurs, aux castrateurs… aux partisans de la disparation de notre monde, remplacé par un monde issu de l’immigration.

Parce que, dans le Meilleur des mondes possibles où nous avons la chance de vivre, la prochaine étape c’est un autodafé de tous les exemplaires de Mary Poppins disponibles accompagné de la lecture obligatoire de La Case de l’Oncle Tom.

 

 1,101 total views,  1 views today

image_pdf

13 Commentaires

  1. cela leur a bien servi , si vous regardez la cérémonie d’ouverture des jo 2012 , Mary Poppins est présentée et pas que la parade coronacircus était montrée

  2. Je n’aurais jamais imaginé qu’un génocide puisse devenir assez pervers pour aller traquer jusqu’à des fantaisies enfantines dans des fictions aussi remplies d’innocence et de joie que Mary Poppins. J’avais déjà trouvé, étudiant, « 1984 » d’Orwell peu crédible parfois, négligeant l’obligation pour un auteur d’être obligé de forcer le trait pour retracer tout une époque, fût-elle imaginaire, en un seul écrit.
    Quelle époque de scélératesse et de folie.
    Ma seule bonne nouvelle – tout aussi effarée – est de m’apercevoir que je disais le mot magique incorrectement depuis l’enfance, sur le rapport d’une amie qui l’avait vu, elle.

  3. Étant gamin, je n’avais pas du tout aimé ce film, je l’avais trouvé, niais, « gnangnan ».. jamais je n’aurais pu penser qu’un jour cela puisse devenir subversif pour quelques imbéciles Anglais!

  4. J’ai adoré Mary Poppins et tous les Disneys. Je regrette aussi cette époque bénie ou la télévision regorgeait de pépites telles que Thierry la Fronde, Rocambole, Arsène Lupin Gentleman cambrioleur, Vidocq avec Claude Brasseur, j’en passe et des meilleurs. J’ai regardé Mary Poppins étant petite et du haut de mes 66 ans, et je n’ai gardé dans mon esprit que la beauté, la joie, la magie qui se dégage de ce film. Et pourquoi une autorisation parentale alors qu’est projeté des scènes à caractère sexuel lors d’un spectacle pour enfants. On vit vraiment dans un monde ou les tarés prennent de plus en plus de place. J’espère qu’il y aura un jour la lumière au bout du tunnel. Résister, résistons par tous les moyens.

    • Ils ne sont pas tarés. Ils savent pértinement ce qu’ ils font. Ce sont des satanistes. Lucifer est le roi de ce monde. Mais n’ oublions pas que Walt étai membre d’ une « église » sataniste. Regardez Fantasia. Ca fait peur.

      • Fantasia est une merveille que j’ai vue à 5 ans et que je revois avec joie,je suis certainement satanisée jusqu’à la moëlle.

  5. Mary Poppins ou le dernier grand combat des Anglais, leur ennemie faute de mieux. On pourrait en rire si ce n’était pas si dramatique car on a a vraiment l’impression que quelque chose ne tourne vraiment plus rond chez les Britanniques. Pas que chez eux malheureusement.

  6. .Mais oui,tous les enfants ont adoré Mary Poppins, les films de maintenant ne valent rien.J’ai detesté les Anglais d’avoir brûlé Jeanne d’Arc et emprisonné Napoléon.En ce qui concerne les USA,ils ont été crées.par des Anglais persécutés par la couronne.Mais Lafayette avec l’approbation de Louis XV1 avait traversé l’Atlantique et avait gagné sur les Anlais en 1781.En plus il y a près de PITTSBURGH en Pennsylvannie un fort DUQUESNE.,crée par des Français…….Il n’y a pas grand chose à attendre des Anglais.

  7. Vous voulez rire, Christine : pour « La case de l’oncle Tom », il y a longtemps que les ancêtres des « woke » y ont vu le paternalisme le plus abominable à l’égard ds Noirs. C’est ainsi que Louis Armstrong s’est fait traiter d' »oncle Tom » en raison de son grand sourire de Noir content d’être là, et de son intégration magistrale parmi les artistes adulés des Blancs.Il n’est jamais entré dans le jeu du racisme noir revanchard,il est vrai. Lui, l’orphelin élevé par ds Juifs, n’en avait rien à carrer de la revendicationnite.

Les commentaires sont fermés.